Sujet de la discussionPosté le 22/11/2009 à 21:47:25Les véhicules de collection, ou comment l'imperfection rend amoureux
T'as cliqué : c'est soit que tu es curieux, soit que tu aimes.
Si tu aimes, partage ta passion ! Je pense à Belmoufles avec sa TR3 (il me semble), Picto avec sa 911, Greg avec son... euh, bus , et tous ceux qui en pincent pour des véhicules qui vous emmènent moins loin que ceux d'ajourd'hui, avec moins de confort, plus de bruit mais tellement plus de charme !
Si tu ne connais pas spécialement, voici pourquoi je craque, et que je supporte de moins en moins de ne pas avoir de moyens propres (pour avoir autre chose qu'une Twingo) :
BMW 2800 :
Impossible d'insérer les photos, je ferai un second post...
Elle a une ligne légère, racée, légèrement agressive : je l'aime. Elle ressemble un peu à des italiennes de la même époque (cf. Lancia Fulvia, que je présenterai plus bas), avec la puissance et la qualité germaniques.
À noter la version 3.0 CSL 'Batmobile', aujourd'hui plus que chère et très impressionnante.
Alfa Romeo Giula Sprint GT 'Bertone' :
LA voiture représentative de la sportive latine de l'époque. Carrière longue, très répandue, nombreuses versions : de la basique Junior à la GTA Stradale.
Lancia Fulvia :
Une des premières tractions avant en compétition, nombreuses victoires en rallye en version HF (Haute Fidélité).
MGB :
Deuxième roadster le plus vendu au monde (après la Mazda MX-5 'Miata'), et version coupé qui ne manque pas de charme.
L'appétit vient en mangeant ; la réforme, c'est pas sorcier ; le campement léger en plein air, non. Cupidon
Je pense pas, ça doit être génial de conduire un cabriolet en plein hiver, c'est sympa ce froid sec des montagnes Bon évidemment faut être copieusement couvert, quoi.
L'appétit vient en mangeant ; la réforme, c'est pas sorcier ; le campement léger en plein air, non. Cupidon
Javier Guante Hermoso
47326
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Membre depuis 19 ans
12609Posté le 02/10/2012 à 11:35:09
En ce qui nous concerne, quand on fait des rallyes, il arrive que même au mois de juin ça meule, épique. Genre monter l'Iseran à 7h30 du mat. Donc on se couvre à mort et on roule capoté. Au bout de 10 bornes en montée, moteur bien chaud, on enlève tout, il fait 45 degrés dans l'habitacle, et on décapote