Se connecter
Se connecter

ou
Créer un compte

ou
Agrandir
Le Pub
le Pub des sports et loisirs
Actu
Articles
Tutoriels

Les véhicules de collection, ou comment l'imperfection rend amoureux

  • 37 573 réponses
  • 158 participants
  • 1 625 652 vues
  • 106 followers
Sujet de la discussion Les véhicules de collection, ou comment l'imperfection rend amoureux

T'as cliqué : c'est soit que tu es curieux, soit que tu aimes.

 

Si tu aimes, partage ta passion ! Je pense à Belmoufles avec sa TR3 (il me semble), Picto avec sa 911, Greg avec son... euh, bus  , et tous ceux qui en pincent pour des véhicules qui vous emmènent moins loin que ceux d'ajourd'hui, avec moins de confort, plus de bruit mais tellement plus de charme !

 

 

Si tu ne connais pas spécialement, voici pourquoi je craque, et que je supporte de moins en moins de ne pas avoir de moyens propres (pour avoir autre chose qu'une Twingo) :

 

BMW 2800 :

Impossible d'insérer les photos, je ferai un second post...

Elle a une ligne légère, racée, légèrement agressive : je l'aime. Elle ressemble un peu à des italiennes de la même époque (cf. Lancia Fulvia, que je présenterai plus bas), avec la puissance et la qualité germaniques.

À noter la version 3.0 CSL 'Batmobile', aujourd'hui plus que chère et très impressionnante.

 

Alfa Romeo Giula Sprint GT 'Bertone' :

LA voiture représentative de la sportive latine de l'époque. Carrière longue, très répandue, nombreuses versions : de la basique Junior à la GTA Stradale.

 

Lancia Fulvia :

Une des premières tractions avant en compétition, nombreuses victoires en rallye en version HF (Haute Fidélité).

 

MGB :

Deuxième roadster le plus vendu au monde (après la Mazda MX-5 'Miata'), et version coupé qui ne manque pas de charme.

 

L'appétit vient en mangeant ; la réforme, c'est pas sorcier ; le campement léger en plein air, non. Cupidon

Afficher le sujet de la discussion
12611
HAHA!

Moi sté une Golf Mk1 de l'ex mari de ma cousine, y'a bien longtemps. Enfin, mon premier "open-roof" s'té un targa. Une 328 GTS :-D:-D:-D
12612
Vilain Mouflu, spas ma faute!

Après réflexion j'avais été passager dans un Land Rover Defender des 60's dans le Minervois quand j'étais môme, à fond dans les chemins c'était chouette.

L'appétit vient en mangeant ; la réforme, c'est pas sorcier ; le campement léger en plein air, non. Cupidon

12613

Moi c'était dans une R19, j'ai honte facepalm

Quand je conduis pas j'ai peur.

12614
Excellent le Defender!Un de mes collègues a, pendant ses vertes années, fait un "Cape-to-Cairo" en Defender (soit Le Cap-Le Caire). Ils sont tombés en panne à peu près 87 fois (crevaisons, enlisements, moteur, pliage de chassis) mais ils ont réussi.
12615
ma première cabrio, une 403 cabrio au mariage de ma soeur, sympa.

 

 

12616
Ouais en y repensant c'était trop cool! En plus je crois que c'était pas des sièges à l'arrière, plutôt des bancs installés en long (c'était la version avec le pare-brise rabattable donc bien oldschool). Evidemment, pas de ceintures, sté vraiment une bagnole géniale!

L'appétit vient en mangeant ; la réforme, c'est pas sorcier ; le campement léger en plein air, non. Cupidon

12617
Une méhari ça compte ?

Belmoufles > excellent le trip du matin en rallye.
Dans le doute, le mieux ça serait quand même une ligne inox.

 

 
12618
Ma première cabrio... une Cadillac prêtée par par le garage de mon père pour tracter la caravane en attendant la réparation de l'id19. :bravo:
12619
J'ai un souvenir précis ou j'avais 4 ans et ou des amis faisait la présentation de leur DS break toute neuve. Cela se fait moins actuellement mais des qu'une voiture était achetée dans une famille, c'était un évènement que l'on faisait partager à tous les amis.

Le médecin du village avait une Fiat 125 coupé rouge.
Dans le doute, le mieux ça serait quand même une ligne inox.

 

 

[ Dernière édition du message le 02/10/2012 à 12:09:05 ]

12620
Rififi: Arriver un 14 juin en plein soleil à Tignes, faire une p*** de bonne bouffe, puis se lever à 6h30 le 15 juin, ouvrir les volets et voir la neige tomber... Tu descends au p'tit dej avec tous les équipages qui parlent déjà mécanique, garagistes, carburation,...

Le café bien chaud nous revigore, mais il est temps d'aller sur le parc fermé reprendre la voiture. La rosée se mélange aux quelques flocons, il fait un froid polaire dans l'habitacle, mais l'odeur d'essence chaude et de calamine se fait toujours présente. Derrière la montagne, la lueur blanche du soleil perce la brume. Je referme la portière et me retrouve l'épaule droite appuyée sur la structure métallique froide de la capote. Engoncé dans la polaire + le coupe vent + l'écharpe, chrono autour du cou, j'allume le tripmaster fixé de guingois dans la boite à gans en bois, je reprends la calculatrice, pendant que mon père rebranche le coupe-circuit. Portant le N° 44, nous démarrerons à 07h44. Nous ne savons pas encore par où nous passerons, le road-book nous sera donné au moment de notre départ par personne d'autre que David Stone, coéquipier de Vic Elford dans les années 70. L'affable anglais en profitera pour nous narrer une de ses anecdotes salées et à peines romancées dont lui seul a le secret.
On repère tout de suite la Lancia Fulvia rouge n°43, et la Giulia Sprint n° 45 qui nous suivra.

07H20, déjà 20 équipages sont partis, nous les recroiserons à la pause dans le beaufortain, s'ils ne sont pas déjà repartis. Sinon, ce sera autour d'un verre à l'arrivée à Apremont.
Contact. La Triumph s'ébroue, et ce qui n'était qu'un relent de parfum mécanique réapparait en puissance lorsque le 6 en ligne commence à chanter. Quelques montées dans les tours, la chaleur commence à rentrer dans le cockpit.
7h43: la Fulvia démarre, nous nous engageons devant le check-point. Je récupère le road-book, note mentalement les étapes de la première page: pas de piège cette fois-ci, les cases sont dans l'ordre, et de toute façon, nous savons ce qui nous attend...
7h44: au moment où l'horloge passe la minute, David nous encourage d'un "have a nice ride, fellows", j'enclenche le chrono, et mon père démarre. La neige ne tombe plus, devant nous, c'est l'Iseran. La lecture du book n'est pas très difficile: passage du col dans 20 kilomètres, descente à Bonneval où nous devrons arriver à 08h32 précises. De là, nous partirons pour l'épreuve de régularité, délicieusement stressante. Mais avant, l'Iseran nous aura offert un splendide panorama sur la Vanoise et la Tarentaise, après être passés entre 2 murs de neige de 5 mètres de haut... A cette heure-ci, l'écharpe et la polaire seront tombés depuis bien longtemps.