enjoy at work : I just had a meeting with my american CEO to announce him I that will leave the company later by the middle of september. He's sorry to lose me but wishes me the best.
Je suis censé signer incessamment sous peu mon nouveau contrat pour démarrer dans l'été (le contrat est écrit, en attente de validation par la direction puis je passe).
Et pouf, coup de fil d'une autre boite qui voudrait que je vois le directeur la semaine prochaine, pour me recrutir aussi.
Bigre !
(et par contre, va falloir choisir si ça se trouve et là, ça va être plus dur)
(mais bon, le boulot ultime, chez qui un pote est rentré il y a 2-3 mois, bloque les embauches. damned, 25 jours de RTT par an, interdiction de travailler après 17h30 le soir, à 15 min de chez moi et un contenu technique hyper enrichissant dans une équipe de guedin, ça m'aurait bien plut pourtant )
Je me pose la même question que Samy, ça va à l'encontre de la conception de l'efficacité à l'américaine consistant à penser que plus on est au boulot et plus on bosse. Mon cul, les mecs son sur les réseaux sociaux la moitié de la journée, et l'autre moitié, ils sont distraits par les merdes qu'ils y voient... Tu parles d'une efficacité...
Euh, c'est le truc français de faire des heures sans les compter. à l'américaine, c'est justement quand tu restes après 18h, t'es un incompétent qu'à pas réussit à faire sa tâche (ou alors le patron / chef est un incompétent puisqu'il te file trop de boulot)