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Vos rèves chelous

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Sujet de la discussion Vos rèves chelous
Postez ici vos rèves vraiment bizarres.

Citation : Ptain j'ai revé de sarkozy cette nuit. Il faisait le l'aerobic en pleine rue

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2901
Je n’ai pas l’habitude de me souvenir de mes rêves, c’est même assez exceptionnel que ça arrive.
Et là, peut-être à cause du confinement, j’en ai deux, fait il y a quelques jours qui me sont restés à trotter dans la tête ! J'ai essayé autant que je puisse de vous les raconter comme je m'en souviens ! D'ailleurs en les écrivant, des détails ou des émotions me reviennent. C'est assez drôle !

Le premier, le moins fourni :
Dans une vielle ville à l’ambiance lovecraftienne au sens où on sentait le poids des années suintant des bâtiments en pierres de taille et aux nombreuses arcades et colonnes. Ce n’était pas vraiment glauque comme endroit mais certainement pas rassurant, on savait tout de suite qu’on était dans un lieu ancien à l’histoire chargée.
Donc je m’y promenais seul et de nuit dans ces allées pavées ! Personne dans les rues, juste moi et les incantations que je psalmodiais du style en hébreux ou en araméen. En fait j’étais même vêtu comme un moine ou un magicien, d’un lourde robe avec une capuche qui me cachait pratiquement entièrement le visage.
Et j’étais là, terrorisé à invoquer le diable, en suivant une avenue qui faisait un angle droit sur la droite et commençait à descendre légèrement. Cette partie de l’avenue et les battisses étaient encore plus majestueuses. On y découvrait des balcons richement décorés, éclairés à la lumière vacillement dorée des torches. Par contre on voyait bien que plus l’avenue descendait plus elle s’enfonçait dans les ténèbres, si bien que je ne sais pas vraiment jusqu’où elle continuait.
Et c’est à ce moment, tandis que je récitais toujours plus fort mes versets maléfiques, qu’Il est apparu ! Le diable !
Il avait deux grandes cornes recourbées sur la tête et la peau rouge sombre, une vraie image d’Épinal. Je sais pas très bien, si c’est à cause des torches mais on voyait des flammes au dessus de son crane. En fait il était sorti, mais genre simplement en peignoir, de sa chambre, et s’accoudait à un des beaux balcons et me regardait l’air sévère comme un voisin réveillé au milieu de la nuit pas des noctambules trop complètement bourrés
Et moi, qui en fait voulais l’invoquer, je me disais « merde ! Je me le suis réveillé » … j’étais terrorisé. Et là je me suis réveillé !

Plus léger et complet, le second !
Lui se passe à Perpignan. Avec ma femme on devait aller passer des examens, du genre avec des radios et des scanners, dans une boutique du centre-ville. Cette boutique existe, quand j’étais gosse c’est là qu’il y avait mon opticien, même si je suis plus très sur de ce qu’il s’y trouve maintenant !
Bref on entrait, et le personnel du corps médical s’affairait sur nous !
Moi, j’étais installé confortablement sur une de ces tables qu’on trouve chez les généralistes. Avec des appareils qui me regardaient les entrailles, sans que cela soit déplaisant, tout était normal. J’avais même un petit écran pour voir ce que j’avais à l’intérieur, c’était des images du genre échographies, mais pas en 3D comme maintenant, mais plus des vielles en noir et blanc. Ça durait toute la nuit, à tel point qu’on y dormait dans ce centre médical, en attendant la fin des examens.
Le matin, un toubib venait me voir, il me racontait, avec une mine comme seul les médecins savent avoir, que tout était parfait mais qu’il fallait cependant encore un test.
Alors on allait se balader dans le rues de Perpignan, et il me disait qu’il devait vérifier que ma musculature allait bien, et que pour ça, pas le choix, je devais me promener nu ! Un peu interloqué je m’exécutais et me promenait à poil au beau milieu des rues touristiques du center-ville. Un peu timide, je me cachais quand même le sexe avec les mains. Mais d’une manière générale les passants s’en contre-fichaient que je sois nu comme un ver.
Sauf à un moment où je trimballais ma nudité dans une ruelle, au milieu de la quelle se trouvait la terrasse d’un café. Là, par contre, les gens me regardait l’air amusé et moi, toujours avec mon médecin qui me trottait à 3 mètres derrière, je me disais au diable ta timidité, on s’en fout, enlève tes mains et salue bien comme il faut ces gens attablés ! Et donc je leur passait au milieu des tables en agitant les mains, le bras assez haut sans pour autant faire l’héicobite, et certains rigolaient d’autres sifflaient . Une assez bonne ambiance, en fait je n’éprouvais ni gène ni honte !
Retour au centre médical. Là on me disait à ma femme et moi ( je n’ai aucune idée des examens qu’elle a, elle, du suivre ) qu’on pouvait rentrer chez nous r-a-s.
On sortait donc du magasin, et quand on arrivait, un peu plus bas, au café de la Poste, au pied du Castillet ( pour ceux qui connaissent ) il y avait des travaux. Genre barrières, tranchées, terre, câbles et canalisations le tout à l’air. Et donc au moment de passer par dessus un trou, je voyais bien qu’on allait marcher sur pleins d’oursins que les gens avaient laissés là comme des gros dégueulasses inconscients après les avoir bouffés. J’avertissais mon épouse et une autre personne qui était avec nous (mais je ne sais qui) de faire gaffe où ils mettraient les pieds ! Et c’est là en regardant les miens que je m’apercevais que j’avais oublié mes pompes au magasin !
Je les laissais sur place et retournais chercher mes sandales ! Sauf que le magasin était désormais fermé !
Je me dis que c’est pas possible de rester comme un va-nu-pieds jusqu’au lundi, et j’essaye d’ouvrir la porte… qui, miracle s’ouvre ! Je rentre, tout est dans la pénombre à l’intérieur. Je me dirige vers le lit que j’avais occupé et trouve en dessous tout plein de paires de godasses. Je récupère les miennes et ressort bien content ! Sauf que… il y a une... c’est pas la mienne ! Je re-rentre, retourne au lit et je cherche et ne trouve rien. J’entends alors rigoler, des petits rires, je me retourne et je vois des gamins qui pouffent leurs petites mains devant la bouche. Je leur demande si ils n’ont pas vu ma sandale et là ils éclatent franchement de rire et m’avoue que c’est le chien qui l’a bouffée ! A ce moment sous le lit d’à côté je vois un clebs du genre York entrain de se boulotter ma savate !
Fin & réveil !

"Un accord, c'est bien,
deux accords, vous poussez un peu,
trois accords, c'est du Jazz" Lou Reed.

2902
:bravo:
Dans le doute, le mieux ça serait quand même une ligne inox.

 

 
2903
Je suis a Golbey avec blackbollocks. On doit prendre le train pour Chalons en Champagne, et en attendant on disserte sur l'architecture générique faussement moderne des centre ville de province qui veulent se la raconter. Comme des ploucs qui roulent en audi d'occasion.

Mes chaussures couinent quand je les enfile, je fais remarquer a blackbollocks que la gauche couine un demi-ton en dessous de la droite.

Petit péteux hargneux

bit.ly/elevations2020

bit.ly/dsmelevations2020

2904
J’ai bossé à Golbey. L’école de musique était sous la piscine !

On ne voit bien qu'avec les yeux. Le cœur est invisible pour l'essentiel. 

2905
:bravo: BW, le 2ème est très complet et bien délire... et bien raconté, j'ai l'impression de l'avoir rêvé :mrg:

Incrédule sur tout, sceptique sur le reste

2906
Merci Dana,
Ça me fait plaisir, je m'y suis pris à plusieurs fois pour le retranscrire au plus proche. C'est pas un exercice facile.

C'est marrant, je vois souvent que certains, ici, rêvent d'autres membres du forum.
Vous vous connaissez irl ? Je me demande si ça m'est déjà arrivé.

"Un accord, c'est bien,
deux accords, vous poussez un peu,
trois accords, c'est du Jazz" Lou Reed.

2907
Le 2e est sacrément détaillé. Mais le 1e m'a bien fait marrer : l'environnement qui semble mener à un truc horrifique, et là tu nous sors le Diable en peignoir ! :mdr:

"La musique existe pour ceux qui ne savent pas s'exprimer avec des mots."

Chanteuse au sein de Grapehill et Alter Ego 60 - Autrice de poèmes et de nouvelles.

2908
Il m'est arrivé de rêver des histoires où Zek, que j'ai déjà rencontré, intervenait mais également pareil pour Youtou et W-addict, je crois, que je n'ai jamais vus.:8O:
Je suis un rêveur impénitent, mais la plupart du temps, je n'ai que des bribes de souvenirs, pas de quoi raconter grand chose après..:oops2:

Incrédule sur tout, sceptique sur le reste

[ Dernière édition du message le 30/03/2020 à 11:58:36 ]

2909
Oui je sais, c'est ridicule, mais j'avais vraiment le trouillomètre à zéro :mrg:
Parait que j'ai même crié en me réveillant !

Le second je l'ai fait avant-hier, je l'ai raconté direct en me réveillant, il parait que ça aide à les garder en mémoire.
Je suis hyper fier de m'en souvenir aussi bien, pendant des années j'ai été incapable de me souvenir du moindre de mes rêves, à la rigueur j'avais des impressions fugaces mais qui s'évaporaient aussitôt réveillé !
J'espère que ça va continuer !

"Un accord, c'est bien,
deux accords, vous poussez un peu,
trois accords, c'est du Jazz" Lou Reed.

2910
Je me souvenais tellement de mes rêves que je les refaisais parfois à plusieurs années d'intervalle et que j'en ai même fait des nouvelles (pas finies pour certaines). Avec quelques modifications, cependant. Ça a changé depuis quelques mois, je ne me souviens presque plus de mes rêves. Peut-être que je dors mieux...

"La musique existe pour ceux qui ne savent pas s'exprimer avec des mots."

Chanteuse au sein de Grapehill et Alter Ego 60 - Autrice de poèmes et de nouvelles.

2911
Citation :
Je suis a Golbey (...) On doit prendre le train pour Chalons en Champagne


Toi on peut pas dire que tes rêves seraient vendus cher chez Total Recall. :oops2:
2912
:mrg:
2913
:mrg:

"Un accord, c'est bien,
deux accords, vous poussez un peu,
trois accords, c'est du Jazz" Lou Reed.

2914
Cette nuit j'ai rêvé que quelqu'un de méchant faisait tomber tous les fantômes du coin sous sa domination pour tuer les gens. Je me trouves dans un bâtiment genre lycée ou collège (dans la halle d'accueil) sans aucun élève (trop dangereux), on réunit un groupe avec quelques personnes lambda comme moi et quelques pros du flingue. Apparemment j'ai à nouveau la vingtaine d'années et le format crevette de cet âge, mais je fais toujours 2 têtes de moins que tous les autres. On nous refile d'énormes fusils, le mien fait ma hauteur et apparemment je n'ai aucun mal à le porter.
Comme dans tout bon film d'horreur qui se respecte, nous nous retrouvons vite dispersés, quand j'entends le coéquipier derrière moi (un des pros) qui se fait agresser par un des fantômes matérialisés (mais toujours légèrement transparent, on voit un peu à travers quand même). Le gars se fait massacrer la gorge par un petit garçon dont seul la tête, les bras et le haut du torse sont matérialisés. Il n'arrive pas à utiliser son flingue, je me précipite pour l'aider et me rends compte au dernier moment que de gros fusils comme ça sont totalement inutiles en combat rapproché (et dans un bâtiment). Je jette le flingue, je me demande comment je peux aider le pauvre gars en train de clamser salement, je trouve une solution, j'hésite à l'appliquer parce que c'est gore mais bon faut que je sauve le gars ou plutôt que j'élimine le fantôme tant qu'il est occupé parce que sinon ce sera à mon tour d'y passer.
Je me retrouve donc à prendre la tête du gamin fantôme entre mes mains et à lui enfoncer mes pouces dans les yeux jusqu'au cerveau. Splotch, sproutch et tutti quanti, je m'écoeure moi-même mais le fantôme "meurt" et disparaît. Le gars est mort aussi, je m'essuie les pouces mais les sensations restent, je pars à la recherche du reste du groupe, laissant mon gros fusil inutile par terre.


Pas fun le réveil, avec le souvenir d'avoir crevé les yeux d'un enfant avec les pouces...

"La musique existe pour ceux qui ne savent pas s'exprimer avec des mots."

Chanteuse au sein de Grapehill et Alter Ego 60 - Autrice de poèmes et de nouvelles.

[ Dernière édition du message le 17/04/2020 à 20:15:43 ]

2915
Citation :
Pas fun le réveil, avec le souvenir d'avoir crevé les yeux d'un enfant avec les pouces...


d'un fantôme, pas d'un enfant... :clin:

Incrédule sur tout, sceptique sur le reste

2916
Un fantôme d'enfant suffisamment matérialisé pour sentir les fluides exploser sous mes pouces... Et en plus il n'était même pas horrible à voir (avant que je le re-tue du moins).

"La musique existe pour ceux qui ne savent pas s'exprimer avec des mots."

Chanteuse au sein de Grapehill et Alter Ego 60 - Autrice de poèmes et de nouvelles.

2917
:surpris:
Je peux aller me recoucher avec mon diable en robe de chambre. :mdr:

"Un accord, c'est bien,
deux accords, vous poussez un peu,
trois accords, c'est du Jazz" Lou Reed.

2918
Rêve AF auto : bon, je me souviens rarement de mes rêves, et quand je m'en souviens, ben c'est complètement nul ! :mrg:

Là, pour une raison que j'ignore je m'introduis par effraction chez Wham Bam : je saute la murette (vachement haute ! C'est qu'il se carapate le bougre) me retrouve dans le jardin à la flore chamarrée puis pour une autre raison inconnue décide de faire machine arrière en sortant de la propriété.
C'est sans compter sur les sens aguerris de Rasko qui sort de sa baraque, me prend en train d'escalader la -toujours plus haute- murette et m'invite dans sa demeure ! Evidemment on ne s'est jamais vus mais il m'a reconnu au premier coup d'oeil : visiblement mon inconscient voit ce type comme un vieux briscard à qui on la fait pas ! Le surmoi castrateur ? Allez donc savoir...
Bref on se retrouve chez lui, il y a sa femme dans une autre pièce, ils ont l'air de se la couler douce, je ne sais pas trop ce qu'on fait ni si on discute ou quoi. C'est un peu le bordel chez vous M. Wham Bam, faudrait ranger le salon des fois. Toujours est-il que je me suis senti accueilli mais pas très à l'aise. La jardin est plus propre que l'intérieur on dirait, et immense.

Voilà ! :noidea::?!:

- Vous êtes contre tout ce qui a été fait depuis la dernière guerre...
- Vous vous trompez de date. Je suis contre tout ce qui a été fait depuis Adam

2919
Cette nuit, j'étais un jeune garçon qui accompagnait quelqu'un dans une friche industrielle. Dans une montée en terre, il y avait une épave de Jaguar XJ qui s'enfonçait dans le terrain. J'ai ouvert la porte conducteur puis m'y suis suspendu, satisfait comme un gamin qui fait une farce. Ce qui n'était pas du goût de la personne qui était avec moi. Ensuite, nous sommes entrés dans un garage automobile "à l'ancienne", sale, sombre, avec un comptoir en bois derrière lequel se trouvaient un personnage mystérieux et un jeu métisse apprenti. Le personnage mystérieux a sorti un livre de compte duquel il a extrait trois feuilles noircies par le cambouis. Puis a semblé me reproché d'avoir volé 6000 € comme indiqués sur ces papiers sales. C'est étrange, mais j'ai relié cette situation à un rêve vécu quelques années avant. Des images fugaces de mon enfance sont passées devant moi. Ensuite, j'ai quitté les lieux, mal à l'aise que l'on me reproche d'avoir volé quoi que ce soit. Plus je réfléchissais à la situation, plus j'avais l'impression de faire partie d'un milieu mafieux. Je me suis couché dans une chambre. En fait, un matelas dans un contennair. Je dormais lorsque le jeune métisse apprenti s'est pointé à l'entrée suivi par quelqu'un patibulaire. Un français, massif la tête ronde avec des petits yeux, vêtu d'un blouson en cuir. Les parois autour de moi ont disparues et, je me suis retrouvé accroché au gars. Vraiment le type effrayant. Celui à qui on confie les tâches les plus ingrates et qui les execute sans scrupules. J'ai tout de suis capté qu'il allait faire de moi un exemple. À chacun de ses pas, je touchais pas terre. Je flottais dans ses bras. J'étais terrorisé. Nous nous sommes retrouvés sur une place carrée bordée de platanes. Il a jeté un regard de dépit vers moi qui signifiait "toi mon garçon, tu as vraiment une belle bouille, c'est trop dommage que je te la détruise". Il m'a parut ... Humain à ce moment là. Ce qui était encore plus tragique pour moi. Si vous aviez vu la taille de ses mains ! Des battoirs ! Énormes, calleuses ! Terrifiantes. Il m'a littéralement DÉ-FON-CÉ la figure !
Des os qui craquent et du sang qu'on vaporise.

Je me suis réveillé.

Cette nuit je vais te chercher et je vais te pulvériser. Ensuite je vais désintégrer tous les batards qui t'ont mis sur ma route.
Dans le doute, le mieux ça serait quand même une ligne inox.

 

 
2920
Citation :
Cette nuit je vais te chercher et je vais te pulvériser. Ensuite je vais désintégrer tous les batards qui t'ont mis sur ma route.


je suis partant pour venir avec toi te donner un coup de main pour les éparpiller façon puzzle !
En revanche, même si je ne suis pas vénal, on partage les 6000 € en échange ? :clin::mrg:

Incrédule sur tout, sceptique sur le reste

2921
La solidarité savoyarde ça n'a pas de prix...
Oh wait ! 6000 boules comme même ! :oops2:
Dans le doute, le mieux ça serait quand même une ligne inox.

 

 
2922
La nuit dernière y avait Jimmy Page et robert Plant (ils me l'ont dit). Sauf qu'ils étaient assez petits, assez banals, rasés, l'un avait une coupe en brosse, et surtout il avaient l'air d'avoir 22 ans (mais 50 en même temps).
Leur faisant remarquer photo à l'appui qu'ils ressemblaient pas du tout au Zep de 1975 (au pif), ils me disent que c'était à cause des tournées, de l'alcool, de la vie de rockstar... Ils étaient crevés et mal en point à l'époque mais maintenant ils sont en super forme. Bon.
:?!:

aujourd'hui je reste couché / tout a déja été fait / rien ne disparait / tout s'accumule (dYmanche)

[ Dernière édition du message le 01/10/2020 à 20:32:53 ]

2923
:bave:
Al bundy vs Georges abitbol
2924
:mrg:
Dans le doute, le mieux ça serait quand même une ligne inox.

 

 
2925
Rêve chelou : ça y est, je recommence à refaire des rêves déjà faits par le passé. Cette fois, c'était le rêve où il y a une invasion zombie, d'autres personnes et moi nous enfuyons, au bout d'un moment après que nous nous soyons réfugiés dans un hôtel géant, nous nous rendons compte que ces zombies ne sont pas des cannibales affamés qui arrachent tout ce qui bouge à coups de dents (pas de sang, aucun membre ou carotide arrachée à coups de canines, en fait on ne sait même pas comment l'infection se transmet), et qu'ils ne pourrissent pas ni rien... Puis nous comprenons qu'il y a un humain quelque part qui les contrôle (du style : "ha ha ha ha, j'ai une armée à mes ordres et je vais conquire le monde"). Nous nous faisons de toute façon tous zombifier quand même mais curieusement nous conservons nos capacités de réflexion et une part de liberté d'action, grâce à laquelle nous nous débarrassons du méchant, je ne sais pas comment d'ailleurs le rêve ne l'a pas précisé. Puis un à un, les zombies guérissent spontanément et redeviennent des humains ordinaires (à part peut-être quelques membres cassés pour certains, mais rien qui ne soit guérissable), donc nous sommes rassurés sur le fait que tout est bien qui va finir bien et que nous redeviendrons bientôt humains aussi.

Je précise pour ceux qui se poseraient la question d'un éventuel plagiat de mon cerveau : la première fois que j'ai fait ce rêve, je n'avais pas encore lu le livre "Je suis une légende" (et encore moins vu le film adapté/inspiré bien des années après la parution de ce livre, j'ai apprécié les deux oeuvres, d'ailleurs).

"La musique existe pour ceux qui ne savent pas s'exprimer avec des mots."

Chanteuse au sein de Grapehill et Alter Ego 60 - Autrice de poèmes et de nouvelles.

[ Dernière édition du message le 05/10/2020 à 10:36:37 ]