Vos rèves chelous
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Anonyme
521410
Sujet de la discussion Posté le 17/11/2004 à 10:34:06Vos rèves chelous
Postez ici vos rèves vraiment bizarres.
Citation : Ptain j'ai revé de sarkozy cette nuit. Il faisait le l'aerobic en pleine rue
Jr0001
5527
Je poste, donc je suis
Membre depuis 19 ans
1151 Posté le 11/03/2007 à 16:11:40
En plus j'existe pas autre part que dans ton imagination, je suis ton fake. T'es vraiment dérangé de la carafe.
Anonyme
3027
1152 Posté le 11/03/2007 à 16:13:47
Recement j'ai rever d'un des mec de duros qui m'avait anarquer sur le prix d'une guitare qu'il voulait me vendre. il me proposait une squier au prix d'une us . ah non tient je n'ais pas rever.
reve space il ya quelques nuits : je donnais un concert avec mon groupe dans un espece de grenier gigantesque il y avait enormement de monde , une ambiance bien glauque come je les aimes. tout se passe bien tout le monde est cinglé ,enfin normal quoi, et un moment on doit mon groupe et moi se barrer en urgence , on a pas le temps de ranger le matos on se barre commpe on peut. une fois dehors en pleine nuit on se retourne on vois le batiment ou on donnait le concert en feu tout nos instrument incinérés.
mais on sait que quelqu'un veut nous tuer , il est juste derreire mais il n'y a personne bien space, et on continue de courrir a travers des champs de blé... et la apres je me souviens plus ou peut etre que je me reveille.
reve space il ya quelques nuits : je donnais un concert avec mon groupe dans un espece de grenier gigantesque il y avait enormement de monde , une ambiance bien glauque come je les aimes. tout se passe bien tout le monde est cinglé ,enfin normal quoi, et un moment on doit mon groupe et moi se barrer en urgence , on a pas le temps de ranger le matos on se barre commpe on peut. une fois dehors en pleine nuit on se retourne on vois le batiment ou on donnait le concert en feu tout nos instrument incinérés.
mais on sait que quelqu'un veut nous tuer , il est juste derreire mais il n'y a personne bien space, et on continue de courrir a travers des champs de blé... et la apres je me souviens plus ou peut etre que je me reveille.
Jules Joffrin
22971
Vie après AF ?
Membre depuis 20 ans
1153 Posté le 13/03/2007 à 08:40:55
Je me préparais à faire un attentat nucléaire, piloté de mon appart. Et je cherchais du ruban adhésif pour mettre sur les fenêtres et empêcher que la radioactivité rentre dans mon appart. Mais j'avais peur de laisser mon adn sur le ruban adhésif et qu'on me retrouve.
oryjen
17492
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 20 ans
1154 Posté le 13/03/2007 à 09:19:19
Heureusement que sarko va très bientôt nous débarrasser de tous les dangereux terroristes potentiels qui agitent en secret ce genre de fantasmes!
De toutes façons si c'est pas lui ce sera ségo.
De toutes façons si c'est pas lui ce sera ségo.
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L'artiste entrouvre une fenêtre sur le réel; le "réaliste pragmatique" s'éclaire donc avec une vessie.
Jules Joffrin
22971
Vie après AF ?
Membre depuis 20 ans
1155 Posté le 13/03/2007 à 09:23:23
C'est pas la première fois que je rêve que prépare ou fait un attentat. C'est complètement dingo, je suis pas vraiment ce qu'on appelle un violent.
oryjen
17492
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 20 ans
1156 Posté le 13/03/2007 à 09:31:33
Il paraît (...il paraît...) que l'une des fonctions des rêves est d'évacuer les pulsions refoulées par le conscient...
Ca voudrait dire qu'on est tous profondément des salopards, et que seule notre volonté nous permet de nous conduire correctement avec nos semblables...
J'y crois pas trop...
Ca voudrait dire qu'on est tous profondément des salopards, et que seule notre volonté nous permet de nous conduire correctement avec nos semblables...
J'y crois pas trop...
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L'artiste entrouvre une fenêtre sur le réel; le "réaliste pragmatique" s'éclaire donc avec une vessie.
Jules Joffrin
22971
Vie après AF ?
Membre depuis 20 ans
1157 Posté le 13/03/2007 à 09:56:35
Elles seraient méchamment refoulées mes pulsions alors, car un attentat nucléaire quand même, c'est pas de la roupie de sansonet.
oryjen
17492
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 20 ans
1158 Posté le 13/03/2007 à 10:28:33
Hu! Hu! Hu!
Jules-le-terroriste-nucléaire!
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L'artiste entrouvre une fenêtre sur le réel; le "réaliste pragmatique" s'éclaire donc avec une vessie.
Jr0001
5527
Je poste, donc je suis
Membre depuis 19 ans
1159 Posté le 21/03/2007 à 21:15:30
Cette nuit, j'allais chez urk. C'est un petit ado en bôtes en caoutchouc avec une voix toute fluette qui me reçoit avec d'autres personnes, je ne sais plus qui. Bref, urk arrive et nous montons dans son immeuble, c'est à dire l'appart de ses parents. La premiere chose sur laquelle je m'attarde est le petit home studio du bonhomme. Il est en fait composé de plusieur synthés et machnines assemblées en U. Il y a un énormes synthés avec des sons ultra-mauvais avec lequels urk me dit faire toutes ses chanson. Mais caché dessous, il y a le dernier rhodes. Des que urk a le dos tournée, je vire le gros synthé pour m'attarder sur le rhodes qui a ma grande surprise n'a que des sons d'orgues dans le ventre. Tant pis, je continue quand meme.
Scene suivante, on part en free. Sur un champs, à coté d'un petit lotissement des maisons sont installés d'immenses chapiteaux. Des voitures sont garés sur le coté dans des flaques de boue. Il y a des videurs a l'entrée et nous nous dirigeons vers ce qui semble etre une cantine improvisée composée d'une longue table. Je m'installe à un bout et roule un joint, c'est a dire effrite du shit entre deux tranches de pain de mie dans lequel je croque un bout avant de faire tournée. Urk arrive alors pour nous envoyer vers le coeur des festivités.
Scene suivante, on part en free. Sur un champs, à coté d'un petit lotissement des maisons sont installés d'immenses chapiteaux. Des voitures sont garés sur le coté dans des flaques de boue. Il y a des videurs a l'entrée et nous nous dirigeons vers ce qui semble etre une cantine improvisée composée d'une longue table. Je m'installe à un bout et roule un joint, c'est a dire effrite du shit entre deux tranches de pain de mie dans lequel je croque un bout avant de faire tournée. Urk arrive alors pour nous envoyer vers le coeur des festivités.
Shirow
19879
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 20 ans
1160 Posté le 28/03/2007 à 00:45:19
Bon , ayé , je suis douché , j'ai mangé , je peux me poser pour taper mon reve de la nuit derniere ...
Pour une fois , c'est un cauchemard , pas un reve ... C'est different , parce que j'ai remarqué qu'alors que je me rappelle presque parfaitement de mes rêves et dans leur intégralité , je n'arrive pas à en faire autant pour mes cauchemards : s'y succedent , en general , des phases dont je me rappelle à peu près et des phases qui ne me laissent qu'une vague impression ...
Bref ...
Ca commence dans une vaste salle de theatre , vide , plongée dans le noir hormis la scene , éclairée . Sur la scene , il y a un plan de travail carrelé , un peu facon chimiste ou boucher , sur lequel sont posés des instruments de chirurgie , des couteaux , des écarteurs , des vis ... Tout autour , des boites , l'air solide , et à l'ecart , une plus petite boite sur un tabouret . J'entre en scene ( litteralement ) , l'air nerveux , habillé d'une blouse déja tachée de sang . On entend des applaudissements , et une voix , genre voix off , très enjouée , commente la scene en expliquant que "Monsieur Julien" est l'assistant de David Lynch qui n'est en réalité qu'une boite qui parle ( la boite sur le tabouret ) . On dirait que la boite m'ordonne de me mettre au boulot , sinon l'expo ne sera pas prete à temps ... J'ai l'air de protester . Au final , j'ouvre une des grandes boites et en extirpe son contenu : une femme , endormie , nue . Je la pose sur le plan de travail et commence à la découper au rythme des encouragements de Lynch / Boite parlante . Une fois découpée , je la remonte en recollant des morceaux de facon aléatoires . Le sang gicle de facon outranciere , j'ai une sensation de contraste violent avec le reste des couleurs , un peu comme si le rêve etait projeté sur du papier recyclé , blanc-mais-pas-tout-à-fait-blanc ... Une fois le corps remonté , la boite me félicite et me dit que décidemment , je suis particulierement doué , que l'expo sera un succés , qu'il reste une piece à fabriquer et que ce sera parfait . J'ouvre donc une autre boite , l'air triste , et c'est la petite amie d'un de mes meilleurs amis qui s'y trouve . Cette fois ci , je refuse de m'y mettre et une dispute démarre , mais un peu comme dans les films muets : c'est très surjoué , limite grotesque . Finalement , Monsieur Julien attrape un crochet et le plante dans son propre visage , arrachant et lacerant la chair sous les applaudissements du public fantome .
Décrochage .
Je me souviens à partir de là : c'est le noir complet , encore une fois , sauf une lumiere , très loin . Même si on ne discerne rien , j'ai l'impression que c'est un couloir et que la lumière est au bout , éclairant une pièce imprécise . On s'approche de la lumière . Il y a un homme gigantesque , très maigre , vétu comme un boucher , de dos . Impossible de voir sa tête . Il est occupé à hacher des enfants , des bébés , de jeunes personnes mais s'arrete de temps en temps pour fumer une cigarette . On dirait qu'il ignore que "je suis là" . Au bout d'un moment , il s'adresse à moi ( même si je n'ai pas d'avatar dans cette partie ) , sur un ton très familier , comme si c'etait un parent . Il me réprimande pour ne pas être venu le voir recemment , on dirait . Et là , une phrase : "qu'importe , c'est bientot la fin , c'est le dernier acte ..." , l'air un peu triste .
Là , je sais pas trop . Plein d'images , mais très saccadées , un peu comme s'il manquait des étapes dans "l'animation" . J'ai une sensation de vertige terrible .
Finalement : une espece de plaine désertique , sous un ciel étoilé , qu'éclaire aussi une énorme lune . J'ai à la fois l'impression que la plaine est sans fin et que le bout du monde est tout proche , que je pourrais tomber dans ce ciel . Des rires étouffés comme lorsque quelques personnes rient discretement au théatre . Je suis là , nu , couvert de cicatrices , de blessures , de traces de coups , même pas refermé de partout , en train de marcher à tatons , à quatre pattes , dans le sable , comme un animal perdu . Le boucher est là , aussi , il a la présence d'un narrateur . Son plan de travail est derriere lui , couvert de bocaux remplis d'organes . Je ne vois toujours pas sa tête . Il fait rouler deux yeux dans sa main , attendant de délivrer la morale de l'histoire ou en tout cas , sa conclusion , on dirait . Finalement , il parle : "pauvre Julien , il n'a plus rien ... plus rien ... ( j'ai une impression d'écho sans fin , assez bizarre , comme des billes qui rebondissent dans un tuyau ) plus rien ... pas même ses yeux pour pleurer ..." et il rigole , à l'unison avec le public fantome , toujours là , alors que l'image se rapproche du moi mutilé jusqu'à ce qu'uniquement le visage soit "cadré" . J'ai les paupieres closes au milieu de ce visage ravagé . On dirait que j'essaie de regarder "au dela" du reve , avec des paupieres . Un sanglot a l'air de monter , et là , il / j'ouvre les yeux qui sont bien evidemment vides et du sang s'écoule à flot des orbites alors que les rires de la foule redoublent d'intensité .
Reveil .
Je me suis senti pas bien , sale , en me réveillant , comme nappé dans la poisse ... Baaah .
Pour une fois , c'est un cauchemard , pas un reve ... C'est different , parce que j'ai remarqué qu'alors que je me rappelle presque parfaitement de mes rêves et dans leur intégralité , je n'arrive pas à en faire autant pour mes cauchemards : s'y succedent , en general , des phases dont je me rappelle à peu près et des phases qui ne me laissent qu'une vague impression ...
Bref ...
Ca commence dans une vaste salle de theatre , vide , plongée dans le noir hormis la scene , éclairée . Sur la scene , il y a un plan de travail carrelé , un peu facon chimiste ou boucher , sur lequel sont posés des instruments de chirurgie , des couteaux , des écarteurs , des vis ... Tout autour , des boites , l'air solide , et à l'ecart , une plus petite boite sur un tabouret . J'entre en scene ( litteralement ) , l'air nerveux , habillé d'une blouse déja tachée de sang . On entend des applaudissements , et une voix , genre voix off , très enjouée , commente la scene en expliquant que "Monsieur Julien" est l'assistant de David Lynch qui n'est en réalité qu'une boite qui parle ( la boite sur le tabouret ) . On dirait que la boite m'ordonne de me mettre au boulot , sinon l'expo ne sera pas prete à temps ... J'ai l'air de protester . Au final , j'ouvre une des grandes boites et en extirpe son contenu : une femme , endormie , nue . Je la pose sur le plan de travail et commence à la découper au rythme des encouragements de Lynch / Boite parlante . Une fois découpée , je la remonte en recollant des morceaux de facon aléatoires . Le sang gicle de facon outranciere , j'ai une sensation de contraste violent avec le reste des couleurs , un peu comme si le rêve etait projeté sur du papier recyclé , blanc-mais-pas-tout-à-fait-blanc ... Une fois le corps remonté , la boite me félicite et me dit que décidemment , je suis particulierement doué , que l'expo sera un succés , qu'il reste une piece à fabriquer et que ce sera parfait . J'ouvre donc une autre boite , l'air triste , et c'est la petite amie d'un de mes meilleurs amis qui s'y trouve . Cette fois ci , je refuse de m'y mettre et une dispute démarre , mais un peu comme dans les films muets : c'est très surjoué , limite grotesque . Finalement , Monsieur Julien attrape un crochet et le plante dans son propre visage , arrachant et lacerant la chair sous les applaudissements du public fantome .
Décrochage .
Je me souviens à partir de là : c'est le noir complet , encore une fois , sauf une lumiere , très loin . Même si on ne discerne rien , j'ai l'impression que c'est un couloir et que la lumière est au bout , éclairant une pièce imprécise . On s'approche de la lumière . Il y a un homme gigantesque , très maigre , vétu comme un boucher , de dos . Impossible de voir sa tête . Il est occupé à hacher des enfants , des bébés , de jeunes personnes mais s'arrete de temps en temps pour fumer une cigarette . On dirait qu'il ignore que "je suis là" . Au bout d'un moment , il s'adresse à moi ( même si je n'ai pas d'avatar dans cette partie ) , sur un ton très familier , comme si c'etait un parent . Il me réprimande pour ne pas être venu le voir recemment , on dirait . Et là , une phrase : "qu'importe , c'est bientot la fin , c'est le dernier acte ..." , l'air un peu triste .
Là , je sais pas trop . Plein d'images , mais très saccadées , un peu comme s'il manquait des étapes dans "l'animation" . J'ai une sensation de vertige terrible .
Finalement : une espece de plaine désertique , sous un ciel étoilé , qu'éclaire aussi une énorme lune . J'ai à la fois l'impression que la plaine est sans fin et que le bout du monde est tout proche , que je pourrais tomber dans ce ciel . Des rires étouffés comme lorsque quelques personnes rient discretement au théatre . Je suis là , nu , couvert de cicatrices , de blessures , de traces de coups , même pas refermé de partout , en train de marcher à tatons , à quatre pattes , dans le sable , comme un animal perdu . Le boucher est là , aussi , il a la présence d'un narrateur . Son plan de travail est derriere lui , couvert de bocaux remplis d'organes . Je ne vois toujours pas sa tête . Il fait rouler deux yeux dans sa main , attendant de délivrer la morale de l'histoire ou en tout cas , sa conclusion , on dirait . Finalement , il parle : "pauvre Julien , il n'a plus rien ... plus rien ... ( j'ai une impression d'écho sans fin , assez bizarre , comme des billes qui rebondissent dans un tuyau ) plus rien ... pas même ses yeux pour pleurer ..." et il rigole , à l'unison avec le public fantome , toujours là , alors que l'image se rapproche du moi mutilé jusqu'à ce qu'uniquement le visage soit "cadré" . J'ai les paupieres closes au milieu de ce visage ravagé . On dirait que j'essaie de regarder "au dela" du reve , avec des paupieres . Un sanglot a l'air de monter , et là , il / j'ouvre les yeux qui sont bien evidemment vides et du sang s'écoule à flot des orbites alors que les rires de la foule redoublent d'intensité .
Reveil .
Je me suis senti pas bien , sale , en me réveillant , comme nappé dans la poisse ... Baaah .
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