Sujet Commentaires sur le dossier : Le mastering avec maestria
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Mike Levine

Posteur·euse AFfranchi·e
Premier post
1 Posté le 04/09/2017 à 14:35:27
Greg Calbi a déjà une sacrée carrière derrière lui en tant qu'ingénieur de mastering (43 ans pour être précis), et il est toujours bel et bien dans le coup. Durant cette période, il a masterisé plus de 8 000 albums, dont de nombreux classiques.
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Before_

Je poste, donc je suis
11 Posté le 05/09/2017 à 14:07:47

Leonid-ass

Posteur·euse AFfamé·e
12 Posté le 05/09/2017 à 14:38:28
Ça parle pognon sans tabou.
Ça fait plaisir.
Ça fait plaisir.

Cola verde

AFicionado·a
13 Posté le 05/09/2017 à 21:10:50
Citation :
dans ce cas oui il "facture" au risque que même les grosses maison de disque se disent: " on s'en fout gravez moi le master digital de bourrin sur vinyle avec la boite de pressage la moins chère".
en fait quand il parle de 500$ pour l'adaptation vinyl ça doit justement correspondre à enlever le limiteur final et ajuster d'un poil l'égalisation.....Ceux qui veulent mieux payent plus mais pour 500 il fait quand même un son moins écrasé que sur la version cd je pense...Et 500 dollars apparemment beaucoup sont prêts à le payer car ça doit pas faire un gros supplément vu les tarifs de ce studio (genre 300/piste)
[ Dernière édition du message le 05/09/2017 à 21:13:29 ]

rroland

Modérateur·trice thématique
14 Posté le 05/09/2017 à 21:54:18
Le vinyle coûte cher au mastering car il y a les lacquers à fournir plus l'usure du stylus plus le réglage et l'entretien de la cutteuse.
Quand les clients ont moins de budget, on ne grave que des extraits (le vinyle ne rend pas le même son que le numérique, il faut donc graver puis écouter). Quand on veut faire un boulot pointu en vinyle, il faut réellement plus de temps (plus les consommables).
De plus, le lacquer se dégrade très rapidement, et pour juger du travail, il faut attendre le test pressing (si pas satisfait c'est reparti pour un tour).
Quand les clients ont moins de budget, on ne grave que des extraits (le vinyle ne rend pas le même son que le numérique, il faut donc graver puis écouter). Quand on veut faire un boulot pointu en vinyle, il faut réellement plus de temps (plus les consommables).
De plus, le lacquer se dégrade très rapidement, et pour juger du travail, il faut attendre le test pressing (si pas satisfait c'est reparti pour un tour).
Rroland www.studiolair.be

jambesexy

Je poste, donc je suis
15 Posté le 06/09/2017 à 08:12:28
Citation de DownSideUp :
dans ce cas oui il "facture" au risque que même les grosses maison de disque se disent: " on s'en fout gravez moi le master digital de bourrin sur vinyle avec la boite de pressage la moins chère".
ce dont tout le monde semble se plaindre en ce moment concernant le vinyl
Il souligne bien le vrai problème: la version approuvée est la version digitale, donc impossible de vraiment changer la nature du master pour le vinyl. Ce n'est que de l'adaptation.
J'aurais bien aimé qu'il parle un peu loudness sur internet numérique, parce que je trouve que couplée à la recrudescence du vinyl, les professionnels devraient en profiter pour redonner un peu de dynamique à leurs masters. Et du coup approuver la version spotify/vinyl et recompresser un peu la version CD (mais finalement tout le monde s'en fout aujourd'hui non de la version CD?)

Before_

Je poste, donc je suis
16 Posté le 06/09/2017 à 09:43:58
x
Hors sujet :Personnellement je n'écoute pas de musique "en ligne" et j'achète toujours les cd ou vinyles (pour encourager les groupes moins médiatiques/médiatisés). Et ça permet de discuter avec les musiciens à la fin du concert.

begwanch2007fr

Nouvel·le AFfilié·e
17 Posté le 09/09/2017 à 04:53:12
Parler de MP3 (même pas du AAC) c'est niveler par le bas -et parler du passé du numérique. Les problèmes de saturation aussi çà parait bien basique (encore que...). On aurait apprécié, avec sa vaste expérience du mastering, qu'il prenne du recul et aborde les évolutions récentes vers une meilleure qualité des supports digitaux. On doit se contenter de quelques informations plus alimentaires que passionnées sur le vinyl. Cela dit, une interview plus riche sur le personnage et ce qu'il fait est sur youTube:
A comparer cependant avec une interview par Audiofanzine il n'y a pas si longtemps, de Bob Katz au SAE Paris sur Youtube, un grand nom du mastering qui semble plus perfectionniste sur le rendu sonore, avec la vidéo:
A comparer cependant avec une interview par Audiofanzine il n'y a pas si longtemps, de Bob Katz au SAE Paris sur Youtube, un grand nom du mastering qui semble plus perfectionniste sur le rendu sonore, avec la vidéo:

NDesmarest

Posteur·euse AFfiné·e
18 Posté le 01/10/2017 à 11:57:16
Merci AF ! Super article très intéressant
Nicolas DESMAREST - Guitariste / Arrangeur / G66 France

DownSideUp

AFicionado·a
19 Posté le 02/08/2018 à 10:40:39
"Le client nous envoie le matériel" . C'est vraiment je pense une francisation de "material" qui est peu heureuse et qu'on voit de plus en plus !
pour un non initié ça peut être perturbant que le client envoie du matériel ( instruments, objets physique utilisés pour une activité) on pourrait dire qu'il envoie de la "matière" c'est imagé mais ça se comprend mieux, ou des mixs, des titres.
sinon Calbi, du lourd! bravo
pour un non initié ça peut être perturbant que le client envoie du matériel ( instruments, objets physique utilisés pour une activité) on pourrait dire qu'il envoie de la "matière" c'est imagé mais ça se comprend mieux, ou des mixs, des titres.

sinon Calbi, du lourd! bravo

Schizoide

Posteur·euse AFfolé·e
20 Posté le 02/08/2018 à 12:15:22
S'ils ont fait une traduction littérale de "material", c'est plus à prendre au sens de matière justement.