Amon tobin et compo
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electromachin
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retbah
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stanlea
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Shake
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A force de me renseigner, je vais ptêt aider notre ami, parceque Tobin je connais par coeur :
alors niveau matos déjà c'est tout simple : un PC portable avec Cubase VST32, et un Akai S6000. Il se sert bcp d'Halion (comme quoi personne n'est parfait).
Il sample en vynile le plus souvent, sur de vieux disques de jazz voire même de musique d'ascenseur. La première chose qu'il fait avec ses samples, c'est isoler les fréquences ; tous ses samples, isolément, ont une plage de fréquence très pointue (un gros Q, quoi
). Ensuite pour les effets, c'est très souvent ceux du S6000 ou les effets inboard de Cubase + du Native Instruments.
Niveau rythmique il y a très peu de cut ou de drill, surtout de l'empilage à contre-temps. Le plus important pour son style : les enveloppes. Quasiment tous ses empilages rythmiques viennent en fade in et partent en fade out, et les rythmiques sont compressées à mort, vraiment à mort, ce qui fait qu'on ne sait jamais où est le début d'un sample et la fin d'un autre.
Pour ce qui est de jouer vraiment, c'est assez rare. Un chouilla d'harmonica (c'est son instru d'origine), une pointe de contrebasse et surtout des bruits quotidiens qui servent dans le S6000 : moteurs, portes qui couinent, gargouillis intestinaux...
Le plus impressionant : les reverbs. Il recrée un espace acoustique commun à tous ces éléments avec une facilité déconcertante. C'est sans doute la part la plus difficile à aquérir pour ce genre de technique.
Tout ça pour dire, niveau technique pure c'est très loin d'être monstrueux, à part la gestion des reverbs, et surtout le matos est à la portée du premier venu. Par contre le talent est gigantesque. Phénoménal, même
alors niveau matos déjà c'est tout simple : un PC portable avec Cubase VST32, et un Akai S6000. Il se sert bcp d'Halion (comme quoi personne n'est parfait).
Il sample en vynile le plus souvent, sur de vieux disques de jazz voire même de musique d'ascenseur. La première chose qu'il fait avec ses samples, c'est isoler les fréquences ; tous ses samples, isolément, ont une plage de fréquence très pointue (un gros Q, quoi
). Ensuite pour les effets, c'est très souvent ceux du S6000 ou les effets inboard de Cubase + du Native Instruments.Niveau rythmique il y a très peu de cut ou de drill, surtout de l'empilage à contre-temps. Le plus important pour son style : les enveloppes. Quasiment tous ses empilages rythmiques viennent en fade in et partent en fade out, et les rythmiques sont compressées à mort, vraiment à mort, ce qui fait qu'on ne sait jamais où est le début d'un sample et la fin d'un autre.
Pour ce qui est de jouer vraiment, c'est assez rare. Un chouilla d'harmonica (c'est son instru d'origine), une pointe de contrebasse et surtout des bruits quotidiens qui servent dans le S6000 : moteurs, portes qui couinent, gargouillis intestinaux...
Le plus impressionant : les reverbs. Il recrée un espace acoustique commun à tous ces éléments avec une facilité déconcertante. C'est sans doute la part la plus difficile à aquérir pour ce genre de technique.
Tout ça pour dire, niveau technique pure c'est très loin d'être monstrueux, à part la gestion des reverbs, et surtout le matos est à la portée du premier venu. Par contre le talent est gigantesque. Phénoménal, même
bocoufou
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A quand un projet amon tobin et dj shadow????? c'est nos oreilles et la moquette qui en prendraient un coup!!!!! 
le leprechaune
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