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Peavey 5150 Head
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Peavey 5150 Head

Tête d'ampli guitare tout lampe de la marque Peavey appartenant à la série 5150

26 avis

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4.7/5
(26 avis)
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Rapport qualité/prix : Excellent
Mitsu73Mitsu73

Ampli légendaire, le son de référence des amplis high gain Modernes

Peavey 5150 HeadPublié le 18/06/20 à 23:30
Le graal pour les amateurs de heavy metal, du crunch au high gain metal il est roi.
Privilégier la tête MK1 qui devra être accompagnée de son baffle slant massif équipé de sheffield US et la: les 120 watts RMS vous enverrons en orbite.
Seuls défauts, une equalisation pour les deux canaux, et surtout...la puissance: injouable en appart ou à moins de 500 mètres d'une zone dite civilisée...
Un ampli qui a marqué et restera dans l'histoire de la musique, massif et demoniaque.
Rare à la vente et très recherché, une pièce de musée certes, mais un morceau d'histoire signé par le grand Eddy VAN HALEN et PEAVEY USA...…
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Le graal pour les amateurs de heavy metal, du crunch au high gain metal il est roi.
Privilégier la tête MK1 qui devra être accompagnée de son baffle slant massif équipé de sheffield US et la: les 120 watts RMS vous enverrons en orbite.
Seuls défauts, une equalisation pour les deux canaux, et surtout...la puissance: injouable en appart ou à moins de 500 mètres d'une zone dite civilisée...
Un ampli qui a marqué et restera dans l'histoire de la musique, massif et demoniaque.
Rare à la vente et très recherché, une pièce de musée certes, mais un morceau d'histoire signé par le grand Eddy VAN HALEN et PEAVEY USA (handmade)
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Vic LebowskyVic Lebowsky

Un californien pour le métal

Peavey 5150 HeadPublié le 05/08/17 à 00:54
Un ampli bien plus polyvalent qu'il n'y paraît , autant exploitable pour jouer du heavy Californien que pour jouer du métal. Du la puissance à revendre un grain bien US et du gain,du gain et encore du gain...

Testé avec un cabinet Peavey 4x12 et une Gibson SG Standard

Deux canaux un "Rythm" et un "lead" agrémentés d'un Switch Bright

Le canal Rythm en clean est malgré une couleur bien spécifique un peu fade à mon goût,mais comme bien souvent dans ce genre de joujou ce n'est pas ce qu.on lui demande en priorité... Mais dans l'ensemble il fait le boulot.

Switchés le canal Rythm en Crunch et attachez vos ceintures la bête s'ébranle directement et commence à respirer convenablement, la...…
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Un ampli bien plus polyvalent qu'il n'y paraît , autant exploitable pour jouer du heavy Californien que pour jouer du métal. Du la puissance à revendre un grain bien US et du gain,du gain et encore du gain...

Testé avec un cabinet Peavey 4x12 et une Gibson SG Standard

Deux canaux un "Rythm" et un "lead" agrémentés d'un Switch Bright

Le canal Rythm en clean est malgré une couleur bien spécifique un peu fade à mon goût,mais comme bien souvent dans ce genre de joujou ce n'est pas ce qu.on lui demande en priorité... Mais dans l'ensemble il fait le boulot.

Switchés le canal Rythm en Crunch et attachez vos ceintures la bête s'ébranle directement et commence à respirer convenablement, la saturation est bien contrôlable et fort précise avec son potard de pre amplification et on se rend compte avec les réglages d´équalisation qu'il y a pas mal de sons standard du heavy qui s'offrent à vous.

Avec le Canal lead monsieur Van Halen semble vouloir sortir des HP Sheffield et agriper votre guitare... Bon c'est une image mais on sens la touche heavy Californienne qui transpire des lampes de celui qui risque bien de devenir un sérieux compagnon de route...

Non ce n'est pas vraiment un Soldano ni un Diesel ou un Engel ... C'est un Peavey 5150 il va vous permettre avec son grain coloré et son gain démentiel de passer rien qu'en tournant le potard de pre amp du gros son Heavy classique des 80' au Métal contemporain


Le positif:
120 watts avec du 6l6
Un grain très agréable
Du gain a en revendre
De la polyvalence dans les sons saturés
5150 Quatre chiffres pour vous rappeler la griffe Van Halen qui enrobe cet ampli
Un prix qui reste raisonnable sur le marché de l'occasion
La tête se marie très bien avec le cabinet 4x12 de chez Peavey (heureusement)

Le négatif:
Une seule equalisation pour les deux canaux
Un food switch qui ne permet pas de basculer d'un canal à l'autre
Beaucoup de souffle,un noise gate me paraît indispensable
Devient difficile à trouver dans un bon état



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WilliamFWilliamF

Pachidermique

Peavey 5150 HeadPublié le 30/06/17 à 15:44
Après avoir joué sur EVH 5150 50w puis sur Peavey 6505+ 112, je continue ma fanatique exploration du son velu Van Halen en m’attaquant à la source : le (gros) 5150 MK1. Figure mythique de l’ampli high gain, copié, recopié, modifié, que vaut le ”premier” 5150 de l’hiftoire des finquante et un finquante ?

Design : Tout aussi mythique que son son, le design du Peavey 5150 est devenu un classique dont peu de détails suffisent pour y faire référence. Quatre gros chiffres argentés, potard chicken head, grille noire, taille et poids de buffle, la sobriété qui se dégage de cette tête en impose, on est pas là pour faire dans la dentelle. La bête, made in USA, n’étant plus produite depuis 2004...…
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Après avoir joué sur EVH 5150 50w puis sur Peavey 6505+ 112, je continue ma fanatique exploration du son velu Van Halen en m’attaquant à la source : le (gros) 5150 MK1. Figure mythique de l’ampli high gain, copié, recopié, modifié, que vaut le ”premier” 5150 de l’hiftoire des finquante et un finquante ?

Design : Tout aussi mythique que son son, le design du Peavey 5150 est devenu un classique dont peu de détails suffisent pour y faire référence. Quatre gros chiffres argentés, potard chicken head, grille noire, taille et poids de buffle, la sobriété qui se dégage de cette tête en impose, on est pas là pour faire dans la dentelle. La bête, made in USA, n’étant plus produite depuis 2004 (enfin si mais re-brandé 6505), le marché de l’occasion permet donc de trouver toutes les nuances d’usure. Globalement la tête tient bien les années si peu que son/ses ancien(s) propriétaire(s) en ait/ont pris soin.
Personnellement ma tête date de 2004, soit juste avant la transition vers 6505, et présente un état quasi-irréprochable au regard de la réputation de ses ”low quality-component”. Les potards ne crachotent pas, le vinyle est nickel, tout lui laisse présager encore de longues années devant elle (à faire chier les voisins).
+ sobriété, robustesse
– poids, transport difficile avec sa seule poignée sur le dessus

Utilisation : À l’image de son design, son utilisation est très simple. La face avant avec son entré low ou high gain, ses 9 potards avec EQ communes aux deux canaux sur fond métallique (me) rappelle un peu les Marshall JCM et consorts. Les dénominations pre gain et post gain peuvent légèrement dérouter les novices au début, car faisant référence directement à la conception d’un ampli : pre gain pour le signal arrivant dans la section preampli, donc niveau de gain, post gain pour le signal arrivant dans l’ampli de puissance, donc volume. Au delà de l’EQ et presence-resonance communes au deux canaux, chaque canal dispose de son propre contrôle de gain et volume, permettant un ajustement facile entre les deux voicings.
La face arrière est déconcertante de simplicité : send et return de la boucle d’effet, une sortie preamp (pour se brancher sur une autre section de puissance type rack ou autre), entrée jack pour le footswitch, deux sorties cabinet avec selecteur d’impédance et trappe (vissée) d’accès aux lampes de préampli qui permet un changement facile et rapide des tubes. La grille arrière permet un accès facile aux lampes de puissance, assurant par la même occasion une bonne protection et aération (oui parce que ça chauffe).
Le footswitch propose seulement deux fonctions : activer la boucle d’effet et passage du canal Rythm au canal Lead. À mon sens, c’est un petit peu dommage. Une combinaison clean-crunch et lead, comme sur le 6505+112 permettant ainsi plusieurs nuances de low gain, mid gain et high gain au pied lui aurait offert plus de polyvalence en jeu live. Alors certes le 5150II propose cette fonction (avec un meilleur canal rythm), mais tout de même, quand on a qu’une seule pédale dans la loop, ce switch fait un peu doublon. Et quand bien même on en aurait plusieurs à vouloir activer en même temps, une loop externe avec switch regroupant les effets aurait fait l’affaire…
En terme de recherche du sweet spot ultime, le 5150 est plutôt ”straight to the point”. Inutile de passer des heures à tourner les boutons et essayer moultes combinaisons, on branche, on joue. Les potards sont bien progressifs et assez précis pour affiner son son.
+ simplicité, efficacité
– contrôles du footswitch

Son : Qui n’a jamais entendu le doux ronronnement d’un 5150? Il est quasiment impossible d’être passé à coté. D’inspiration Soldano-Marshall à la sauce US, le 5150 est sorti de son statut d’ampli signature rapidement en séduisant bon nombre de chevelus par son niveau de saturation dantesque. Le son est tout simplement énorme, brute et gras tout en étant bien articulé. Il ne faut pas oublier que sa conception remonte au début des années 90 et que donc on lorgne plus vers un gros son, qu’un son metal tight moderne comme bon nombre d’albums aujourd’hui produits le laisseraient penser. En effet sans boost en façade pour resserrer les basses, le low end est pachidermique (sans que cela soit forcement gênant)…
Canal Rythm : oublié ou boudé au profit du canal Lead pour son absence de son clair convenable et un niveau de distortion moindre, le canal Rythm apporte pourtant à mon sens de nombreuses qualités à l’ampli. Grâce au switch ”crunch” on peut naviguer entre du low-gain jusqu’a du high gain façon hard rock musclé. Le voicing étant un poil sombre, ou devrais-je dire plutôt porté sur les basses, avec des mediums naturellement creusés, le switch Bright apporte une clarté non négligeable ainsi qu’un léger boost de gain. Avec l’apport d’un clean boost en façade on peut toutefois atteindre un son clair potable, légèrement saturé, ou un gros high gain en mode crunch. À mon sens, les deux switchs crunch et bright, (ainsi que l’apport d’un boost en façade) confère a ce canal une plus grande polyvalence qu’on ne pourrait le penser. Il offre un petit territoire d’exploration, là où le canal Lead n’est là que pour la grosse satu qui tue. Globalement le son est plus doux et un poil moins ”criard” que le canal lead. En mode crunch, gain à 7-8 on obtient quasiment le même niveau de gain que sur le canal lead gain à 3 avec une saveur légèrement différente, plus vintage.
Canal Lead : C’est là où la magie opère… Le canal Lead fait l’unanimité : la réserve de gain est monumentale. Le voicing, destiné au lead donc solo, fais la part belle aux mediums pour transpercer le mix. Les basses tout aussi gigantesques assoient le son avec la légèreté d’un éléphant. Les aigus apportent clarté et articulation. Le contrôle de gain permet d’épaissir le son à mesure qu’on le monte. Globalement pour un jeu rythmique inutile de monter au delà de 4 ou 5, on garde ainsi une saturation claire et dynamique qui réagit bien aux intentions de jeux. L’apport d’un boost en façade, à mon sens indispensable pour amener le 5150 vers une disto plus moderne, permet de raffermir les basses, leur donnant plus de précision tout en gardant le gras caractéristique de l’ampli, c’est du win-win!
Les détracteurs du 5150 diront que ses aigus apportent un ”fizz” pas toujours apprécié. Celui-ci, faisant partis intégrante de la signature sonore peut toutefois être amoindris avec des speakers moins porté sur les aigus (comme le sont les Sheffield 1200 qui lui sont assignés). Pour ma part je l’ai couplé à deux Celestion Creamback M65 (Greenback plus puissant, Van Halen approved), qui peuvent s’avérer un peu sombre comparés au vu et revu Celestion V30, mais qui à mon sens balance le son de manière plus subtile. Comparaison sheffield/Creamback => voir fichiers audios liés "5150 CreambackM65" – "5150 Sheffield1200"

Au regard de ses descendants, le MK1 s’avère plus brute et vintage dans le sens ou le low end est gigantesque et pas resserré façon modern metal avec un gain plutôt aggressif (une comparaison avec l’EVH permet de bien s’en rendre compte). Mon peavey 6505+ combo s’est avéré très sourd en comparaison, avec un reserve de gain plus faible à réglage égale => voir fichiers audios liés "5150 VS 6505+"


+ son saturés
– son clairs potable inexistant mais ça on le savait déjà un peu…

Pour finir : Ma remonté dans le temps dans l’histoire du 5150 m’a confirmé ce que je pensais, cette tête est un monument au pays du metal, un classique parmi les classiques dont mon addiction est loins de guérir (si tant est que je veuille me guérir), mon préféré pour son son plus roots et raw que ses descendants. Voici une petite cover par mes soins pour entendre la bête :



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MrLtd15MrLtd15

Une machine de guerre de 120W

Peavey 5150 HeadPublié le 04/05/16 à 16:01
120W à lampes, 5 12AX7 en préamp et 6 6L6GC en poweramp.
Deux canaux avec une equal commune mais gain et volumes indépendant.
Le canal clean (canal rythm d'après Peavey) possède un switch bright et un switch crunch.
Input lo-gain et input hi-gain.
Un potard de resonance et un potard de présence.
Voilà pour la façade.
À l'arrière on a deux sorties baffle en 4/8/16 ohms switchable, une sortie préamp out (histoire de couper le poweramp du Peavey et d'utiliser un autre poweramp).
Une prise footswitch, send et return pour la boucle d'effet switchable au pédalier.

Config très simple pour trouver un son, il est assez aisé de trouver un bon son mais il faut passer un peu plus de temps pour...…
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120W à lampes, 5 12AX7 en préamp et 6 6L6GC en poweramp.
Deux canaux avec une equal commune mais gain et volumes indépendant.
Le canal clean (canal rythm d'après Peavey) possède un switch bright et un switch crunch.
Input lo-gain et input hi-gain.
Un potard de resonance et un potard de présence.
Voilà pour la façade.
À l'arrière on a deux sorties baffle en 4/8/16 ohms switchable, une sortie préamp out (histoire de couper le poweramp du Peavey et d'utiliser un autre poweramp).
Une prise footswitch, send et return pour la boucle d'effet switchable au pédalier.

Config très simple pour trouver un son, il est assez aisé de trouver un bon son mais il faut passer un peu plus de temps pour trouver LE son qui vous plaira. Cet ampli a une bosse naturelle dans les haut-médium et ceux-ci peuvent devenir baveux si on monte trop le potard de médium (à mon goût)

Je l'utilise avec un baffle Marshall 1960A jcm800 lead monté en g12t75 mais j'ai eu l'occasion de le tester sur d'autres baffles en concert (mesa, randall, nos) en utilisant une ltd alexi 200 modifié (micro d'origine changé pour un emg-alx et Floyd schaller à la place de celui d'origine) ainsi qu'une ltd v401 montée en emg 81.

Ayant très peu voire jamais utilisé le canal rythm, je vais parler du canal lead.
Et bien il envoie ! On a une tonne de gain sous la main et avec ses 120W à lampes, on a un missile nucléaire entre les doigts ! Personnellement je le met à 4 peu importe laquelle de mes grattes j'utilise, ça génère suffisamment de souffle pour rendre nécessaire l'utilisation d'un noise gate (ISP decimator pour ma part).

Le grain est particulier, des haut-médium bien présent mais limite baveux si on monte le potard de médium, des aigus précis et des basses tout de même présente en fonction des réglages. Cet ampli est capable de nombreuses sonorités en fonction des réglages, du black bien froid au heavy-rock bien lourd en passant par le death, dans le domaine du metal il est capable de convenir pour de nombreux style !

Le potard de resonance et de présence permettent de mieux sculpter le son à sa convenance, le premier permet de gonfler les basses et d'alourdir le son tandis que le potard de présence permet de l'éclaircir sans perdre en précision.

Couplé avec mon baffle et peu importe la guitare que j'utilise, on a un son d'une grande précision qui ne laisse pas le droit à l'erreur ! Les notes sont bien définies, des harmoniques à gogo qui percent, même en creusant les médiums on perce dans le mix sans soucis ! On peut même avoir un son relativement moderne par rapport au grain naturel de l'ampli en creusant un peu les médiums. Avec sa bosse naturelle dans les haut-médiums, il percera dans le mix d'un groupe plutôt facilement sans pour autant bouffer les fréquences graves de la basse.

Les réglages que j'utilise (canal lead) à titre indicatif:
Gain: 4
Bass: 6,5
Medium: 4
Treble: 6
Resonance: 4
Presence: 6
Post-gain (volume): dépend de la salle où je joue mais le plus souvent je suis à 3

Avec ces réglages, j'ai un son idéal pour mon groupe de death black avec la alexi 200 tandis qu'avec la v401 et en montant la resonance à 5, c'est le feu pour mon groupe de heavy-rock !

On a entre les mains une machine de guerre prête à tout détruire sur son passage, cet ampli est idéal pour le metal ! Pour savoir ce que vaut le clean, lisez d'autres avis je ne l'ai quasiment jamais utilisé donc je n'ai pas le recul nécessaire pour en parler.

Je recommande clairement cet ampli pour tout guitariste metal cherchant un gros son (même pour le metalcore, un ami l'utilise dans son groupe de modern metalcore et c'est le feu !). Par contre, engagez un roadie ou ayez un dos en béton car cette tête pèse super lourd ! J'ai plus de mal à la porter que mon 4x12 Marshall c'est pour dire

Pour 700€ je regrette absolument pas mon achat et à moins que je change de style de musique ou que je trouve un ampli plus léger avec le même grain
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Extraits audio

Fiche technique

  • Fabricant : Peavey
  • Modèle : 5150 Head
  • Série : 5150
  • Catégorie : Têtes d'ampli guitare tout lampe
  • Fiche créée le : 19/04/2004

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Distribué par Face

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