Sujet Vos meilleurs plans pour jouer out
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AlbiniRabbit
Fausse note absolue quoi
Anonyme
j'ai lu ce thread avec intérêt, je me demande si le jeu out ne consiste tout simplement à ne pas utiliser une quelconque théorie, mais tout simplement d'adopter la "Out attitude" (svp ne vous moquez pas de moi sur cette allusion à lorie - ça n'a rien à voir ). C'est surement un avis "bidon" surtout de la part d'un type comme moi qui déteste toute forme de théorie (Bon Ok j'ai une théorie musicale un peu plus que basique mais pas suffisante pour que je puisse faire de la musicologie ou des trucs comme ça).
Pour revenir au jeu aoute, pour moi le jeu consiste à jouer un phrasé qui est mélodiquement et/ou rythmiquement "décalé" par rapport à la "tonalité", ambiance du morceau (là peut être vous n'apprendrez rien de nouveau).Au delà d'une théorie qui jetterait les bases du out, il s'agit éssentiellement pour moi d'une attitude visant à sortir mélodiquement et/ou rythmiquement plus ou moin longtemps d'un contexte musical pour "choquer".
Comment?
1- cela va d'un phrasé substilement hors-tonalité jusqu'au bordel sonore le plus achevé (oh pardon un gros mot ).
2- Rythmiquement, ça pourrait être par exemple la guitare qui joue en 7/8 et les autres instrument en 4/4(bon aprés les instruments font en sorte de continuer sur une mesure commune évidemment), jusqu'à l'exemple le plus extrême comme les polyrythmes....
les point 1 et 2 combinée plus ou moins substilement.
bon c'est ma façon de voir les choses...bonne discution
JC
www.juliencarayon.com
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Le jeu "out" prend sa valeur grace au jeu "in", il sert simplement à ajouter un stress supplémentaire à un moment donné. Un phrasé plus éclaté peut apporter plus de stress, mais il n'est pas considéré comme "out". On parle de tensions mélodiques mise en jeu qui sortent de l'harmonisation du morceau. Si pour toi le jeu polyrythmique, polytempo, polyharmonique ... est classé "out" why not. Après tout un bon joueur n'est pas nécessairement un bon théoricien.
Anonyme
Marie...
Citation : Pour éviter la confusion que génère le terme "musique concrète" (on pense trop souvent à des montages de sons acoustiques enregistrés alors qu'il s'agit uniquement de décrire l'approche de la composition), on parle souvent de musique "acousmatique". Ce terme faisant référence au nom que donnait Pythagore à sa façon d'enseigner la philosophie, derrière un rideau et dans le noir, de manière à ce que ses disciples ne soient pas influencés par ses gestes ou son expression, et se concentrent uniquement sur le contenu de son discours. Un son acousmatique désigne donc un son que l'on entend sans déceler la cause physique qui lui a donné naissance; il devient possible de l'écouter pour lui-même, plutôt que de le cataloguer selon sa cause. Car on a trop souvent tendance à dire un son de piano, ou un son de violoncelle, alors qu'il y a mille façons de produire des sons sur ces instruments. Notre culture occidentale nous conduit souvent à ne pas écouter les sons pour eux-mêmes, mais à reconnaître les codes qu'ils transmettent: codes de hauteur, de tonalité, de jeu, etc. Ces sons donc, utilisés pour leurs caractéristiques propres et appelés "objets sonores" (suivant la terminologie du Traité des Objets Musicaux de P. Schaeffer), sont les éléments de base du vocabulaire de la musique acousmatique. Perçus à travers le haut-parleur, les "objets sonores" sont en fait des empreintes, des traces qui, organisées et libérées d'une écoute "explicative", libèrent les images mentales et les formes créatives de notre imaginaire et peuvent ainsi nous faire accéder à l'émotion, à la sensation, à la métaphore… C'est là le rôle du compositeur... L'acousmatique se définira donc par le mode de composition et le mode d'écoute qu'elle propose: composée en studio, fixée sur un support (bande magnétique ou mémoire numérique d'ordinateur), elle est enfin projetée comme un film sur des écrans démultipliés de haut-parleurs. Ce qui nous amène tout naturellement à aborder la gestion de la localisation spatiale des sons.
Deweak
Anonyme
Marie.
Deweak
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Anonyme
Citation : Robert Normandeau
(Quebec City, 1955)
After a BMus in Composition (Electroacoustics) from Université Laval (Québec City, 1984) he moved to Montréal and completed a MMus in Composition (in 1988) and the first DMus in Electroacoustics Composition (in 1992) with Marcelle Deschênes and Francis Dhomont. He is a founding member of the Canadian Electroacoustic Community (CEC, 1987). From 1986 to 1993, he was an active member of the Association pour la création et la recherche électroacoustiques du Québec (ACREQ) where he produced the Clair de terre concert series at the Planetarium of Montréal. In 1991, he co-founded Réseaux, an organization for the production of media arts events.
Robert Normandeau is an award winner of numerous international competitions including Ars Electronica, Linz (Austria, 1993, Golden Nica in 1996), Bourges (France, 1986, 1988, 1993), Luigi-Russolo, Varese (Italy, 1989, 1990), Musica Nova, Prague (Czech Republic, 1994, 1995, 1998), Noroit-Léonce Petitot, Arras (France, 1991, 1994), Phonurgia-Nova, Arles (France, 1988, 1987), and Stockholm (Sweden, 1992).
He received commissions from The Banff Centre for the Arts, CKUT-FM, Codes d’Accès/Musiques & Recherches, Jacques Drouin, Événements du neuf, Arturo Parra, Musée d’art contemporain de Montréal and Radio-Canada. He was composer in residence at the studios of Banff (Canada, 1989, 1992, 1993), Belfast (Northern Ireland, 1997), Bourges (France, 1988, 1999), Mons (Belgium, 1996), GRM in Paris (France, 1990, 1994) and Ohain (Belgium, 1987). He is a lecturer in acoustics and electroacoustics at Université de Montréal since 1988. He is an Associate Composer of the Canadian Music Centre (CMC).
Having produced several instrumental and mixed works, his current endeavors are focused on acousmatic music. More specifically, his compositions employ æsthetic criteria whereby he creates a “cinema for the ear” in which ‘meaning’ as well as ‘sound’ become elements which elaborate his works. Along with concert music he now writes incidental music, especially for the theater.
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C'est lui qui m'a fait découvrir Autechre et Squarepusher
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