Sujet Musique ancienne
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a.k.a
Alain, quand tu veux !
Anonyme
a.k.a
Citation : Pour la s[quote]ixte je ne confonds pas La Do Mi avec Do Mi La ! C'est une question de notation.
Pas d'accord : c'est le même accord, dans une disposition différente. en do majeur, l'accord de premier degré est do - mi - sol (ici, à l'état fondamental). si tu as mi - sol - do, alors il est à l'état de sixte, mais c'est aussi un premier degré. Si tu as Sol - do - mi, c'est encore un premier degré de do majeur, chiffré 6/4 (sans le slash, hein, c'est pas une fraction).
Tes de
Citation : ux exemples sont des accords de premier degré de la mineur, ou encore des accords d
e VIè degré en do majeur, ou encore des degré IV de Fa majeur, etc.Citation : "L'accord du septième degré des deux modes ansi que l'accord du troisième degré du mode mineur sont *impraticables*"
Ca, ce n'est pas tout à fait faux, mais pas tout à fait vrai non plus : lors de marches harmoniques, pour suivre la marche (justement), tu peux être obligé d'avoir recours à des degrés dit faibles comme le degré VII ou le degré III
Citation : "En dehors des marches harmoniques, les Ier et Vè degré ne peuvent servir de *Basse* à un accord de sixte"
Ca , c'est également faux : tu peux très bien avoir un degré I chiffré 6, pour éviter une cadence parfaite, par exemple.
[/quote]C'est à dire, respectivement, en Do majeur : Do Mi La , et Sol Si Mi. [quote]
Le premier degré de do majeur, c'est do mi sol, et le 5è, sol si ré. Je te rappelle qu'un accord de base est une superposition de tierces, our dans les exemples que tu cites, ,ous avons un intervalle de tierce (do - mi), puis un intervalle de quarte (mi - la, si - mi). Ce sont donc des accords de sixte, le premier, est un accord de VI 6, et le second, un accord de III 6, tous les deux en do majeur.
Anonyme
Citation :
[quote]
Le premier degré de do majeur, c'est do mi sol, et le 5è, sol si ré. Je te rappelle qu'un accord de base est une superposition de tierces, our dans les exemples que tu cites, ,ous avons un intervalle de tierce (do - mi), puis un intervalle de quarte (mi - la, si - mi). Ce sont donc des accords de sixte, le premier, est un accord de VI 6, et le second, un accord de III 6, tous les deux en do majeur
Bon tout est là, c'est bien ce que je disais : notation (chiffrage).
Si tu relis calmement l'ouvrage que je citais, tu vois que ce que toi (et la majorité, je crois) notez VI 6, Monsieur Margat le notait I 6. Relis sa phrase, et vois que dans Do Mi La la *basse* est Do ; toi tu chiffres par rapport à la fondamentale La, et lui par rapport à la basse Do.
Je crois que sa notation est de plus en plus obsolète, simplement je la trouve pratique car en basse continue, c'est bien un symbole 6 que tu vois sous le *DO* pour dire qu'on doit faire Do Mi La.
a.k.a
C'est ce que j'avais compris aussi (il doit y avoir une inversion des termes "fondamentale" et "basse"...) !
C'est normal que do - mi - la soit chiffré 6, mais en la mineur, pas en do majeur.
maïtiBru
a.k.a
Alors alain, ça roupille ?
Anonyme
D'autre part, le fait est que ce que tu peux rencontrer en basse continue :
DO (sur la portée de la basse)
6 (sous la portée)
ça veut dire qu'on réalise un Do Mi La, donc ça ressemble à la notation du gars.
Mais moi je ne touche aucun droit sur ce bouquin ! C'est anecdotique, cette controverse, je ne défends pas ce chiffrage, je réponds simplement à la remarque selon laquelle il n'aurait pas existé, et ne serait qu'une erreur de ma part.
Je sais bien ce qu'est une fondamentale et une basse, je n'ai pas bien compris ta remarque? Justement : le chiffrage "normal" se fait en donnant le degré (chiffre romain) de la fondamentale qui définit, en général, la fonction harmonique. Alors que dans ce bouquin, il donne le degré de la basse. C'est peut-être ce qui t'a troublé, et fait croire à une confusion entre ces deux notes ; il n'en est rien en ce qui me concerne !
Je suppose que cette méthode coexistait avec l'actuelle il y a quelques dizaines d'années. C'était un bouquin honorablement connu, semble-t-il.
Mais d'autres bouquins et un (petit) cours m'obligent à te dire que je confirme ton point de vue : on chiffre aujourd'hui comme tu le dis.
Ceci dit, une anecdote à propos de basse continue, qui prouve qu'il y avait des gens forts à l'époque, capables d'harmoniser "à la volée", en impro.
Il y a paraît-il, un manuscrit de Vivaldi sur lequel, à propos du chiffrage, il mentionne : "J'écris cela pour les idiots"
Pauvres de nous
a.k.a
c'est vrai qu'il étaient vraiment balaises ces clavecinistes...mais les chiffrages aussi étaient beaucoup plus balaises : l'accord en entier était chiffré (par exemple un do mi sol que tu chiffrerais 5, eux le chiffraient 5 3 ...pour les 7è, ça devait être joyeux...), et pas seulement sa caractéristique principale.
Anonyme
Hors sujet :
Il n'y en a que deux de réveillés, à ce que je vois.
Pff, je viens de passer les... 100 messages ; toi ça fait un bail que tu es là, apparemment !
paul2000
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