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1 expérimentale, drône, acous...noise et dérivés du mouvement electrocore de la scène free party...
Bonjour,
Bon vous allez me dire que le titre tire un peu en longueur... Peut être; D un autre coté , il n est qu un pâle résumé des possibilité offertes par la musique; sortie de ses codes traditionnels. Les nuances entre le son et la musique englobe une réalité toute entière dont les subtilités les plus simplistes peuvent faire éclore des pans entiers de réflexions complexes et non dénuées de sens. Les chansons d'amours, politiques engagées de nos conditions humaines, restreignent le champs des possibles à un consensus limitatif de cohésion sociale. Donc... La musique oui.Le son probablement davantage dans un principe de réelle émancipation intellectuelle. pourquoi systématiquement le "tous ensemble"? Le rythme peut relier les gens: taper dans leurs mains les synchronise. Religion: relier les gens. Intéressant mais cela réduit le potentiel émancipateur individuel au potentiel du groupe tout entier. Le rythme naturel existe il? Ou n'est il qu une interprètation de l instant par le cerveau? Dans la nature, les ondes, sont soumises à décélération ou à accélération permanente, puisque l'"univers" ( multivers) est lui même semble t il en perpétuelle expansion. Le rythme que nous concevons n est juste que interprétation, réduction pratique de l infini doublé d'un facteur de cohésion, intéressant mais très limitatif sur le plan de l émancipation intellectuelle individuelle.
Mon but n 'est pas de faire hurler. Mes recherches sonores m orientent et vice versa vers des réflexions de ce type où, dans le fond, j en viens à penser que si une "machinerie" supérieure ( dans la conception hiérarchisée du réel du groupe) désirait prendre le contrôle d une masse, elle devrait en sus d une idéologie dominatrice s accoupler au rythme. Le rythme partout. Pour le contrôle. Dès lors, pour ce système, toute conception hors de cet réduction deviendrait source d angoisse,de plausible tentative échappatoire doctrinale, de rébellion... dangereux désir de liberté... insoumission. Rythme: métro boulot, dodo, rythme scolaire, échéances électorales, rythmes dans la publicité, rythmes des feux de signalisation, rythme de marches militaires. Fordisme, taylorisme soustraient la pensée à l'acte de produire.le rythme est pratique pour la préhension mais pas pour la compréhension je le crains?.. On "rythme tous ensemble mais l individu revenu à sa solitude de tous les jours et de tous les instant, retrouve t il le rythme? Non. La solitude est profondément arythmique et synonyme pour beaucoup de prémisse à l angoisse et à l ennuie. Des lors, l individus attends le retour du rythme...du groupe... qui le rassure.

Bref, après tout ca, pensez vous que le sledge 2 permet plus de souplesse créative que le mopho x4, sur le plan de l appréhension?..:|
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Je crois que le thème est plus adapté, j ai replacé le sujet.
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Non, je ne pense pas.
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dommage. Il est qd même moins cher.

[ Dernière édition du message le 15/02/2015 à 13:27:40 ]

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Tu admettras que sur le plan de l'appréhension, il serait tout de même dommage de limiter tes recherches à de viles questions financières.

[ Dernière édition du message le 15/02/2015 à 14:03:19 ]

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hum. Viles mais limitées. sur le plan de l appréhension, un bécane qui permette une bonne souplesse. Je comprends ton ton, bien évidemment.

[ Dernière édition du message le 15/02/2015 à 14:41:52 ]

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La solitude ... et à l ennuie. Des lors, l individus attends le retour du rythme...du groupe... qui le rassure. Et....Niack...un gnou. Bref, un synthe souple dans le triturage de son, oscillo, vco,dco, tout ca pas au prix d un moog voyageur. Apres, tu peux me dire, si tu penses que le rythme est essentiel ou si un tetra ne vaut pas un x4... Critique le concept si tu veux, les moyens, tu les connais, c'est genre un mopho x4 grand max. Et oui, c 'est dommage. Dommage, de devoir systématiquement fermer sa gueule sur le plan du concept. PS Ok "mes recherches sonores" c 'est tout much, alors mon trip quand je fais du son, ca marche aussi.

[ Dernière édition du message le 15/02/2015 à 15:11:49 ]

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Si on considère que le rythme est une représentation de l’aliénation de la condition humaine, ce que je peux admettre. La drône musique, par son rejet du rythme et l'absence d'harmonie, d'après ce que j'en comprends est un courant musical qui tente par sa simple expérience de libérer l'homme de tout matérialisme et c'est une noble cause de vouloir proposer à tous l'expérience vraie de la musique.

Cependant, comment favoriser la perception intuitive de la chose en soi, ce que propose la drône musique, en recherchant un matériel quel qu'il soit ?

Cette expérience musicale nommé drône musique qui propose d'embrasser d'un coup l'idéal transcendantal Kantien et de comprendre l'essence de la musique doit passer, selon moi, par une absence total de stimuli  sonore, j'en ai bien peur si on suit sa logique.

Soyons donc positifs, voyons les choses autrement : la quintessence même de ce courant musical est le silence pur.
Et c'est tant mieux, car l'avantage que j'y vois, c'est indéniable, est qu'il ne nécessite aucun matériel coûteux.

D'autre part tout le monde ne peut qu'apprécier cette musique quand elle est proposée sous sa forme la plus aboutie.

As-tu expérimenté le silence ?

[ Dernière édition du message le 15/02/2015 à 17:14:29 ]

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oui, bien sûr que le silence m'a expérimenté... Je joue. Une analyse comme j aimerais en voir plus souvent. ;)Pour ce qui est du silence comme base de la dite "drône musique", il est de toute manière son inévitable tapis. Son support. En jouer s il on peut et permettre à l auditeur une écoute du moment pour ce qu il est, est une approche interessante. Même si beaucoup pense qu ils perdent du temps à écouter des choses qui ne riment pas avec accords ou groove, j'aime l idée et la matière sonore fusse t elle silencieuse parfois, qui permet ce détachement de quelques frénésie rythmiques et autres codes du langage. Que l idée à sa conception renvoyait à l idée du détachement matériel je veux bien te croire. Sans doutes. Pour ma part je cherche une mécanique simple qui me permette de concrétiser les amalgames conceptuels que j ai en tête. Or, s il existe une infinité de matériaux sur la planète, j'aime jouer de mes mains et de l electronique. Si d une époque né un courant musicale comme ledit mouvement drône, je n ai pas réellement le désir de le copier mais juste de l appréhender. Peut être pas le rejet du rythme en totalité. Mais ne plus faire de lui l 'élement central et le liant.

[ Dernière édition du message le 15/02/2015 à 17:35:17 ]

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Pour le silence, moi qui aime lire, je pense que l on peut lire le son comme on lit un roman. Des sons nous rappellent à eux et nous créons des images, le lecteur/auditeur devient metteur en scène . Libre interprétation.Pour éveiller l attention il faut du rythme. le rythme d une rivière c 'est surtout du mouvement.On va pas trigger la nature. Expérimenter le silence dès que l on veut réellement penser. Suivre le raisonnement ou l intention d un autre sans autre but que de partager ce moment peut se voir devenir une sortie des codes. Un face à face avec un concept à 0db(cscc) de conscience.Avec une dynamique inconscient/conscient du coup.... je déconne...Ou pas :)