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Bien débuter

réactions au dossier [Bien débuter] Nos documentaires musicaux préférés

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Sujet de la discussion [Bien débuter] Nos documentaires musicaux préférés
Nos documentaires musicaux préférés
Vous avez un peu de temps pendant vos vacances ? Voici quelques documentaires autour de la musique que nous recommandons chaudement.

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351
c est clair:clin:

et avec mes lunettes c est mieux pour voir les emojis:mrg:

352
353
Kate Bush fait partie de ces artistes qui me sont automatiquement sympathiques et que je respecte énormément tout en étant à peu près hermétique à ce qu'ils font. Ce n'est pas faute d'avoir tendu l'oreille à ses disques. J'imagine que ça ne s'explique pas.
354
Non. Et ça se respecte. J'ai ce même sentiment envers beaucoup d'artistes importants.
355
Re-re-vu Back and Forth, auto-documentaire sur les Foo Fighters, en replay sur Arte.tv
Comme d'hab avec Dave Grohl tout est très bien réalisé et pour peu qu'il s'intéresse au groupe et à son histoire, c'est passionnant.
Le doc n'hésite pas à aborder des côtés moins reluisants de l'histoire, notamment les évictions de musiciens, les drama des relations humaines... Un peu à la manière de Some kind of Monster de Qui-vous-savez

Die Cabine • Pelle, Hache & Rock n' Roll

CCQUEEN • Le son lourd et aérien

356
Merci Will Zégal pour le documentaire sur Kate Bush. Car moi, ça me parle, j'étais plutôt fan au point d'avoir acheté 8 de ses albums. Visionnage de cette vidéo dès ce soir :mrg:
357
Bon c’est un docu comme beaucoup d’autres, il survole le sujet et s’adresse au grand public mais c’est quand même un grand plaisir de revoir et d’écouter cette immense artiste. Petits passages de Gilmour et de Gabriel quand même, excusez du peu !

Même metalleux dans ces années là, on étaient tous admiratifs et on appréciaient sa voix et sa musique. Chapeau bas madame…
358
Moi j'ai aussi toujours apprécié le fait que c'était une artiste complète, auteure, compositrice, musicienne, pianiste, chanteuse et même technicienne du son, programmeuse de synthés. Elle est connue pour avoir pas mal utilisé le Fairlight, à l'instar de son grand ami Peter Gabriel, et le CS-80. Excusez du peu. Il n'y a pas beaucoup d'artistes féminines aussi complètes.

[ Dernière édition du message le 10/10/2025 à 23:02:05 ]

359
Citation :
Bon c’est un docu comme beaucoup d’autres, il survole le sujet et s’adresse au grand public

C'est sur que c'est pas "classic album". Pas de quoi étancher la soif d'un fan.

Mais je trouve intéressant cet éclairage sur une artiste qui, à la fois a ouvert la voix à de nombreuses femmes et a réussi à faire un beau succès public avec un univers atypique et exigeant sur le plan artistique.
360
Rien que pour l'accent australien/écossais à couper au couteau


"And in the end, the love you take is equal to the love you make"

Mes annonces de matériel guitare

[ Dernière édition du message le 09/11/2025 à 11:57:05 ]

361
Sympa, mais j'ai pas trop apprécié que Bon Scott crache sur les punks en disant qu'ils n'avaient rien à dire.

Putain Walter mais qu'est-ce que le Vietnam vient foutre là-dedans ?

362
Merci pour ce témoignage qui m’a fait retomber en adolescence. Même si je n’écoute plus que très rarement AC/DC et surtout la période Bon Scott, j’ai un grand respect pour tout le groupe.

Quant aux punks, si ils avaient quelque chose à dire, ils le disaient si maladroitement que le message avait du mal à passer :clin:
363
No future est pourtant un message simple à comprendre. Et je ne vois pas en quoi sex drugs and rock'n'roll serait un message supérieur. Je n'ai rien contre Bon Scott, je suis sûr que c'était un mec sympa, mais pourquoi casser du punk et pas du reggae ou du disco ? Affirmer ses choix c'est bien, mais critiquer ceux des autres c'est moyen, surtout quand on ne les comprend pas. Bon c'est vrai qu'à l'époque l'image du punk était déplorable et que le message ne passait pas, mais le rock'n'roll dans les années 50-60 c'était à peine mieux.

Sinon le gars qui affirme qu'Angus Young est le meilleur guitariste du monde m'a bien fait rire. Il ne doit pas en connaître beaucoup :mrg:

Putain Walter mais qu'est-ce que le Vietnam vient foutre là-dedans ?

[ Dernière édition du message le 09/11/2025 à 20:02:04 ]

364
x
Hors sujet :
Il ne faut pas confondre maladresse et complexité (enfin, ce que tu opposes à la simplicité).

Faire passer un message implique de toucher ton auditoire, cela passe par l’émotion et justement le mouvement punk n’est pas la forme la plus abordable de l’émotion.

Justement ce que tu ne semble pas apprécier dans cette phrase de Bon Scott est un rejet comparable à celui des punks vis à vis de la société. Un rejet mal exprimé, maladresse pour maladresse, on peut la comprendre… ou pas :bravo:
365
Citation de kosmix :


Sinon le gars qui affirme qu'Angus Young est le meilleur guitariste du monde m'a bien fait rire. Il ne doit pas en connaître beaucoup :mrg:



C'est sur, on ne peut pas dire de lui que c'est le plus grand guitariste au monde, 1m57 ça fait un peu léger à coté Slash par exemple.
Mais c'est sans conteste le guitariste le plus facilement reconnaissable du monde. Tu peux montrer une photo de lui sur scène à n'importe qui, la majorité le reconnaitra instantanément.
Donc on peut chipoter sur sa technique, mais qui l'a déjà entendu jouer autre chose que de l'AC/DC pour en juger ?
Et même si les ventes ne font pas tout, c'est quand même le guitariste de l'album de rock le plus vendu de l'histoire.
Alors oui, au vue de sa carrière, c'est un des meilleurs guitaristes au monde !

Il y a deux façons d'enculer les mouches : Avec ou sans leur consentement -- Boris Vian

Mon chêne Youtube / Mon Soundcloud

366
J'ai compris l'idée mais ça me fait quand-même sourire cet excès d'enthousiasme :mrg:

Putain Walter mais qu'est-ce que le Vietnam vient foutre là-dedans ?

367
Ce n’est pas mon préféré, loin de là.
Il y a beaucoup de guitaristes avec davantage de vocabulaire, et plus techniques aussi bien sûr. Mais je reconnais que dans son domaine, il a un touche unique et une maîtrise qui m’impressionne.

Après meilleur guitariste du monde, ça ne veut rien dire pour moi
368
Oui l'expression elle-même prête à rire. Je n'ai jamais imaginé la basse et la guitare comme un sport. Moi le sport... :mrg:

Putain Walter mais qu'est-ce que le Vietnam vient foutre là-dedans ?

369
Citation de Archy1 :
...Quant aux punks, si ils avaient quelque chose à dire, ils le disaient si maladroitement que le message avait du mal à passer :clin:


Certes il y a punks et punks : entre les "sex pistols" et "the clash", le niveau de réflexion et d'engagement n'est pas le même. Reste que le mouvement était sans aucun doute nécessaire pour rebattre les cartes. Par contre que la même personne puisse hurler "no future" à 50 ans d'écart me parait assez risible : il fallait mourir jeune pour rester crédible.
Ça me rappelle une connaissance, anarchiste militant et convaincu, qui s'est finalement marié à la mairie ! Il y a comme une incohérence.
370
Citation de FrTh :
Par contre que la même personne puisse hurler "no future" à 50 ans d'écart me parait assez risible : il fallait mourir jeune pour rester crédible.


Je ne comprends pas bien cette réflexion, "no future" ne signifie pas qu'on souhaite mourir.

Putain Walter mais qu'est-ce que le Vietnam vient foutre là-dedans ?

[ Dernière édition du message le 01/12/2025 à 15:49:22 ]

371
Citation :
Ça me rappelle une connaissance, anarchiste militant et convaincu, qui s'est finalement marié à la mairie ! Il y a comme une incohérence.

Tu t'en sors bien, il aurait pu doubler avec l'église. :mrg:
372
Citation de TC Hotrod :
Citation :
Ça me rappelle une connaissance, anarchiste militant et convaincu, qui s'est finalement marié à la mairie ! Il y a comme une incohérence.

Tu t'en sors bien, il aurait pu doubler avec l'église. :mrg:

Après, il n'y a que les imbéciles qui ne changent jamais d'avis. Ou alors, c'est sa blonde qui l'a convaincu, et il ne voulait pas la perdre :mrg:
373
documentaire « The music of 007 » de Mat Whitecross vu ce week-end et c’est du tout bon quand on est fan de JB ! ♥️
374
Citation de TC Hotrod :
Citation :
Ça me rappelle une connaissance, anarchiste militant et convaincu, qui s'est finalement marié à la mairie ! Il y a comme une incohérence.
:mrg:
Tu t'en sors bien, il aurait pu doubler avec l'église. :mrg:


Je n'en suis pas sûr (pour l'église), donc je ne veux être ni médisant, ni accablant. Et effectivement comme le dit Frajean, dans une vie on peut changer d'avis, heureusement. Je trouve juste la marche un peu haute (plus que la hauteur de ses "convictions" exprimées avec tant de force, voire de violence physique).
375
Pas un docu mais un concert tribute de Kraftwerk par R.Burger, J.Perraudeau et F.Kubin.
désolé si HS je n'ai pas retrouvé le thread ou le mettre :?!:




Rodolphe Burger – Replay Kraftwerk (Radio-Activity) : les compteurs Geiger s’affolent

Rodolphe Burger revisite le Radio-Activity de Kraftwerk avec la ferveur du fan et la maîtrise du musicien. Entre fidélité sonore minutieuse et éclats de guitares, il transforme ce monument électronique en un pèlerinage intime où passé et présent se réactivent.
Nous étions faits pour nous entendre, mais les chemins de la vie en ont voulu autrement. Je n’ai jamais vraiment écouté Rodolphe Burger et pourtant j’aime les voix profondes et les guitares distordues. Je n’ai jamais vraiment écouté Kraftwerk non plus, et pourtant j’ai un paquet de disques électroniques et tout un tas d’autres aussi froids que minutieux. J’ai bien failli voir Kraftwerk en concert, c’était à Rock en Seine, je n’ai en fait vu que trois morceaux avant de partir pour me positionner sur la grande scène où Nick Cave, un autre chanteur à la voix profonde, allait jouer.

Rodolphe BurgerMais après tant de rendez-vous manqués, les planètes allaient enfin s’aligner l’une après l’autre. En 2021, à la sortie du confinement alors que le monde se remettait en marche après que chacun ait pu goûter des mois d’introspection forcée, le festival Discotake de Bordeaux donnait carte blanche à Rodolphe Burger pour reprendre un album de son choix. Il jette son dévolu sur Radioactivity, le premier disque complètement électronique de Kraftwerk. En 2025, il le rejoue pour les 25 ans du festival qu’il a fondé à Sainte-Marie-aux-Mines en Alsace, et les 50 ans du disque. Le concert est visible sur la plateforme ArteTV, et l’album est enregistré en studio.

J’imagine le jeune Rodolphe, tout juste majeur, écoutant cet album OVNI dans sa chambre alors que naissait en lui une passion pour le rock, les textures sonores, et une attitude artistique radicale. 50 ans plus tard, il est devenu un musicien accompli. Perfectionniste, s’il s’attaque à un tel monument, il s’y jette complètement. Son acolyte, le multi instrumentiste Julien Perraudeau, entreprend un travail d’archéologue afin d’identifier la provenance de chaque son pour les reproduire le plus fidèlement possible. Alors que les éléments électroniques sont d’une ressemblance troublante avec les originaux, les éléments distinctifs du chanteur alsacien en sont d’autant plus relevés : sa voix plus rugueuse que celle des hommes-machines, et sa guitare plus texturée que leurs machines-machines.

Ce disque est une passerelle entre les deux époques, non que Kraftwerk ait besoin d’être remis au goût du jour, ou que Rodolphe Burger puisse être considéré comme le représentant du goût contemporain. C’est un pèlerinage, une expérience mystique dans laquelle le vieux fan emmène généreusement son public. Rodolphe Burger a défini les zones de libertés qu’il s’octroie avec les morceaux originaux, des points de départ et d’inspiration pour s’approprier leur musique. A l’inverse des métaux radioactifs qui perdent la moitié de leur radioactivité à chaque cycle, la musique de Kraftwerk semble s’enrichir à chaque époque.



Dès le début de l’album, les arpèges de guitares distordus qui se font entendre sur Radioland se marient parfaitement avec les sons vintages. Même un morceau resté purement électronique comme Sendepause sonne presque davantage comme Kraftwerk l’aurait voulu il y a 50 ans, avec plus de textures et d’espace. Rodolphe Burger met également à jour le flash d’information, y introduisant la catastrophe de Tchernobyl, qui a eu lieu 11 ans après la sortie de l’album. Le titre éponyme dure d’ailleurs 11 minutes dans sa – sublime – version revisitée.

Ce morceau, il le jouait déjà régulièrement avec son groupe Kat Onoma pour terminer les rappels dans des versions à rallonge, cataclysmiques et blasphématoires, avec uniquement des guitares et des instruments rock alors que ses compositeurs l’avaient voulu électronique. Dans sa version de l’album, il le place également en clôture, juste après Ohm Sweet Ohm, qui, avec la maturité, gagne en puissance ce qu’il a perdu en naïveté, préparant ainsi au bouquet final radioactif où résonnent encore les échos de concerts magistraux.

Replay Kraftwerk (Radio-Activity) est un hommage vivant et vibrant à un disque qui a changé l’histoire du rock en brouillant les frontières entre électrique et électronique, et, de façon tout aussi importante, entre pop et musique expérimentale. Alors que Kraftwerk joue les humanoïdes, Rodolphe Burger joue avec son cœur d’adolescent passionné pour dépasser l’exercice de style, et insuffler une nouvelle vie à ce disque introspectif et jubilatoire.

Source https://www.benzinemag.net/2025/11/26/rodolphe-burger-replay-kraftwerk-radio-activity-les-compteurs-geiger-saffolent/

Alle Gegen Alle 

[ Dernière édition du message le 03/12/2025 à 14:57:30 ]