Tous les avis sur Palmer Monicon

Je l'utilise en home studio. J'ai pris la version blanche pour mieux s'accorder avec mes LYD8, blanches et noires. Visuellement, c'est parfait

Il remplace mon Big Knob qui a eu deux retours en garantie pour un potard de volume qui devient trop souple, grésille et fini par tourner sans fin comme un encodeur mais sans modifier le niveau.
Sur ce palmer, le potard de volume est assez ferme, ce qui permet un réglage du niveau assez fin.

Le son n'est pas dénaturé. On perd un tout petit peu de niveau mais rien d'anormal avec un système passif.

Les deux sorties sont en XLR ainsi qu'une mini-jack stéréo qui peut servir pour brancher un casque par exemple. Bien pratique.
Les entrées sont des combo jack/XLR. Bien vu. Il y a aussi une mini jack stéréo pour y brancher un smartphone par exemple.

Je n'ai pas essayé la fonction "mono" car je n'en ai pas l'utilité. Le bouton mute fait bien son travail, sans clic élevé.

Que dire de plus? Pas grand chose si ce n'est que l'on en a pour son argent. Le boîtier est robuste et joli à la fois. Le son est nickel.

Cela faisait quelques temps que le bouton master de ma Profire donnait des signes de fatigue. Le niveau sonore sautait et me faisait une sorte d'automation aléatoire de ma sortie master...

Deux solutions, changer de carte son ou acquérir un contrôleur de monitoring avec une obsession pour ma part : aucune perte d'aucune sorte et surtout pas de souffle qui se rajoute.
Sur ce plan, étant passif, aucune galère ni mauvaise surprise. Au contraire, le bouton principal est très doux et précis et je bénéficie de trois possibilités supplémentaires : le bouton master à côté de mon clavier, un mute et un switch mono juste à portée de main ! Génial. En plus, le bouton master de ma part étant numérique, je commençais à percevoir un petit souffle qui a été totalement éradiqué grâce à ce boitier magique (enfin, sans qu'il ne fasse rien du coup ). Du coup, le master sort "Full Scale" de ma carte et aucune dégradation du signal.

Mon monitoring Genelec 1030-1092 s'en trouve bonifié car je dispose de plus de précision et de maniabilité dans le réglage.

Allez, un petit bémol tout de même pour les casse-pieds-jamais-complètement-contents-I-can't-get-no-satisfaction dont je fais partie : entre le minimum d'atténuation (-85db) et juste au-dessus (-60dB), je constate que l'enceinte de gauche se coupe plus que celle de droite. Donc la stéréo file à droite .

Bon, cela dit, pour le prix c'est excellent et je le recommande chaudement, d'autant plus que le design est très réussi.

Palmer ! Dans la catégorie court métrage, faut-il préciser, car ses fonctions et connectiques sont réduites quasiment au strict nécessaire.

Efficacité rimant souvent avec simplicité, je préfère de plus en plus les appareils qui ont peu de fonctions mais qui les remplissent bien.


Je l'utilise en home-studio, après le patchbay, pour écouter les enceintes de monitoring.

L'objet est d'un beau noir, assez lourd pour sa taille ce qui rassure sur sa qualité. Il prend relativement peu de place et son gros bouton de volume est très agréable.

Les fonctionnalités sont, en ce qui me concerne, suffisantes pour une utilisation home-studio personnelle avec une seule paire de monitoring et un seul casque, sinon il faut passer à un modèle supérieur pour disposer de plus d'entrées et sorties. Ou bien, disposer d'un ampli casque avec plusieurs sorties pour une écoute en commun. A ce titre, son grand frère le MONICON L, pour un peu plus du double de son prix, respire aussi la robustesse et la qualité.

Les switchs "Mono" et "Mute" sont très utiles, il manque juste un "Dim" pour comparer un pré-mastering et un mix par exemple.


La nature du son qui passe au travers est vraiment respectée, sans souffle supplémentaire.


N.B.: Il semble que les prises XLR aient effectivement parfois du mal à relâcher leur câble quand elles en ont "attrapé" un. Attention donc à manipuler les fiches doucement, avec précaution et toujours bien dans l'axe. Cependant, une fois branché, on ne devrait plus y revenir très souvent. Simplement, si vous craignez de ne plus pouvoir les débrancher, prévoyez dès installation des câbles assez longs, pour une éventuelle future transhumance matérielle ou la revente avec bonus

FABRICATION
Y'à rien à redire à ce niveau là, le monicon a l'air très robuste. Les connectiques sont de très bonne qualité, le boitier et en métal et bois et donne la même impression de solidité que du Radial Engineering. Le poids du boitier accentue la sensation de qualité

Petit Bémol sur les boutons de mute et mono qui on tendance à sauter de leur logement quand on désactive rapidement...

Le bouton principal (l'atténuation) est très solide, sa taille imposante et sa manière de glisser facilement mais en opposant juste ce qu'il faut de résistance le rendent très agréable lorsqu'on travail.

UTILISATION

Mon Monicon est branché entre ma RME Fireface 800 et mes Yamaha HS8. Il est sur un coin du bureau, sous ma main droite. Il fait juste ce qu'il faut : regler le volument des écoute. Y-a rien de plus simple et tant que vous n'avez pas deux paire d'écoute, il ne vous faut pas plus.
En fait, le monicon se fait oublier, on l'utilise toute la journée, sans s'en rendre compte. C'est tout ce qu'on attend d'un bouton de volume.

SON
Alors ça parait con de parler de son pour un bouton de volume hein. Mais en fait si parlons-en.C'est important. Pas mal de contrôleurs de volume passifs premier prix utilisent des connecteurs pourris, des boîtiers bas de gamme et des composants bas de gamme. S'il ne se contente pas de créer des déséquilibres, ils peuvent vraiment pourrir le son à un point sensible de la chaîne audio.

Le Palmer ? complètement transparent. Sur Gearslutz, j'ai pu lire un commentaire d'un mec qui expliquait qu'il provoquait un déséquilibre stéréo quand le potard est sous -10dB (80% de la course serait déséquilibrée)[1]. Alors, déjà quand j'ai lu ça, j'ai fait le test tellement je m'en étais pas rendu compte, et effectivement, c'est absolument inaudible.

Je vais pas dire que cet homme avait tord , [mais qu'à priori les Yamaha HS8 on exactement le même déséquilibre dans l'autre sens ce qui fait que] chez moi tout reste nikel

(je préfère préciser que la partie en italique et entre crochets est ironique.

Non sérieusement, si vous en avez besoin, réellement, je teste le monicom. Je veux dire que je le met au cul d'un GBF et je fait de VRAIES mesures. Mais à l'oreille, ça va. Ce sera pas le point le plus faible de votre chaine audio.

AVIS GLOBAL

En résumé : très bonne qualité. Un peu cher, ou un peu déçu des boutons "mono" et "mute" pour le prix qui seraient plus solide sous forme de switch, mais sérieusement c'est le détail.
Si vous cherche du contrôleur de volume en symétrique, allez-y sans avoir peur.

Bee

[1] Note à l'attention de cet homme sur son argumentaire : HAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHA. Nope.

Utilisé entre un Behringer Ultracurve Pro DEQ2496 et une paire d'Alesis M1 active.

Les Alesis ont chacune leur volume à l'arrière donc j'étais obligé de gérer avec le master du logiciel de MAO. Avec le Palmer je peux gérer le volume global sans retoucher à mon master, ce qui permet de travailler au volume idéal.

Qualité de fabrication plutôt bonne. Design réussi. Super qualité audio, transparence et aucun buzz. Possibilité de muter le signal ou de le passer en mono. Connectique XLR ou mini jack.

Seul petits reproches que je pourrait lui faire :
- la connectique L/R inversée qui fait que les câbles se croisent. C'est pas dramatique et n'influe évidement pas sur le son.
- Mes câbles XLR mâle sont restés coincé dans le Palmer. Y a pas de raison de les bouger, mais si ils lâchent impossible de les retirer. Est-ce que le problème vient de mes câbles ou du Palmer ?

Malgré ces petits bémols je trouve le rapport qualité/prix plutôt bon au vue du confort qu'il apporte.

Utilisé entre un DAC Meridian Explorer et une paire de Focal CMS 50.

Très pratique si vous souhaitez écouter votre musique en BitPerfect (ASIO dans mon cas), puisque ce mode d'écoute rend inopérant le réglage du volume par l'ordinateur (il fallait donc que j'utilise les potards des enceintes, à défaut d'en avoir sur le DAC...).

Qualité de construction impeccable, mis à part le potard en lui meme qui est un peu en deçà du reste. Mais look sobre, propre, inspire vraiment confiance et très agréable à utiliser (stable). Course du volume longue et précise.

Pas de coloration du son à priori, mais il faudrait faire de réelles écoutes comparatives, quand on sait qu'il existe des modèles à plus de 400 euros, il doit bien y avoir un différence ; )

Connectique XLR ou mini-jack en entrée et sortie, pratique si vous l'utilisez avec un casque.

Par contre, drole d'idée d'avoir inversé gauche et droite.. les cables se croisent derrière la jolie boite.

Un bon achat pour ceux qui ne veulent pas mettre trop de sous dans un potard et qui ont qu'une paire de moniteurs.

J'ai reçu le Palmer Monicon hier. Le temps de refaire un chouïa les câblages (et le ménage par la même occasion...) derrière le bureau et hop, ça fonctionne.

Je ne vais pas refaire le test de Los Teignos bien sûr mais je confirme tout ce qu'il a relevé à cette occasion :
- l'objet est bien lourd et stable, pas de souci ;
- la qualité de fabrication est très bonne et inspire confiance ;
- test avant/après OK, pas de coloration audible du son, il n'y en a vraisemblablement pas vu le principe de fonctionnement ;
- disposant d'une paire d'enceintes avec mise sous tension et contrôle du volume à l'arrière, ça me facilite grandement la vie : plus de galère à contrôler le volume au fader du logiciel d'exploitation de la carte (la FireFace 800 n'a pas de contrôle physique du volume de sortie en façade et je n'ai pas de table de mixage). De plus, le potard du Monicon est large et souple et permet un contrôle fin.

Je n'ai rien essayé d'autre avant de l'acquérir, j'ai fait confiance au test d'AF...

J'aime tout, car je n'ai pas besoin de fonctions supplémentaires.

Le rapport qualité/prix pour moi est très bon au vu de la qualité de fabrication, je referais ce choix sans problème.