Sujet Commentaires sur la news : Clap de fin pour Finale
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Neo Alchemist
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JLDavid
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Rosmarino
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Absolument, le développement de Finale a été si laborieux depuis plus de trente ans ; malgré cela, Finale est arrivé à une certaine maturité quant aux résultats graphiques, mais est resté d'une autre époque en termes d'efficacité pour l'audio et le midi comparé aux interfaces actuelles des meilleurs séquenceurs.
Sans doute eut-il été opportun de "refaire le code à partir de zéro", mais nous sommes bien peu d'utilisateurs Finale à comparer avec d'autres enjeux du digital. D'où l'arrivée avec essoufflement là où nous en sommes.
Et encore, chapeau à ceux qui ont râlé auprès de Makemusic pour espérer continuer à administrer les licences.
Toutefois j'ai l'impression que cela n'ira pas bien loin ; je ne serai convaincu que lorsque chaque licencié aura physiquement un fichier de secours permettant le management hors ligne de sa licence. Pour l'instant, il n'en est pas question et personne n'en parle.
Le serveur d'attribution des licences Makemusic peut disparaître en quelques secondes à l'avenir, d'autant plus que personne ne paiera sa cotisation ad vitam aeternam pour un logiciel fantôme, voire pour un Makemusic qui n'existera probablement plus. Plus de sous = plus de boîte = plus de service.
Quoi qu'il en soit, l'importation de fichiers Finale dans un autre logiciel aboutit à un résultat approximatif : les milliers espacements manuels, alignements, réglages divers nécessitent d'incommensurables interventions manuelles pour qu'une partition soit reproduite à l'identique avec un logiciel vectoriel spécialisé.
Ce nouveau logiciel Dorico & Co aura également sa propre vie économique plus ou moins longue, idem pour un Musescore même en code ouvert ; vu la désaffection pour la lecture de partitions comparativement à l'écoute de la musique sur le net, et le fait que l'on s'est malheureusement habitué à une édition très sommaire des partitions, on ne peut être optimiste. Sans doute la longévité de Finale était-elle exceptionnelle pour un progiciel, et a pu inspirer des concurrents sur ce qui était formidable et sur le contraire.
À moins que l'IA ne balaye d'un revers de manche ces applications, et ne réponde à l'érosion inéluctable des logiciels manuellement développés
Sans doute eut-il été opportun de "refaire le code à partir de zéro", mais nous sommes bien peu d'utilisateurs Finale à comparer avec d'autres enjeux du digital. D'où l'arrivée avec essoufflement là où nous en sommes.
Et encore, chapeau à ceux qui ont râlé auprès de Makemusic pour espérer continuer à administrer les licences.
Toutefois j'ai l'impression que cela n'ira pas bien loin ; je ne serai convaincu que lorsque chaque licencié aura physiquement un fichier de secours permettant le management hors ligne de sa licence. Pour l'instant, il n'en est pas question et personne n'en parle.
Le serveur d'attribution des licences Makemusic peut disparaître en quelques secondes à l'avenir, d'autant plus que personne ne paiera sa cotisation ad vitam aeternam pour un logiciel fantôme, voire pour un Makemusic qui n'existera probablement plus. Plus de sous = plus de boîte = plus de service.
Quoi qu'il en soit, l'importation de fichiers Finale dans un autre logiciel aboutit à un résultat approximatif : les milliers espacements manuels, alignements, réglages divers nécessitent d'incommensurables interventions manuelles pour qu'une partition soit reproduite à l'identique avec un logiciel vectoriel spécialisé.
Ce nouveau logiciel Dorico & Co aura également sa propre vie économique plus ou moins longue, idem pour un Musescore même en code ouvert ; vu la désaffection pour la lecture de partitions comparativement à l'écoute de la musique sur le net, et le fait que l'on s'est malheureusement habitué à une édition très sommaire des partitions, on ne peut être optimiste. Sans doute la longévité de Finale était-elle exceptionnelle pour un progiciel, et a pu inspirer des concurrents sur ce qui était formidable et sur le contraire.
À moins que l'IA ne balaye d'un revers de manche ces applications, et ne réponde à l'érosion inéluctable des logiciels manuellement développés
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