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Les conneries. publiques !

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Sujet de la discussion Les conneries. publiques !
S'lut !

Fan assidu des rubriques "les conneries on stage" et autres "en home-studio", j'ai pu remarquer cependant qu'il n'éxiste pas de topic dédié aux anecdotes familiales ou amicales que le destin nous avait pourtant réservées.
Il en est pourtant de croustillantes, et qui divertiront + d'un musicien souhaitant faire... un break.

A cet effet, je propose donc que nous racontions ici toutes nos histoires sans rapport direct avec la musique (genre conneries lors du baptème du petit dernier etc).

A vos marques... Feu !
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1451
Citation :
Déja niveau look, tu pars pas gagnant.


Justement fallait pas en rajouter :-D

Avant j'étais prétentieux, maintenant je suis parfait.

SoundCloud | Stompin at decca |  I can't give you anything but love

1452
Détartrage de thread.

Une de ma nana.
A son époque étudiante, elle co-louait avec une fille qui parlait souvent en rêvant.

Une nuit bien assoupie, voici la co-loc' qui ânonne :
"Passe-moi la poêle"...
Puis elle remet ça à deux ou trois reprises... "Passe-moi la poêle"...
De guerre lasse, ma future finit par lui répondre : "tiens !"
L'autre : "Merci" :-D
1453
:8O: toilb ! :8O:

"L'Homme est la nature prenant conscience d'elle même." - Elisée Reclus

1454
Oué c'est vrai ca fait un bail

Avant j'étais prétentieux, maintenant je suis parfait.

SoundCloud | Stompin at decca |  I can't give you anything but love

1455
Hééé! Le toilb!:bravo:

--------------------------------------------------------------------------------

L'artiste entrouvre une fenêtre sur le réel; le "réaliste pragmatique" s'éclaire donc avec une vessie.

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Oui; bah en même temps 'faut vous en r'mettre, heinG :bave:
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:bave: non, pas possib qu'on s'en remette, ça fait trop longtemps !

"L'Homme est la nature prenant conscience d'elle même." - Elisée Reclus

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Hier après-midi, PM de loose...

La dernière fois que j'ai utilisé ma voiture sur un "long" trajet, c'était pour aller en Belgique. Comme il faisait beau, bah au retour et même depuis, j'avais tout bonnement oublié mon parapluie à l'intérieur...

Autant dire qu'en ce jour tout gris, ça commence plutôt fort : j'ai pas 20 mètres à me taper mais déjà sous une fine pluie pour rejoindre à pinces mon auto et y prendre l'objet rare. La Poste ferme bientôt, et mon recommandé doit partir ce jour.
Je scrute le ciel, armé d'un peu de courage et beaucoup de mon "bip"-auto.
J'arrive sans trop de complication à ma tire, je clique-gauche sur l'engin en plastique pour déverrouiller toutes mes portes et... Bah y'a rien qui s'passe, comme le déplorait naguère feu mon ami Leprest !

Je reste, interdit sous ma pluie, à tenter de ré-essayer de bip-cliquer... Moi qui sors de la douche, avec mes cheveux encore presque bien séchés et tout et tout...
Je me dis furtivement que ça doit être la pile qui est naze. Première fois que ça m'arrive...
Bon, bah tant pis, pas le temps de réfléchir : ça flotte maintenant correct, et j'essaie donc de remédier manuellement à l'affaire : j'engage la clef dans l'une des serrures de portières... Miracle ! les portières se déverrouillent.
Je cherche mon parapluie dans l'habitacle... rien. Probablement l'aurai-je laissé dans le coffre (la "malle", quoi)...

L'heure tourne, mais j'attends quand même 2 ou 3 minutes dans l'auto dans un vague espoir teint de naïveté que la pluie daigne pour moi se calmer, mais c'est en définitive tout l'inverse, l'averse, qui se produit : re-douchette pendant que je tente d'ouvrir le coffre.

J'ai beau actionner la poignée, ben Hitchock, tiens ! : ça ne s'ouvre pas !!
Les portières sont toutes déverrouillées, mais pas la malle :o:
Et j'ai beau chercher, PAS UNE serrure n'a été conçue sur ce coffre pour pouvoir y insérer ma clef comme sur les autres portières, celles qui s'ouvrent pourtant toutes si bien en un seul tourneclef !...

Douche(s) pour rien, bah je m'en retourne sur mes 20 mètres de pas à présent gadouilleux, et c'est déjà pas mal trempé que j'entre dans la maison...

Deuxième acte.

Mon attaché-case m'attend avec mes documents à photocopier; une idée sur-lumineuse traverse mon génial esprit : il me semble bien qu'à la cave, il y aurait bien un parapluie "pliable" qui traîne...
Je descends... Exact !
Me v'là sauvé !

Je me dirige enfin donc vers la Poste. Un trajet de 5 minutes, l'attaché-case dans une main, le pébrock dans l'autre. Je me dis, souriant, que c'est une chance d'avoir pensé à la cave : vous auriez vu ce qui se mettait à tomber à cet instant !...
Et encore, la pluie, c'est pas grand chose...
Mais y'a l'vent, l'vent d'hiver, même sur Paris !

Je m'agrippe très fort au manche de + en + glissant du parapluie (une seule main dispo, heinG, pour cause d'attaché-case dans l'autre paluche), car le tissus plastico-textile se soulève puis se rabat sans cesse dans sa position et à plusieurs reprises, presque il m'échappe... je me cramponne, et là : fatal error : l'un de mes doigts exerce involontairement une pression sur le bouton qui sert à ouvrir/fermer l'engin !

Les baleines, du coup à demi-repliées, se prennent ci-et-là dans ma (longue) chevelure !! Et pas moyen de m'extirper de cet écheveau avant largement une bonne minute, et z'y va les mèches de tifs qui s'accrochent elles aussi à tout ce qu'elles peuvent, les pauvres, le tout sous un bon tiers de semi-déluge désormais...
C'est là et nulle part ailleurs, forcément, qu'une voiture en profite pour dévaler la rue et, parvenue à ma hauteur : splassssh ! dans une marre toute récente... Y'a certes presque que le bas du fûtale qui a pris, mais j'étais quasi :tintinarrosé: comme-même...

A part ça, bah c'est tout pour hier.
Aujourd'hui, "Rien", louisseizerais-je.

:I'mnotsingingintherain:

[ Dernière édition du message le 29/01/2015 à 13:23:59 ]