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WELCOME nouveaux sur AF (interdit aux +5000 posts)

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Sujet de la discussion WELCOME nouveaux sur AF (interdit aux +5000 posts)
Il faut bien ouvrir un petit quelque chose pour tous ceux qui se sont déjà frottés les dents sur de l'ancien, du grabataire, de "j'veux pas parler aux moins de 10 000 posts", croyant ainsi que cette sélection cyber-sociale les place en tête de la hierarchie.

Donc...
Soyez les bienvenus, newbies en tout genre !!!!


Vous vous en êtes pris plein la gueule ? Vous avez rencontré un autre afien trooop sympa ?..

Allez, laissez votre com ici, on repasse !

La vie, c'est comme un train de montagne

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421
/le-pub-des-gentlemen/forums/t.9687,qu-est-ce-qui-vous-agace-automatiquement.html

Post ...535 et autres...en bas. Il a l'air si sur de lui, le sang d'Attila coule dans ses veines ! Il n'y a plus à en douter.


Dis moi Mondofel...tu n'as pas ton brassard du FLAF ..?....MMM...une explication à donner ??

La vie, c'est comme un train de montagne

422
C'est une tactique de bataille
d'ailleurs tu étais aussi là-bas
serais-tu un espion qui informerais les troupes énnemies?

il faut les provoquer, engendrer un le doute et la desorganisation en eux
envahir leur forums
trouver leurs points faibles!

ILS NE NOUS FONT PAS PEUR
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Citation : Dis moi Mondofel...tu n'as pas ton brassard du FLAF ..?....MMM...une explication à donner ??

C'est quoi la FLAF ? le Front pour de la Limonade Assez Fraiche ?
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Front de Liberation d'AF

:??:
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L'article sur wikipedia etait vrai... :???:
Et on y parle deja du FLAF, un de nos camarade a deja sevit :tourne:
C'est bien d'etre quelqu'un d'important, mais c'est plus important d'etre quelqu'un de bien...
426
Tu peux encore faire parti du front pour 569 posts, va falloir être rapid et efficace
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Reveille toi avant de basculer definitivement il ne tee reste plus beaucoup de temps... :demon:
C'est bien d'etre quelqu'un d'important, mais c'est plus important d'etre quelqu'un de bien...
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Citation : Et vous, qu'est-ce que vous avez fait pour les jeunes ? lançait l'autre soir Jack Lang, cette frétillante endive frisée de la culture en cave, à l'intention de je ne sais plus quelle poire blette de la nouvelle sénilité parlementaire. "Qu'est-ce que vous avez fait pour les jeunes ?" Depuis trente ans, la jeunesse, c'est à dire la frange la plus totalement parasitaire de la population, bénéficie sous nos climats d'une dévotion frileuse qui confine à la bigoterie. Malheur à celui qui n'a rien fait pour les jeunes, c'est le péché suprême, et la marque satanique de la pédophobie est sur lui. Au fil des décennies, le mot "jeunes" s'est imposé comme le sésame qui ouvre les voies de la bonne conscience universelle. Le mot vieux fait honte, au point que les cuistres humanistes qui portent la bonne parole dans les ministères l'ont remplacé par le ridicule personne âgée, comme si ces empaffés de cabinet avaient le mépris des rides de leurs père et mère. Mais les jeunes ne sont pas devenus des personnes non âgées. Les jeunes sont les jeunes. Ah, le joli mot. Vous n'avez rien contre les jeunes ?. Version à peine édulcorée du répugnant : T'as pas cent balles ?, c'est la phrase clé que vous balancent de molles gouapes en queue de puberté, pour tenter de vous escroquer d'une revue bidon entièrement peinte avec les genoux par des jeunes infirmes. (Je veux dire handicapés. Que les bancals m'excusent.) - Pardon monsieur, vous n'avez rien contre les jeunes ? - Si. J'ai. Et ce n'est pas nouveau. Je n'ai jamais aimé les jeunes. Quand j'étais petit, à la maternelle, les jeunes, c'étaient des vieux poilus, avec des voix graves et des grandes mains sales sans courage pour nous casser la gueule en douce à la récré. Aujourd'hui, à l'âge mûr, les jeunes me sont encore plus odieux. Leurs bubons d'acné me dégoûtent comme jamais. Leurs chambres puent le pied confiné et l'incontinence pollueuse de leurs petites détresses orgasmiques. Et quand ils baisent bruyamment, c'est à côté des trous. Leur servilité sans faille aux consternantes musiques mort-nées que leur imposent les marchands de vinyle n'a d'égale que leur soumission béate au port des plus grotesques uniformes auquel les soumettent les maquignons de la fripe. Il faut remonter à l'Allemagne des années 30, pour retrouver chez des boutonneux un tel engouement collectif pour la veste à brandebourgs et le rythme des grosses caisses. Et comment ne pas claquer ces têtes à claques devant l'irréelle sérénité de la nullité intello-culturelle qui les nimbe ? Et s'ils n'étaient que nuls, incultes et creux, par la grâce d'un quart de siècle de crétinisme marxiste scolaire, renforcé par autant de diarrhéique démission parentale, passe encore. Mais le pire est qu'ils sont fiers de leur obscurantisme, ces minables. Ils sont fiers d'être cons. Jean Jaurès ? C'est une rue, quoi, me disait récemment l'étron bachelier d'une voisine, laquelle et son mari, par parenthèse, acceptent de coucher par terre chez eux les soirs où leur crétin souhaite trombiner sa copine de caleçon dans le lit conjugal. Ceci expliquant cela : il n'y a qu'un ah de résignation entre défection et défécation. J'entends déjà les commentaires de l'adolescentophilie de bonne mise : Tu dis ça parce que t'es en colère. En réalité, ta propre jeunesse est morte, et tu jalouses la leur, qui vit, qui vibre et qui a les abdominaux plats, 'la peau lisse et même élastique', selon Alain Schifres, jeunologue surdoué du Nouvel Observateur. Je m'insurge. J'affirme que je haïssais plus encore la jeunesse quand j'étais jeune moi-même. J'ai plus vomi la période yéyé analphabète de mes vingt ans que je ne conchie vos années lamentables de rock abâtardi. La jeunesse, toutes les jeunesses, sont le temps kafkaïen où la larve humiliée, couchée sur le dos, n'a pas plus de raison de ramener sa fraise que de chances de se remettre toute seule sur ses pattes. L'humanité est un cafard. La jeunesse est son ver blanc. Autant que la vôtre, je renie la mienne, depuis que je l'ai vu s'échouer dans la bouffonnerie soixante-huitarde où de crapoteux universitaires grisonnants, au péril de leur prostate, grimpaient sur des estrades à théâtreux pour singer les pitreries maoïstes de leurs élèves, dont les plus impétueux sont maintenant chef de choucroute à Carrefour. Mais vous, jeunes frais du jour, qui ne rêvez plus que de fric, de carrière et de retraite anticipée, reconnaissez au moins à ces pisseux d'hier le mérite d'avoir eu la générosité de croire à des lendemains cheguevaresques sur d'irrésistibles chevaux sauvages. (Chroniques de la haine ordinaire)






Ca va saigner :furieux:
429
Pourtant c'est tellement vrai!


Spéciale dédicace tout de meme!

Citation : Il faut remonter à l'Allemagne des années 30, pour retrouver chez des boutonneux un tel engouement collectif pour la veste à brandebourgs et le rythme des grosses caisses


:ptdr:

430
Vrai

en plus beaucoup d'ennemis

les jeunes se rebellent contre les vieux