Café des sports: analyse et commentaire de l'actualité sportive
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Martis
15680
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 20 ans
Sujet de la discussion Posté le 28/07/2003 à 09:54:10Café des sports: analyse et commentaire de l'actualité sportive
La saison de L1 reprend bientôt, y'aura les mondiaux d'athlé, et plein d'autres évènements sportifs, alors si vous avez une tite chronique à faire, ou tout autre connerie à raconter en rapport (ou non) avec le sport, c'est ici que ça se passe!!
Pulk
6123
Je poste, donc je suis
Membre depuis 22 ans
8601 Posté le 27/06/2004 à 22:38:46
Audiofanzine Football Club
fruitcake
8880
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Membre depuis 21 ans
8602 Posté le 27/06/2004 à 22:39:45
Citation : Moi c'ets Koller qui m'impressionne
Ah bah pas moi, c'est une buse ce gars en attaque, il ferait un bon défenseur central, d'ailleurs c'est ce qu'il fait, il descend sur tout les corners pour dégager de la tête, ce qu'il fait à merveille, et quand il marque, c'est à la manière d'un défenseur : de la tête sur coupr de pied arrêté
Barros, lui il déchire, chuis d'accord avec Pupulk
Coka
1205
AFicionado·a
Membre depuis 21 ans
8603 Posté le 27/06/2004 à 22:59:45
Le danois qui empêche le gardien de voir son mur,c'est vraiment........
L'art est la seule chose inacessible au mensoge.J-M
Tib-tib
3462
Squatteur·euse d’AF
Membre depuis 22 ans
8604 Posté le 27/06/2004 à 23:16:14
Laurent blanc en force , y en a marre des papy tout moux
Wilko-
7552
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Membre depuis 21 ans
8605 Posté le 28/06/2004 à 09:52:27
Mais nan William Prunier...
Pulk
6123
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Membre depuis 22 ans
8606 Posté le 28/06/2004 à 11:11:49
STADE JOSE-ALVALADE (LISBONNE), VENDREDI. Tout au long de l'Euro, la tension est montée entre plusieurs cadres de l'équipe de France. Dès le 10 juin, à l'entraînement, une dispute a éclaté entre Thierry Henry et Robert Pires. Zinedine Zidane, qui a pris (AP/LUCA BRUNO,AFP/FRANCK FIFE, LLUIS GENE.)
Un capitaine destitué, un sélectionneur en larmes.
A Clairefontaine, en ce 3 juin, Jacques Santini annonce qu'il quitte les Bleus pour Tottenham. Les sélections de Govou et Wiltord font déjà jaser.
Les rumeurs rapportant l'intérêt de Tottenham à leur égard accentuent le trait. Wiltord le sait et vit sa vie en autarcie, seulement préoccupé par les matchs de tennis de table. Il n'est pas dupe des petites combines entre amis pour l'écarter du « onze titulaire ». Santini sur le départ, exit l'autorité suprême. Deux jours plus tard, le sélectionneur brise le deuxième échelon de la hiérarchie. Il révèle à Desailly qu'il ne sera que remplaçant contre l'Ukraine pour préparer l'Angleterre. Vexé, le « grand Marcel », déjà fragilisé par les sifflets du Stade de France, face au Brésil, décline la possibilité d'entrer en cours de match. Un sélectionneur envolé, un capitaine destitué, le groupe s'envole ainsi pour le Portugal. A la fin d'un point-presse, avant France - Angleterre et au moment d'évoquer ses sentiments personnels, Santini ne peut s'exprimer, sa gorge se serre. Il est au bord des larmes : « Je sais que lors des hymnes il y aura une émotion. A table l'autre jour avec le staff, on a encore parlé du nombre élevé de sélectionneurs titulaires d'un contrat de quatre ans... » Fébrilité et ressentiments... Déjà !
Les portes claquent, les esprits s'échauffent.
Le jeudi 10, lors du premier huis clos, les deux amis Robert Pires et Thierry Henry se disputent un ballon, ça fait des étincelles. Ils échangent des mots vifs. Jacques Santini s'interpose. Le lendemain soir, avant le dîner, il se sent obligé de réunir tout le monde pour fédérer les individualités. Il réclame de la solidarité mais ne maîtrise déjà plus les événements. Grâce à deux miracles de Zizou, on oublie la prestation pénible face aux Anglais. Dans les vestiaires, on perd la raison : « On venait de vivre une émotion digne d'une finale », avoue Lizarazu. Trois jours plus tard, le 16 juin, le Basque redescend rudement sur terre. Au cours d'un tête-à-tête houleux avec Santini, il apprend qu'il est remplaçant... Car Silvestre a pris un carton jaune ! Le Basque ne comprend pas pourquoi il paie pour un autre. Santini lui répond qu'il pense au turn-over contre les Suisses. Dans la même journée, Pires éclate de rire quand le sélectionneur lui apprend la titularisation de Wiltord. Circonspect, il lâche : « Mais il n'a pas joué de la saison ? C'est une plaisanterie. » Il tourne les talons et claque la porte.
A l'auberge Casa Nova, les divisions s'affichent.
Pires avait raison. La titularisation de trois joueurs à court de forme (Wiltord, Dacourt, Desailly) plonge l'équipe de France dans un trou noir en début de seconde période contre la Croatie. C'est la panique générale. Zidane, encore lui, rassemble tous ses partenaires au milieu de terrain et les incite à se révolter. « Zizou porte l'équipe sur ses épaules », soupire Trezeguet, qui sent le malaise poindre. Dans la nuit du 17 au 18, à l'auberge Casa Nova, à 6 kilomètres de Leiria, la révolte gronde. Lors de ce repas d'après-match, Lizarazu prévient Zidane qu'il va parler à la presse pour réveiller les consciences. Le lendemain, Santini rencontre en tête à tête pendant une heure Zidane et Desailly, qui venaient eux-mêmes d'écouter les vingt et un autres joueurs. Les deux leaders avaient été choisis pour communiquer les doléances tactiques à l'entraîneur. Il y a un début d'incompréhension entre Zidane et Henry. L'attaquant veut que « le ballon arrive plus vite ». Dubitatif, Zizou lâche à des proches : « Parfois, Thierry devrait faire davantage de concessions. C'est la règle en équipe de France. On me parle de jouer plus vite pour mieux le trouver. On oublie notre victoire à Wembley, où Anelka avait inscrit deux buts sur deux passes en profondeur. Je sais jouer comme ça. » Santini cède en partie ; Pires passe à gauche et Zidane à droite. « Nous sommes tous sur la même longueur d'onde sauf un », lâche alors Desailly. Qui est-ce ? Desailly lui-même, invité au Portugal pour faire les points-presse ? Zidane, exilé à droite ? Ou Santini, qui ravale son chapeau ? Personne n'est ravi.
Et ça se termine en tragédie grecque.
Le 20 juin, Santini fustige les interrogations publiques de Lizarazu : « Ceux qui parlent, s'ils jouent, se sont mis de la pression supplémentaire. » Le transfert envisagé à Tottenham est brisé net. Rancunier, Santini titularisera le Basque faute de mieux. Dans le groupe, cette intervention divise. « C'est dégueulasse », maugréent certains. La victoire est au bout mais les Bleus ont eu chaud. Alors que le mot d'ordre est de positiver, Jérôme Rothen parle vrai : « Sur le banc, on se ch... dessus grave. » Les critiques pleuvent de toutes parts. De Platini à Jacquet... Robert Pires esquive : « On lit tout, on regarde tout mais les critiques on s'en fout. Elles nous font bien rire. » Lucide, Henry avoue : « A deux minutes près contre l'Angleterre et la Croatie avec la frappe de Mornar, on pouvait repartir à la maison. » Contesté dans la presse, Santini se ferme et élude les questions. La veille de France - Grèce, ça tourne au tragi-comique. Au micro des radios, Desailly déclare : « Si je ne joue pas contre la Grèce, je serai très déçu. » Comme pour entretenir le flou, il ajoute dans un faux direct sur France 2 enregistré à 16 h 30 : « Il y a de grandes chances que je joue. » Une heure plus tard, on lui donne la chasuble des remplaçants. Ambiance... Le lendemain, dans le vestiaire, après l'élimination contre les Grecs, Jacques Santini ratera également sa sortie : « C'est la fin de l'aventure. Ce sera quelqu'un d'autre que moi la saison prochaine et il y a un nouveau challenge pour se qualifier à la Coupe du monde 2006. »
Un capitaine destitué, un sélectionneur en larmes.
A Clairefontaine, en ce 3 juin, Jacques Santini annonce qu'il quitte les Bleus pour Tottenham. Les sélections de Govou et Wiltord font déjà jaser.
Les rumeurs rapportant l'intérêt de Tottenham à leur égard accentuent le trait. Wiltord le sait et vit sa vie en autarcie, seulement préoccupé par les matchs de tennis de table. Il n'est pas dupe des petites combines entre amis pour l'écarter du « onze titulaire ». Santini sur le départ, exit l'autorité suprême. Deux jours plus tard, le sélectionneur brise le deuxième échelon de la hiérarchie. Il révèle à Desailly qu'il ne sera que remplaçant contre l'Ukraine pour préparer l'Angleterre. Vexé, le « grand Marcel », déjà fragilisé par les sifflets du Stade de France, face au Brésil, décline la possibilité d'entrer en cours de match. Un sélectionneur envolé, un capitaine destitué, le groupe s'envole ainsi pour le Portugal. A la fin d'un point-presse, avant France - Angleterre et au moment d'évoquer ses sentiments personnels, Santini ne peut s'exprimer, sa gorge se serre. Il est au bord des larmes : « Je sais que lors des hymnes il y aura une émotion. A table l'autre jour avec le staff, on a encore parlé du nombre élevé de sélectionneurs titulaires d'un contrat de quatre ans... » Fébrilité et ressentiments... Déjà !
Les portes claquent, les esprits s'échauffent.
Le jeudi 10, lors du premier huis clos, les deux amis Robert Pires et Thierry Henry se disputent un ballon, ça fait des étincelles. Ils échangent des mots vifs. Jacques Santini s'interpose. Le lendemain soir, avant le dîner, il se sent obligé de réunir tout le monde pour fédérer les individualités. Il réclame de la solidarité mais ne maîtrise déjà plus les événements. Grâce à deux miracles de Zizou, on oublie la prestation pénible face aux Anglais. Dans les vestiaires, on perd la raison : « On venait de vivre une émotion digne d'une finale », avoue Lizarazu. Trois jours plus tard, le 16 juin, le Basque redescend rudement sur terre. Au cours d'un tête-à-tête houleux avec Santini, il apprend qu'il est remplaçant... Car Silvestre a pris un carton jaune ! Le Basque ne comprend pas pourquoi il paie pour un autre. Santini lui répond qu'il pense au turn-over contre les Suisses. Dans la même journée, Pires éclate de rire quand le sélectionneur lui apprend la titularisation de Wiltord. Circonspect, il lâche : « Mais il n'a pas joué de la saison ? C'est une plaisanterie. » Il tourne les talons et claque la porte.
A l'auberge Casa Nova, les divisions s'affichent.
Pires avait raison. La titularisation de trois joueurs à court de forme (Wiltord, Dacourt, Desailly) plonge l'équipe de France dans un trou noir en début de seconde période contre la Croatie. C'est la panique générale. Zidane, encore lui, rassemble tous ses partenaires au milieu de terrain et les incite à se révolter. « Zizou porte l'équipe sur ses épaules », soupire Trezeguet, qui sent le malaise poindre. Dans la nuit du 17 au 18, à l'auberge Casa Nova, à 6 kilomètres de Leiria, la révolte gronde. Lors de ce repas d'après-match, Lizarazu prévient Zidane qu'il va parler à la presse pour réveiller les consciences. Le lendemain, Santini rencontre en tête à tête pendant une heure Zidane et Desailly, qui venaient eux-mêmes d'écouter les vingt et un autres joueurs. Les deux leaders avaient été choisis pour communiquer les doléances tactiques à l'entraîneur. Il y a un début d'incompréhension entre Zidane et Henry. L'attaquant veut que « le ballon arrive plus vite ». Dubitatif, Zizou lâche à des proches : « Parfois, Thierry devrait faire davantage de concessions. C'est la règle en équipe de France. On me parle de jouer plus vite pour mieux le trouver. On oublie notre victoire à Wembley, où Anelka avait inscrit deux buts sur deux passes en profondeur. Je sais jouer comme ça. » Santini cède en partie ; Pires passe à gauche et Zidane à droite. « Nous sommes tous sur la même longueur d'onde sauf un », lâche alors Desailly. Qui est-ce ? Desailly lui-même, invité au Portugal pour faire les points-presse ? Zidane, exilé à droite ? Ou Santini, qui ravale son chapeau ? Personne n'est ravi.
Et ça se termine en tragédie grecque.
Le 20 juin, Santini fustige les interrogations publiques de Lizarazu : « Ceux qui parlent, s'ils jouent, se sont mis de la pression supplémentaire. » Le transfert envisagé à Tottenham est brisé net. Rancunier, Santini titularisera le Basque faute de mieux. Dans le groupe, cette intervention divise. « C'est dégueulasse », maugréent certains. La victoire est au bout mais les Bleus ont eu chaud. Alors que le mot d'ordre est de positiver, Jérôme Rothen parle vrai : « Sur le banc, on se ch... dessus grave. » Les critiques pleuvent de toutes parts. De Platini à Jacquet... Robert Pires esquive : « On lit tout, on regarde tout mais les critiques on s'en fout. Elles nous font bien rire. » Lucide, Henry avoue : « A deux minutes près contre l'Angleterre et la Croatie avec la frappe de Mornar, on pouvait repartir à la maison. » Contesté dans la presse, Santini se ferme et élude les questions. La veille de France - Grèce, ça tourne au tragi-comique. Au micro des radios, Desailly déclare : « Si je ne joue pas contre la Grèce, je serai très déçu. » Comme pour entretenir le flou, il ajoute dans un faux direct sur France 2 enregistré à 16 h 30 : « Il y a de grandes chances que je joue. » Une heure plus tard, on lui donne la chasuble des remplaçants. Ambiance... Le lendemain, dans le vestiaire, après l'élimination contre les Grecs, Jacques Santini ratera également sa sortie : « C'est la fin de l'aventure. Ce sera quelqu'un d'autre que moi la saison prochaine et il y a un nouveau challenge pour se qualifier à la Coupe du monde 2006. »
Audiofanzine Football Club
Lebenn
7160
Je poste, donc je suis
Membre depuis 21 ans
8607 Posté le 28/06/2004 à 11:19:32
Putain quel gâchis, à cause de quelques inconpétents...
tragi-comique c'est bien ça.
Je sais pas vous mais moi ça me fait ni chaud ni froid, pourtant je suis assez chauvin d'habitude, mais là c'est trop, on frise le ridicule.
Le prochain sélectionneur, j'espère qu'il aura de la poigne, et qu'il saura se faire respecter par les millionnaires qui ne font quand même rien de plus que de jouer au ballon.
tragi-comique c'est bien ça.
Je sais pas vous mais moi ça me fait ni chaud ni froid, pourtant je suis assez chauvin d'habitude, mais là c'est trop, on frise le ridicule.
Le prochain sélectionneur, j'espère qu'il aura de la poigne, et qu'il saura se faire respecter par les millionnaires qui ne font quand même rien de plus que de jouer au ballon.
Chuck Van Damme
7956
Je poste, donc je suis
Membre depuis 22 ans
8608 Posté le 28/06/2004 à 12:01:30
Ca se sentait lors des déclarations que ça ne tournait pas rond. De toute façon, avec cet état d'esprit, impossible de gagner un trophée...
Paris a gagné la coupe de France, le Stade Français est Champion de France, ça va chauffer la saison prochaine
Paris a gagné la coupe de France, le Stade Français est Champion de France, ça va chauffer la saison prochaine
Martis
15680
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 20 ans
8609 Posté le 28/06/2004 à 12:33:44
Bon, on a les joueurs qui vont bien, faut trouver un coach qui fasse pas nimp
même si zidane prend sa retraite, ben on jouera sans zidane
des meks comme rothen sont au iveau de toute façon
même si zidane prend sa retraite, ben on jouera sans zidane
des meks comme rothen sont au iveau de toute façon
Martis
15680
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 20 ans
8610 Posté le 28/06/2004 à 12:42:15
BERLIN (AFP) - Une pause pipi sans autorisation de l'attaquant néerlandais Roy Makaay aurait pu coûter cher aux Pays-Bas lors de leur qualification aux dépens de la Suède 5 tirs au but à 4 (0-0 a.p.) samedi en quart de finale de l'Euro-2004 de football, a rapporté le quotidien allemand Bild.
Makaay, entré en jeu à la 87e minute à la place d'Andy van der Meyde, s'est précipité aux toilettes entre la fin du temps réglementaire et le début de la prolongation sans le signaler à l'arbitre slovaque Lubos Michel. Une infraction à la règle 12 de la Fédération internationale (FIFA), devant être sanctionnée par un avertissement, a souligné Bild. Mais ni l'arbitre, ni ses assistants, ni le quatrième arbitre n'ont remarqué la brève disparition du Néerlandais.
Or, a souligné le journal, Makaay avait reçu un avertissement à la 116e minute pour une faute sur le Suédois Kaellstrom. Si l'attaquant du Bayern Munich avait reçu un carton jaune pour être allé uriner sans autorisation avant la prolongation, il aurait donc dû être exclu. Ainsi, les Néerlandais auraient dû disputer les quatre dernières minutes à dix et Makaay n'aurait pas pu participer à la séance des tirs au but au cours de laquelle il a réussi son essai, égalisant à 4-4, en a déduit Bild.
"La victoire des Pays-Bas est irrégulière", a titré le quotidien allemand le plus lu, criant au "scandale pipi".
Les Pays-Bas, éternels rivaux de l'Allemagne en football, s'étaient qualifiés pour les quarts de finale en se classant deuxièmes derrière la République tchèque dans le groupe D, alors que la Mannschaft avait été éliminée après sa défaite (1-2) contre une équipe tchèque bis.
Makaay, entré en jeu à la 87e minute à la place d'Andy van der Meyde, s'est précipité aux toilettes entre la fin du temps réglementaire et le début de la prolongation sans le signaler à l'arbitre slovaque Lubos Michel. Une infraction à la règle 12 de la Fédération internationale (FIFA), devant être sanctionnée par un avertissement, a souligné Bild. Mais ni l'arbitre, ni ses assistants, ni le quatrième arbitre n'ont remarqué la brève disparition du Néerlandais.
Or, a souligné le journal, Makaay avait reçu un avertissement à la 116e minute pour une faute sur le Suédois Kaellstrom. Si l'attaquant du Bayern Munich avait reçu un carton jaune pour être allé uriner sans autorisation avant la prolongation, il aurait donc dû être exclu. Ainsi, les Néerlandais auraient dû disputer les quatre dernières minutes à dix et Makaay n'aurait pas pu participer à la séance des tirs au but au cours de laquelle il a réussi son essai, égalisant à 4-4, en a déduit Bild.
"La victoire des Pays-Bas est irrégulière", a titré le quotidien allemand le plus lu, criant au "scandale pipi".
Les Pays-Bas, éternels rivaux de l'Allemagne en football, s'étaient qualifiés pour les quarts de finale en se classant deuxièmes derrière la République tchèque dans le groupe D, alors que la Mannschaft avait été éliminée après sa défaite (1-2) contre une équipe tchèque bis.
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