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Sujet Café des sports: analyse et commentaire de l'actualité sportive

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Sujet de la discussion Café des sports: analyse et commentaire de l'actualité sportive


La saison de L1 reprend bientôt, y'aura les mondiaux d'athlé, et plein d'autres évènements sportifs, alors si vous avez une tite chronique à faire, ou tout autre connerie à raconter en rapport (ou non) avec le sport, c'est ici que ça se passe!!
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Citation : Sauf quand c'est zidane et pires



oui c'est ce que je dis, zidane encore... même si ça fait chier de pas le voir derrière les attaquants, de moins en moins d'équipe jouent avec un 10 à l'ancienne. alors quitte a jouer avec des meneurs excentrés effectivement autant foutre rothen a gauche et giuly quand il sera remis a droite, govou en doublure...
Audiofanzine Football Club
8592
N'empeche qu'avec Henri, Trezeguet, Cissé, Saha, Luyiundula voire Frau et Anelka, on dispose d'un paquet de bons attaquants.
Si le futur entraineur a des c**illes, il fera une équipe avec 3 attaquants compte tenu de la faiblesse des adversaires (ce que j'aurais fait contre la Suisse par exemple). au moins, il y aura des buts et la défense sera plus sollicitée
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On a les meilleurs joueurs au meilleurs postes


c'est pas un probleme de joueur mais de coach

santini c'était du flanc
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Citation : On a les meilleurs joueurs au meilleurs postes


c'est pas un probleme de joueur mais de coach

santini c'était du flanc



D'ac avec ça
Il y a les meilleurs joueurs, ils semblaient plutot bons physiquement mais il y avait aucun jeu. C'est à 90% la faute de Santini


Sinon leproblème qui va venir c'ets les milieux créateurs. C'ets les joeurus les plus durs à trouver . Et c'est là que rothen, Giuly ou Pedretti peuvent etre hyper utiles;
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En espagne, ils parlent de Deco au Barça, avec Ronaldinho, Giuly, Deco, Larsson ça va faire mal :surpris:
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Ça va faire mal au moral de ceux qui joueront pas
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Lu dans "Le Monde.fr"



Jamais au cours de leurs quatre rencontres de l'Euro 2004, les Français n'ont su jouer vite et ensemble. Leur échec semble flagrant dans dans tous les domaines du jeu

Lisbonne de notre envoyé spécial

Il faut bien chercher des raisons, argumenter. Les Bleus ont été médiocres, sans vie, léthargiques, suffisants parfois, insuffisants toujours. Comment cette troupe de footballeurs chevronnés, fortunés, galonnés, a-t-elle fini par donner cette triste impression, au fil de quatre matches trop ressemblants ?

Jacques Santini détient forcément la réponse, mais peut-être ne le sait-il pas encore.
Il aura bien le temps, plus tard, de se pencher sur son coaching à l'économie. Les Bleus sont venus à 23, ils ont joué sans utiliser convenablement les ressources de leur banc. Sydney Govou et Steve Marlet ont joué les touristes, tout comme les gardiens remplaçants ; Jean-Alain Boumsong, Benoît Pedretti ou Jérôme Rothen n'ont joué qu'une poignée de minutes. Louis Saha, entré en jeu à deux reprises, a pourtant redonné un vrai élan à cette équipe lorsqu'il a foulé la pelouse.

Si Jacques Santini n'a pas changé ses titulaires, c'est peut-être par excès de respect pour ses glorieux trentenaires. L'équipe de départ contre la Suisse était âgée, en moyenne, de 29 ans et 3 mois. C'est trop, bien sûr, pour une compétition dont les rencontres se succèdent tous les quatre jours.

La gestion du cas de Marcel Desailly est symptomatique. Pourquoi Jacques Santini a-t-il continué à faire confiance à ce joueur de bientôt 36 ans, remplaçant dans son club de Chelsea, régulièrement blessé cette saison ? Toujours ce respect, cette certitude de trouver chez le champion du monde 1998 une qualité d'écoute et de réflexion. C'est oublier que le football est avant tout affaire de physique. Marcel Desailly a tout simplement disputé la compétition de trop. Du coup, le sélectionneur s'est privé de la possibilité d'emmener un défenseur latéral de plus, ce qui lui a sérieusement posé problème lorsque Willy Sagnol, l'arrière latéral droit, s'est blessé.

Dès lors, que faire de Marcel Desailly, en semi-retraite au Portugal ? Jacques Santini l'a donc intronisé capitaine de route, à lui les conférences de presse empreintes d'une certaine morgue, voire d'une arrogance certaine. En grand communicateur, Desailly a constamment travesti son discours, dissimulé la vérité d'un groupe. De quoi renforcer un réel décalage avec l'opinion publique, en proie au doute devant la tristesse du spectacle proposé.

Les supporteurs ne sont pas sur le terrain, mais ils savent lire un match. En l'occurrence, ils ne se sont pas trompés : jamais les Bleus n'ont évolué libérés. Leur jeu a fait peine à voir : technique déficiente, passes trop lentes, physique défaillant. La haute compétition est un impitoyable révélateur. L'équipe de France avait pris très peu de buts en deux ans, elle restait auréolée d'un record d'imperméabilité. En quatre matches, les Bleus sont allés chercher cinq fois la balle dans leurs filets. C'est beaucoup. La France reste décidément orpheline d'un défenseur central doté de qualités de relance.

Le milieu de terrain ne s'est jamais trouvé : Zinédine Zidane, bien que buteur à trois reprises, n'a toujours pas délivré de passe décisive à Thierry Henry. Le constat est cruel, mais il semble bien que le no 10 des Bleus ralentisse à l'excès le jeu de l'équipe de France, quand l'attaquant d'Arsenal recherche un football à l'anglaise, rapide, agressif.

DÉSARROI TACTIQUE

Tactiquement, les Bleus n'ont eu de cesse de critiquer le football de leurs adversaires, censés se regrouper devant leurs buts. L'excuse est commode. En vérité, les Français n'ont pas su jouer vite et ensemble. Ils étaient affublés, en outre, d'un David Trezeguet fantomatique. L'attaquant de la Juventus Turin, quand il ne marque pas, ne sert strictement à rien. Les fameux cadres de l'équipe, les Thuram, Desailly, Vieira, ont bien réclamé le retour d'un milieu à trois récupérateurs, comme en 1998 ou 2000. Jamais Jacques Santini n'a plié, il s'est contenté d'adapter son 4-4-2.

C'est ainsi, au gré de tous ces paramètres techniques, que les Bleus, désemparés, se sont lentement fanés, égarant leur prestige, écornant leur palmarès.

C'est donc la fin d'une génération. Celle des grognards de 1998, des rescapés de 2002. Pénétrés de leur importance, ils n'auront pas su discerner leur déclin. Ils auront préféré rechercher tous les prétextes possibles, du manque d'espaces proposé par les adversaires – c'est pourtant le principe même du football – aux questions trop insidieuses des médias. Pas l'ombre d'une remise en cause, d'un brin de lucidité. Le constat est aujourd'hui sans appel ; une équipe de France un brin conquérante, vive et enthousiaste, aurait dû ne faire qu'une bouchée de Grecs limités, de Croates fatigués, de Suisses résignés.

Retranchés dans leur bunker palace de Santo Tirso, épargnés par des entraînements aux allures de jeux d'enfants, les Bleus ont failli dans tous les domaines. Les héros d'hier ont cruellement déçu. Il faut aujourd'hui analyser rapidement les causes des échecs des Bleus depuis deux ans, et cesser de se voiler la face. L'encadrement de l'équipe de France est le même depuis vingt ans, Zinédine Zidane en a 32, nos schémas de jeu ont vieilli. En football comme ailleurs, il faut savoir évoluer. Et faire table rase du passé.

Gérard Davet
• ARTICLE PARU DANS L'EDITION DU 27.06.04
8598
J'suis d'accord avec serge


sinon on va se retrouver comme l'allemagne, a etre en chien complet avec l'equipe nationale
8599
P'tain Milan Baros il veut pas venir jouer à Lyon? je lui paye un p'tit bouchon lyonnais si il vient!!!!!

hallucinant le gars! :8O:
Audiofanzine Football Club
8600
Moi c'ets Koller qui m'impressionne
Les tchèques vont ramasser les grecs à la petite cuiller en 1/2