Blague la plus pourrite 2 le retour de la vengeance :lol:
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kravatorf
9930
Membre d’honneur
Membre depuis 21 ans
Sujet de la discussion Posté le 16/08/2004 à 23:02:11Blague la plus pourrite 2 le retour de la vengeance :lol:
Beh vouala ... moua je me choquerai pas tant que ça reste des blagues ;)
d'ailleurs ... une bien pourrite
quelle est la différence entre un spaghetti et un myopathe ????
beh si tu suces le spaghetti il bouge lui
allez à vous
Citation : on peut rire de tout mais pas avec tout le monde
d'ailleurs ... une bien pourrite
quelle est la différence entre un spaghetti et un myopathe ????
beh si tu suces le spaghetti il bouge lui
allez à vous
Anonyme
521410
3821 Posté le 25/05/2006 à 18:38:24
Le cure n'a pas d'enfant de coeur pour l'aider, mais il possede un
perroquet savant qu'ils a dresse pour lui donner un coup de main lors de
la messe : il le met sur un perchoir, a cote de l'autel, et le volatile
place les fideles :
- Les hommes a gauche, les femmes a droite, les hommes a gauche,
les femmes a droite,...
V'la-t-y pas qu'un jour, not'cure surprend son perroquet en train de faire
son affaire a une poule, dans le fond du jardin.
- Creature de Satan ! Je vais t'apprendre a bien te conduire, moi !
Et pour punir l'oiseau, il lui rase la belle houpette de plumes rouges
qu'il avait sur le crane, et qui faisait sa fierte !
Honteux, qu'il est le perroquet ! Et a la messe suivante, le perchoir
planque dans un coin sombre a cote de l'harmonium, il officie, tout
penaud :
- Les hommes a gauche, les femmes a droite, les hommes a gauche,
les femmes a droite,...
Entrent deux chauves... Alors le perroquet, soudain regaillardi :
- Et les deux baiseurs de poule, avec moi pres de l'harmonium !
perroquet savant qu'ils a dresse pour lui donner un coup de main lors de
la messe : il le met sur un perchoir, a cote de l'autel, et le volatile
place les fideles :
- Les hommes a gauche, les femmes a droite, les hommes a gauche,
les femmes a droite,...
V'la-t-y pas qu'un jour, not'cure surprend son perroquet en train de faire
son affaire a une poule, dans le fond du jardin.
- Creature de Satan ! Je vais t'apprendre a bien te conduire, moi !
Et pour punir l'oiseau, il lui rase la belle houpette de plumes rouges
qu'il avait sur le crane, et qui faisait sa fierte !
Honteux, qu'il est le perroquet ! Et a la messe suivante, le perchoir
planque dans un coin sombre a cote de l'harmonium, il officie, tout
penaud :
- Les hommes a gauche, les femmes a droite, les hommes a gauche,
les femmes a droite,...
Entrent deux chauves... Alors le perroquet, soudain regaillardi :
- Et les deux baiseurs de poule, avec moi pres de l'harmonium !
riffeur
2189
AFicionado·a
Membre depuis 20 ans
3822 Posté le 25/05/2006 à 18:43:21
2 feujs au téléphone:
-la putain, ma femme elle s'est levée avec un torticolis ce matin!
-pô-pô-pô, la putain! ils sont partout ces italiens !
-la putain, ma femme elle s'est levée avec un torticolis ce matin!
-pô-pô-pô, la putain! ils sont partout ces italiens !
http://rastofforo1er.free.fr/ la culture m'a tuer ... mozart faux coeur !
paul2000
732
Posteur·euse AFfolé·e
Membre depuis 20 ans
3823 Posté le 25/05/2006 à 18:46:35
C'est une fille qui pour plaire à son homme et susciter de nouveau son exitation blazée par des années de concubinage décide de se faire tatouer les initiales de Brigitte Bardot, un "B" sur chaque fesse.
Et, à un moment, pendant l'acte s'en aperçevant le type s'écrit :"Putain!!C'est qui ce BoB!!"
Et, à un moment, pendant l'acte s'en aperçevant le type s'écrit :"Putain!!C'est qui ce BoB!!"
Anonyme
521410
3824 Posté le 25/05/2006 à 18:46:40
Je vient de la voir sur un forum de dévloppeur ils ont de l'humour es inormatitiens
Un gars, qui par trop se faisait chier un soir de pleine lune, se pointe donc en boîte.
Il entre, et se dirige vers le bar. La boîte est d'un sombre pas commun, et le bar est d'ailleurs le seul endroit quelque peu éclairé. Faiblarde, la lumière, tout de même.
Le bar forme un grand "U". Il se met d'un côté du "U", et commande une bouteille de champ', et deux coupettes (sait-on jamais). On le sert, il règle, et ceci fait, son radar de mâle s'autoactive (un peu à la façon de l'oeil de Steve Austin [pas Powers, l'autre: son père, "l'homme qui valait 3 milliards).
Paf! De l'autre côté du bar, il apperçoit une Gonzesse Majuscule, mais alors, d'une beauté à faire se damner un saint. Une Bombe ! Atomique ! Qui, de surcroit, lui sourit grave.
Alors, il se démonte pas, le mec, et il s'approche du morceau, champ' et tout à la main, s'arrête juste avant l'angle du comptoir, lui fait la proposition d'une coupette, qu'elle accepte bien volontiers, et nous les v'là partis en discutaille.
"Bla, bla, blah,...et bla, bla,.. mhlè, bli, nan, vi, hi hi,..." et tout le tintouin. Ca tchatche encore ferme lorsque la musique s'arrête, et que la lumière remonte un peu.
Il venaient juste de se dire:
Lui
- on s'entend bien, hein ?
Elle
- oh, voui !
Lui
-Et si on se finissait la soirée tous les deux, ailleurs, tranquille ...?
Elle
-Oh voui, oh voui (en tapant dans les mains [contente, la petite...] ) !
Et donc, le Night Clube se prépare à fermer, ils ont prévu de faire nuit blanche ensemble, et la lumière remonte. Et cette petite, elle est Belle, mais Belle, elle a tout:
un visage d'ange, des yeux grands et expressifs, des cheuveux magnifiques, une bouche adorable, des seins op(b)ulents, bref, le Top. Elle a tout, cette petite, sauf des jambes: elle est cul-de jatte. Alors, lui, il fait grise mine un instant, et elle:
-T'es déçu, hein, pressent-elle brusquement.
Lui
-Heu..., non,....Nonon... C'est sûr, ça fait une surprise tout de même, mais, tout bien considéré, on s'entend bien je trouve, et, allez, on va pas changer nos plans pour si peu. Let's!
Il lui tend ses bras, les lui passe sous les aisselles, la soulève, et l'emmène à sa voiture. L'ayant installée confortablement, il rejoint le poste de conduite, s'attache lui aussi [ndlr: c'est O-BLI-GA-TOI-REUH ! ], et démarre. Ils empruntent de jolis petits chemins, tout en baragouinant encore, pendant quelques kilomètre. A l'orée d'un bois, elle tire violemmnt le frein à main, et lui crie: -Ici...Maintenant... Prends-moi !!
Lui sort alors de sa caisse, attend qu'elle suive, et:
-Ah! Merde! C'est vrai ....
Il la resoulève par dessous les aisselles, et, lucide, lui demande:
-Dis, chérie, comment on fait avec toâ ?
Et d'un grand et merveilleux sourire, elle:
-J'ai beau être blonde, j'ai pourtant la solution. Il faut que je t'avoue que le choix de cet endroit n'est pas totalement innocent: Qui dit "orée du bois" dit "arbres". Qui dit '"arbres" dit "branches". Et qui dit "branche" dit "pas trop haute", comme ça, je m'y suspend, et pis violà, le reste, t'es un grand et BEAU garçon, j'te fais confiance.
Ils se lancent donc à la recherche d'une branche comme il faut:
Lui
-Celle-là ?
Elle:
-Non, plus bas!
-Celle-là ?...
-Nan, plus haut !
-Et là ?
-Bien, parfait !
Elle se suspend (du coup, elle va pas pouvoir être très active).Et lui l'entreprend avec des préliminaires mouillés du bout des lèvres, carressés précieusement, et tout le monde s'énerve joyeusement. D'on coup, il lui arrache sa robe, puis sa petite culotte, se fout à poil, et commence sa presta. Presta, presta, façon de parler, parce que ça dure bien 3/4 d'heure, leur petit jeu du bouchon qui bouge, lui astiquant frénétiquement, profitant de toute embouchure, et elle ppêtant volontiers son concours généreux (mais alors, c'est plus des bras qu'elle doit avoir [alors c'est quoi ? ben, chais pas, moi, des cuisses, ou bien...] ). Ca se termine, il se remballe, la rhabille (par en dessous...), la décroche, l'ammène à la voiture, la réinstalle confortablement, retourne se poser le cul dans le siège du conducteur, remet lui aussi sa ceinture [ndlr: c'est vraiment vraiment O-BLI-GA-TOI-REUH et utile! ], démarre, et roule.
Fenêtre grande ouverte (un peu comme windoze sans firewall), il se marre, se passe la main dans les cheveux, est content de lui:
-Alors, Puce (se dit d'une fille à qui ça démangeait), c'était bon, hein ?...................
Et elle, en pleurs:
-C'était MAAA-GNIIII-FIII-QUE, sniff, bouhouhou,....
-M'enfin, Pupuce (se dit d'une fille qui s'est beaucoup grattée ensuite), pourquoi tu pleures, qu'est-ce qu'il y a ?!!...
-Rien, WAAAAAAh, sniff, c'était magique, sob, je t'assure, blub, bouhouhouhou....
-Ah, dis, tu vas pas commencer, hé, alors, tu me dis, ou quoi ?
-Ben voilà: c'est la première fois qu'on me décroche aprèèèèèèèèèèèès !...................
Un gars, qui par trop se faisait chier un soir de pleine lune, se pointe donc en boîte.
Il entre, et se dirige vers le bar. La boîte est d'un sombre pas commun, et le bar est d'ailleurs le seul endroit quelque peu éclairé. Faiblarde, la lumière, tout de même.
Le bar forme un grand "U". Il se met d'un côté du "U", et commande une bouteille de champ', et deux coupettes (sait-on jamais). On le sert, il règle, et ceci fait, son radar de mâle s'autoactive (un peu à la façon de l'oeil de Steve Austin [pas Powers, l'autre: son père, "l'homme qui valait 3 milliards).
Paf! De l'autre côté du bar, il apperçoit une Gonzesse Majuscule, mais alors, d'une beauté à faire se damner un saint. Une Bombe ! Atomique ! Qui, de surcroit, lui sourit grave.
Alors, il se démonte pas, le mec, et il s'approche du morceau, champ' et tout à la main, s'arrête juste avant l'angle du comptoir, lui fait la proposition d'une coupette, qu'elle accepte bien volontiers, et nous les v'là partis en discutaille.
"Bla, bla, blah,...et bla, bla,.. mhlè, bli, nan, vi, hi hi,..." et tout le tintouin. Ca tchatche encore ferme lorsque la musique s'arrête, et que la lumière remonte un peu.
Il venaient juste de se dire:
Lui
- on s'entend bien, hein ?
Elle
- oh, voui !
Lui
-Et si on se finissait la soirée tous les deux, ailleurs, tranquille ...?
Elle
-Oh voui, oh voui (en tapant dans les mains [contente, la petite...] ) !
Et donc, le Night Clube se prépare à fermer, ils ont prévu de faire nuit blanche ensemble, et la lumière remonte. Et cette petite, elle est Belle, mais Belle, elle a tout:
un visage d'ange, des yeux grands et expressifs, des cheuveux magnifiques, une bouche adorable, des seins op(b)ulents, bref, le Top. Elle a tout, cette petite, sauf des jambes: elle est cul-de jatte. Alors, lui, il fait grise mine un instant, et elle:
-T'es déçu, hein, pressent-elle brusquement.
Lui
-Heu..., non,....Nonon... C'est sûr, ça fait une surprise tout de même, mais, tout bien considéré, on s'entend bien je trouve, et, allez, on va pas changer nos plans pour si peu. Let's!
Il lui tend ses bras, les lui passe sous les aisselles, la soulève, et l'emmène à sa voiture. L'ayant installée confortablement, il rejoint le poste de conduite, s'attache lui aussi [ndlr: c'est O-BLI-GA-TOI-REUH ! ], et démarre. Ils empruntent de jolis petits chemins, tout en baragouinant encore, pendant quelques kilomètre. A l'orée d'un bois, elle tire violemmnt le frein à main, et lui crie: -Ici...Maintenant... Prends-moi !!
Lui sort alors de sa caisse, attend qu'elle suive, et:
-Ah! Merde! C'est vrai ....
Il la resoulève par dessous les aisselles, et, lucide, lui demande:
-Dis, chérie, comment on fait avec toâ ?
Et d'un grand et merveilleux sourire, elle:
-J'ai beau être blonde, j'ai pourtant la solution. Il faut que je t'avoue que le choix de cet endroit n'est pas totalement innocent: Qui dit "orée du bois" dit "arbres". Qui dit '"arbres" dit "branches". Et qui dit "branche" dit "pas trop haute", comme ça, je m'y suspend, et pis violà, le reste, t'es un grand et BEAU garçon, j'te fais confiance.
Ils se lancent donc à la recherche d'une branche comme il faut:
Lui
-Celle-là ?
Elle:
-Non, plus bas!
-Celle-là ?...
-Nan, plus haut !
-Et là ?
-Bien, parfait !
Elle se suspend (du coup, elle va pas pouvoir être très active).Et lui l'entreprend avec des préliminaires mouillés du bout des lèvres, carressés précieusement, et tout le monde s'énerve joyeusement. D'on coup, il lui arrache sa robe, puis sa petite culotte, se fout à poil, et commence sa presta. Presta, presta, façon de parler, parce que ça dure bien 3/4 d'heure, leur petit jeu du bouchon qui bouge, lui astiquant frénétiquement, profitant de toute embouchure, et elle ppêtant volontiers son concours généreux (mais alors, c'est plus des bras qu'elle doit avoir [alors c'est quoi ? ben, chais pas, moi, des cuisses, ou bien...] ). Ca se termine, il se remballe, la rhabille (par en dessous...), la décroche, l'ammène à la voiture, la réinstalle confortablement, retourne se poser le cul dans le siège du conducteur, remet lui aussi sa ceinture [ndlr: c'est vraiment vraiment O-BLI-GA-TOI-REUH et utile! ], démarre, et roule.
Fenêtre grande ouverte (un peu comme windoze sans firewall), il se marre, se passe la main dans les cheveux, est content de lui:
-Alors, Puce (se dit d'une fille à qui ça démangeait), c'était bon, hein ?...................
Et elle, en pleurs:
-C'était MAAA-GNIIII-FIII-QUE, sniff, bouhouhou,....
-M'enfin, Pupuce (se dit d'une fille qui s'est beaucoup grattée ensuite), pourquoi tu pleures, qu'est-ce qu'il y a ?!!...
-Rien, WAAAAAAh, sniff, c'était magique, sob, je t'assure, blub, bouhouhouhou....
-Ah, dis, tu vas pas commencer, hé, alors, tu me dis, ou quoi ?
-Ben voilà: c'est la première fois qu'on me décroche aprèèèèèèèèèèèès !...................
J-Luc
6112
Modérateur·trice thématique
Membre depuis 21 ans
3825 Posté le 25/05/2006 à 18:58:47
Il y a deux moyens d’oublier les tracas de la vie : la musique et les chats.
Albert Schweitzer
Anonyme
521410
3826 Posté le 25/05/2006 à 19:23:26
C'est un type qui traverse le désert, et qu'en peux plus !
Il a faim, il a soif et il rêve d'une femme.
Alors qu'il marche dans le sable, au tournant d'une dune, il voit un hotel restaurant. "Au Désirs du Voyageurs". Il commence par croire à un mirage, mais le bâtiment reste solide devant lui alors qu'il s'approche.
Il entre dans le resto et voit une vieille bonne femme derriere un comptoir, essuyant nonchalement un verre avec un torchon sale.
Il commence par demander une bière ( ), puis un repas. En fin de repas, il demande à la vieille mégère, si l'hotel est à la hauteur de son nom, et que les désirs des voyageurs sont assouvis. La vieille lui répond, qu'il a cas demandé ce qu'il veut, et il verra bien.
Le type n'hésite pes et lui demande si c'est possible de trouver une femme. ( Il est a un point qu'il pourrait se taper la vieille )
La femme dit alors : Chambre 26, 2ème étage ! C'est 200 € !
Le type paye, et monte à la chambre. La il trouve un pieu et dessus, une fille a poil, en position, qui n'attend que lui ! Le type se pose pas de question et commence aussitôt son affaire.
Apres un certain temps, il voit un liquide blanc sortir de la fille, qui ne bronche toujours pas ! Il s'inquiete, se rahabille et descend. Il voit la vieille et lui dit : C'est bizarre, la fille en haut, elle dit rien, et puis y a un liquide blanc qui lui sort par les narines !
La vieille se retourne vers les cuisines et gueule : "Paulo ! Le cadavre de la 26 est plein, faut aller l'vider !"
Il a faim, il a soif et il rêve d'une femme.
Alors qu'il marche dans le sable, au tournant d'une dune, il voit un hotel restaurant. "Au Désirs du Voyageurs". Il commence par croire à un mirage, mais le bâtiment reste solide devant lui alors qu'il s'approche.
Il entre dans le resto et voit une vieille bonne femme derriere un comptoir, essuyant nonchalement un verre avec un torchon sale.
Il commence par demander une bière ( ), puis un repas. En fin de repas, il demande à la vieille mégère, si l'hotel est à la hauteur de son nom, et que les désirs des voyageurs sont assouvis. La vieille lui répond, qu'il a cas demandé ce qu'il veut, et il verra bien.
Le type n'hésite pes et lui demande si c'est possible de trouver une femme. ( Il est a un point qu'il pourrait se taper la vieille )
La femme dit alors : Chambre 26, 2ème étage ! C'est 200 € !
Le type paye, et monte à la chambre. La il trouve un pieu et dessus, une fille a poil, en position, qui n'attend que lui ! Le type se pose pas de question et commence aussitôt son affaire.
Apres un certain temps, il voit un liquide blanc sortir de la fille, qui ne bronche toujours pas ! Il s'inquiete, se rahabille et descend. Il voit la vieille et lui dit : C'est bizarre, la fille en haut, elle dit rien, et puis y a un liquide blanc qui lui sort par les narines !
La vieille se retourne vers les cuisines et gueule : "Paulo ! Le cadavre de la 26 est plein, faut aller l'vider !"
Jr0001
5527
Je poste, donc je suis
Membre depuis 19 ans
3827 Posté le 25/05/2006 à 19:30:18
C'est un curé qui vient remplacé son collegue malade dans une petite paroisse villageoise. Nous somme un apres midi, les enfants de coeur répétent et c'est la queue pour confesse.
Une femme rentre dans le confessional:"pardonnez moi mon pere car j'ai peché. J'ai rencontré un inconnu et je lui ai fait une fellation. Je me sent tellement sale, que dois-je faire mon pere?"
Le pere regarde dans son livre des péchés, ou le nombre de pater et d'avé maria est indiqué en fonction de la gravité du péché.
Il cherche à f. Félation ,félation... il ne sait pas quoi faire, c'est nouveau pour lui.
Il demande alors aux enfants de coeur:"dites, que donnait l'ancien pere pour une fellation?
_Un bounty", répondent-ils en coeur.
tihouss
26528
Vie après AF ?
Membre depuis 19 ans
3828 Posté le 25/05/2006 à 19:35:44
Pourquoi les scouts sont-ils toujours bien coiffés ?
Tu diras rien à personne, hein mon petit :caresselatête:
Tu diras rien à personne, hein mon petit :caresselatête:
L'appétit vient en mangeant ; la réforme, c'est pas sorcier ; le campement léger en plein air, non. Cupidon
Jr0001
5527
Je poste, donc je suis
Membre depuis 19 ans
3829 Posté le 25/05/2006 à 19:43:00
Sans les gestes, c'est plus difficile pour cette blague.
Sinon, dans le collège pour fille St Ursule, il est l'heure de confesse.
Les filles en uniforme font patiement la queue afin d'aller au confessional à tour de role. La premiere sort et se lave les mains dans le benitier. Ses deux amies se demendent ce qu'elle fait. "Qu'est-ce quil ta dit?demande la premiere.
_Je lui ai dit qu'un jour j'avais touché le zizi d'un garcon. Alors je dois me laver les mains."
C'est à ce moment la que la seconde fille essaye de doubler la premiere. Mais l'abbé, qui est loin d'etre aveugle, s'apercoit du manege et va voir les deux filles qui se disputent. Il leur demande ce qu'elles ont, ce à quoi la vialine "doubleuse" répond: "il est hors de question que je me lave la bouche apres qu'elle se soit lavé les fesses"
Sinon, dans le collège pour fille St Ursule, il est l'heure de confesse.
Les filles en uniforme font patiement la queue afin d'aller au confessional à tour de role. La premiere sort et se lave les mains dans le benitier. Ses deux amies se demendent ce qu'elle fait. "Qu'est-ce quil ta dit?demande la premiere.
_Je lui ai dit qu'un jour j'avais touché le zizi d'un garcon. Alors je dois me laver les mains."
C'est à ce moment la que la seconde fille essaye de doubler la premiere. Mais l'abbé, qui est loin d'etre aveugle, s'apercoit du manege et va voir les deux filles qui se disputent. Il leur demande ce qu'elles ont, ce à quoi la vialine "doubleuse" répond: "il est hors de question que je me lave la bouche apres qu'elle se soit lavé les fesses"
paul2000
732
Posteur·euse AFfolé·e
Membre depuis 20 ans
3830 Posté le 25/05/2006 à 19:51:27
C'est un type perdu au beau milieu du désert avec pour tout vêtement une simple chemise.
Il marche, marche et marche encore, et voit poindre la sylhouette d'un panneau de signalisation, y voyant les prémisses de la civillsation il s'y précipite espérant pouvoir sauver sa vie. Mais complétement abassourdi il lit sur le panneau : "Attention aux pédés". Scrutant et ne décelant rien d'autre à l'horizon que du sable, il continue sa marche errante et bientôt il tombe sur un autre panneau avec marqué "Attention aux pédés" mais rien d'autre autour de lui que du sable, il continue encore, et n'en pouvant plus il trébuche à un moment sur quelque chose de dur, c'était un tout petit tout petit panneau, n'y pouvant rien lire il se penche pour mieux voire , il y décele une inscription, il s'agenouille pour mieux voire ce qu'il y est écrit, et finalement à quatre pattes le nez dans le sable, il arrive à lire "Trop tard".
Il marche, marche et marche encore, et voit poindre la sylhouette d'un panneau de signalisation, y voyant les prémisses de la civillsation il s'y précipite espérant pouvoir sauver sa vie. Mais complétement abassourdi il lit sur le panneau : "Attention aux pédés". Scrutant et ne décelant rien d'autre à l'horizon que du sable, il continue sa marche errante et bientôt il tombe sur un autre panneau avec marqué "Attention aux pédés" mais rien d'autre autour de lui que du sable, il continue encore, et n'en pouvant plus il trébuche à un moment sur quelque chose de dur, c'était un tout petit tout petit panneau, n'y pouvant rien lire il se penche pour mieux voire , il y décele une inscription, il s'agenouille pour mieux voire ce qu'il y est écrit, et finalement à quatre pattes le nez dans le sable, il arrive à lire "Trop tard".
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