Blague la plus pourrite 2 le retour de la vengeance :lol:
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inusable diplomatie!
TheStratGuy
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Modérateur·trice généraliste
Membre depuis 20 ans
Pour continuer la série: à l'époque stalinienne, un inspecteur envoyé par le Kremlin visite une école soviétique pour s'assurer que les precepts du Parti y sont bien inculqués. L'instit, qui par pure précaution a déjà préparé ses bagages avec tout ce qu'il faut comme vêtements chauds (c'est que la météo ça rigole pas en Sibérie) interroge un élève du premier rang:
- Toi, jeune camarade Dimitri, qui sont tes parents?
- Mon père est le camarade Staline et ma mère est le Parti, camarade instituteur!
- Bien! Et que veux tu faire plus tard, jeune camarade Dimitri?
- Je veux travailler dur dans une fonderie pour produire plus d'acier de façon à fabriquer des chars pour la grandeur de ma patrie et de la Révolution, camarade instituteur!
- Bien! Et toi, jeune camarade Sacha, dit l'instit en s'adressant au voisin de table du premier gamin, qui sont tes parents?
- Mon père est le camarade Staline et ma mère est le Parti, camarade instituteur!
- Bien! Et que veux tu faire plus tard, jeune camarade Sacha?
- Je veux travailler dur comme ouvrier agricole pour produire plus de blé de façon à nourrir tout le pays, pour la grandeur de ma patrie et de la Révolution, camarade instituteur!
- Bien, fait l'instituteur. Et toi...
- Vous permettez, l'interrompt l'inspecteur. Tiens, toi jeune camarade, oui, toi qui es assis tout au fond de la classe et qui te caches, comment t'appelle-tu?
Là l'instit est au bord de la syncope, évidemment de toute la classe il a fallu que l'inspecteur choisisse d'interroger LE rebelle de service, fils de dissident notoire et toujours prêt à foutre le bazar en classe...
- Je m'appelle Igor, camarade inspecteur!
- Qui sont tes parents, jeune camarade Igor?
- Mon père est le camarade Staline et ma mère est le Parti, camarade inspecteur!
Là l'instituteur se dit que malgré la doctrine du Parti y'a peut-être finalement un Bon Dieu, et il se dit qu'il est sauvé. L'inspecteur continue:
- Bien! Et que veux tu faire plus tard, jeune camarade Igor?
- Orphelin, camarade inspecteur!
Et puisqu'on en est aux blagues plus ou moins politiques: à la fin du second septennat de François Mitterand, Roger Hanin (son beau-frère pour ceux qui n'ont pas suivi) reçoit un coup de fil un peu embarrassé d'un conseiller de l'Elysée:
- Oui Monsieur Hanin? Ecoutez, on a un problème avec le président, vous savez qu'il est très malade alors nous nous devons bien envisager toutes les éventualités, mais dès qu'on aborde le sujet... enfin vous le connaissez, il refuse d'envisager ce cas de figure alors nous si jamais il venait à disparaître pendant qu'il est encore en fonction on n'a aucune idée sur les dispositions qu'il faudrait prendre, alors on se disait que peut-être qu'avec vous...
- D'accord, répond Hanin, justement je déjeune avec lui ce week-end à Latche, dites-moi ce que vous aimeriez lui dire et je lui en parlerai.
Arrive le week-end en question. Le déjeuner se déroule bien (faut dire que des ortolans ça met toujours une bonne ambiance
), et à la fin autour du café l'acteur ose aborder le tabou des tabous:
- Tu sais François, j'ai eu des gens de l'Elysée au téléphone l'autre fois et ils sont bien embêtés, je sais bien que tu veux jamais en parler mais...
- Non mais c'est pas la peine Roger, je vais très bien moi!
- Oui mais tu sais François, on sait jamais, un accident de voiture, un avion qui s'écrase, ou n'importe quoi d'autre c'est vite arrivé, on sait jamais...
- Oui, bon, après tout pourquoi pas, je suis sûr que je les enterrerai tous mais si ça les amuse... Ils t'ont dit à quoi ils pensaient?
- Oui, ils ont envisagé plusieurs possibilités. D'abord il y a le Panthéon...
- Ah, pourquoi pas, pas mal le Panthéon, c'est un beau quartier, et puis c'est prestigieux... oui mais non, après si c'est pour que Jospin m'imite en allant me foutre une rose tous les ans c'est pas la peine, et puis le Panthéon y'a déjà plein de monde là-dedans, je préférerais quelque chose de plus unique, quelque chose qui n'appartienne qu'à moi...
- Oui, je comprends. Sinon ils ont pensé au Sacré-Coeur...
- Ah, oui, très bien le Sacré-Coeur, c'est beau, c'est original, de là-haut on domine tout Paris, et puis en plus avec le cortège qui devra grimper les côtes ça fera plaisir à Jack Lang et à Pascal Sevran, ça leur rappellera Solutré... Quels cabots ces deux là! Oui, j'aime bien cette idée... En même temps le problème c'est tous ces touristes là, des américains, des japonais, tous là à prendre des photos dans tous les sens, sans compter les pigeons (enfin, pas ceux de Solférino qui m'ont élu deux fois, les autres, les vrais je parle
)... et puis non, de toute façon ce quartier entre les peintres, les vendeurs à la sauvette et les travestis qui se prennent pour Dalida, non, c'est pas possible, on oublie le Sacré-coeur. Autre chose?
- Ben, oui, ils avaient bien pensé à une autre solution... c'est le Saint-Sépulcre.
Là le visage du président s'illumine, on sent bien que cette idée est (presque) à la hauteur de son égo:
- Aaaaaaaaaahn, magnifique! Superbe! Le Saint-Sépulcre, la tombe du Christ, ah, oui, ça c'est une bonne idée! Mais, ils me proposent ça mais ils se sont déjà renseignés au moins pour savoir si Israël serait d'accord?
- Oui, c'est bon, le gouvernement israélien est d'accord, par contre ils ont mis une condition, bon c'est pas un problème vu que c'est l'Etat qui paierait mais pour que tu sois enterré là-bas ils veulent 500 millions de francs...
- 500 millions? ça fait quand même cher pour trois jours...
- Toi, jeune camarade Dimitri, qui sont tes parents?
- Mon père est le camarade Staline et ma mère est le Parti, camarade instituteur!
- Bien! Et que veux tu faire plus tard, jeune camarade Dimitri?
- Je veux travailler dur dans une fonderie pour produire plus d'acier de façon à fabriquer des chars pour la grandeur de ma patrie et de la Révolution, camarade instituteur!
- Bien! Et toi, jeune camarade Sacha, dit l'instit en s'adressant au voisin de table du premier gamin, qui sont tes parents?
- Mon père est le camarade Staline et ma mère est le Parti, camarade instituteur!
- Bien! Et que veux tu faire plus tard, jeune camarade Sacha?
- Je veux travailler dur comme ouvrier agricole pour produire plus de blé de façon à nourrir tout le pays, pour la grandeur de ma patrie et de la Révolution, camarade instituteur!
- Bien, fait l'instituteur. Et toi...
- Vous permettez, l'interrompt l'inspecteur. Tiens, toi jeune camarade, oui, toi qui es assis tout au fond de la classe et qui te caches, comment t'appelle-tu?
Là l'instit est au bord de la syncope, évidemment de toute la classe il a fallu que l'inspecteur choisisse d'interroger LE rebelle de service, fils de dissident notoire et toujours prêt à foutre le bazar en classe...
- Je m'appelle Igor, camarade inspecteur!
- Qui sont tes parents, jeune camarade Igor?
- Mon père est le camarade Staline et ma mère est le Parti, camarade inspecteur!
Là l'instituteur se dit que malgré la doctrine du Parti y'a peut-être finalement un Bon Dieu, et il se dit qu'il est sauvé. L'inspecteur continue:
- Bien! Et que veux tu faire plus tard, jeune camarade Igor?
- Orphelin, camarade inspecteur!
Et puisqu'on en est aux blagues plus ou moins politiques: à la fin du second septennat de François Mitterand, Roger Hanin (son beau-frère pour ceux qui n'ont pas suivi) reçoit un coup de fil un peu embarrassé d'un conseiller de l'Elysée:
- Oui Monsieur Hanin? Ecoutez, on a un problème avec le président, vous savez qu'il est très malade alors nous nous devons bien envisager toutes les éventualités, mais dès qu'on aborde le sujet... enfin vous le connaissez, il refuse d'envisager ce cas de figure alors nous si jamais il venait à disparaître pendant qu'il est encore en fonction on n'a aucune idée sur les dispositions qu'il faudrait prendre, alors on se disait que peut-être qu'avec vous...
- D'accord, répond Hanin, justement je déjeune avec lui ce week-end à Latche, dites-moi ce que vous aimeriez lui dire et je lui en parlerai.
Arrive le week-end en question. Le déjeuner se déroule bien (faut dire que des ortolans ça met toujours une bonne ambiance
), et à la fin autour du café l'acteur ose aborder le tabou des tabous:- Tu sais François, j'ai eu des gens de l'Elysée au téléphone l'autre fois et ils sont bien embêtés, je sais bien que tu veux jamais en parler mais...
- Non mais c'est pas la peine Roger, je vais très bien moi!
- Oui mais tu sais François, on sait jamais, un accident de voiture, un avion qui s'écrase, ou n'importe quoi d'autre c'est vite arrivé, on sait jamais...
- Oui, bon, après tout pourquoi pas, je suis sûr que je les enterrerai tous mais si ça les amuse... Ils t'ont dit à quoi ils pensaient?
- Oui, ils ont envisagé plusieurs possibilités. D'abord il y a le Panthéon...
- Ah, pourquoi pas, pas mal le Panthéon, c'est un beau quartier, et puis c'est prestigieux... oui mais non, après si c'est pour que Jospin m'imite en allant me foutre une rose tous les ans c'est pas la peine, et puis le Panthéon y'a déjà plein de monde là-dedans, je préférerais quelque chose de plus unique, quelque chose qui n'appartienne qu'à moi...
- Oui, je comprends. Sinon ils ont pensé au Sacré-Coeur...
- Ah, oui, très bien le Sacré-Coeur, c'est beau, c'est original, de là-haut on domine tout Paris, et puis en plus avec le cortège qui devra grimper les côtes ça fera plaisir à Jack Lang et à Pascal Sevran, ça leur rappellera Solutré... Quels cabots ces deux là! Oui, j'aime bien cette idée... En même temps le problème c'est tous ces touristes là, des américains, des japonais, tous là à prendre des photos dans tous les sens, sans compter les pigeons (enfin, pas ceux de Solférino qui m'ont élu deux fois, les autres, les vrais je parle
)... et puis non, de toute façon ce quartier entre les peintres, les vendeurs à la sauvette et les travestis qui se prennent pour Dalida, non, c'est pas possible, on oublie le Sacré-coeur. Autre chose?- Ben, oui, ils avaient bien pensé à une autre solution... c'est le Saint-Sépulcre.
Là le visage du président s'illumine, on sent bien que cette idée est (presque) à la hauteur de son égo:
- Aaaaaaaaaahn, magnifique! Superbe! Le Saint-Sépulcre, la tombe du Christ, ah, oui, ça c'est une bonne idée! Mais, ils me proposent ça mais ils se sont déjà renseignés au moins pour savoir si Israël serait d'accord?
- Oui, c'est bon, le gouvernement israélien est d'accord, par contre ils ont mis une condition, bon c'est pas un problème vu que c'est l'Etat qui paierait mais pour que tu sois enterré là-bas ils veulent 500 millions de francs...
- 500 millions? ça fait quand même cher pour trois jours...
Do not take life too seriously. You will never get out of it alive.
Fiiissss
3123
Squatteur·euse d’AF
Membre depuis 19 ans
Anonyme
14795
Et l' éternel= pourquoi Mitterrand est il enterré à Jarnac ???
Parce qu'il n'y avait plus de place à Jencule.
Parce qu'il n'y avait plus de place à Jencule.
Inusable™
7885
Je poste, donc je suis
Membre depuis 22 ans
Pourquoi plus de la moitié des francais ont voté Sarkozy ?
PARCE QUE LES FRANCAIS SONT DES GROS CONS DE PUTE DE LEUR MERE !!!!!!!!!!!!!!!
...Merde me suis encore gourré de topic...
PARCE QUE LES FRANCAIS SONT DES GROS CONS DE PUTE DE LEUR MERE !!!!!!!!!!!!!!!
...Merde me suis encore gourré de topic...
Fiiissss
3123
Squatteur·euse d’AF
Membre depuis 19 ans
inusable diplomatie!
Anonyme
521410
MrPropre
18
Nouvel·le AFfilié·e
Membre depuis 17 ans
greg lefonctionnaire
11410
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 20 ans
à propos de Sarko, mon père qui est un fidèle mouton, aime à me citer celle-là d'un air sérieux et sûr de lui :
"n'empêche, il fait du boulot..."
Je rigole pas devant lui...
"n'empêche, il fait du boulot..."
Je rigole pas devant lui...
Je suis Charlie
NBC!!!
5199
Je poste, donc je suis
Membre depuis 20 ans
Will Zégal
75790
Will Zégal
Membre depuis 22 ans
Greg > spa gentil, ça. 
Quand quelqu'un en raconte une aussi bonne, la moindre des politesse est de se marrer un minimum.
Quand quelqu'un en raconte une aussi bonne, la moindre des politesse est de se marrer un minimum.- < Liste des sujets
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