Sujet de la discussionPosté le 26/02/2014 à 14:51:25STAR WARS : Que la Farce soit avec vous!
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On va se faire ch*** (surement), on va loler (c'est pas dit), on va apprendre des trucs (sûrement) mais ce thread manquait au pub (ou pas ). C'est reparé. De rien.
Et n'oubliez pas que tonton Yoda vous surveille :
« Ce n'est pas sur une montagne qu'on trébuche, mais sur une pierre. » - Proverbe indien
Le truc des ziks de film, c'est que c'est présent uniquement pour accompagner le film, voire carrément jouer un rôle, comme les violons staccatissimo dans les films d'horreur (je dis pas que c'est une bonne chose, à mon sens c'est plutôt la voie de la facilité).
Y a quand même très peu de films où la zik est totalement indépendante du film et où il appartient au spectateur de relier les images et la musique.
Récemment, dans les films comemrciaux y a guère que dans Interstellar où j'ai vu ç, je serais pas surpris que Nolan n'ait pas montré une seule image ni même donné des indices de scénario à Hans Zimmer :
Perso, je trouve que justement cet effort nécessaire pour relier musique et images oblige le spectateur à se plonger et s'immerger totalement dans le film.
Dans un autre registre, Michael Bay a travaillé comme ça
avec Steve Jablonsky pour les BO de Transformers*.
--> "Fais moi une musique de bataille, une d'explosion, une de pif paf boum, une de poursuite...."
Ensuite il pioche (et parfois remonte) selon les besoins du flime.
(*En tout cas c'était comme ça pour l'opus 3 ou 4...)
Je trouve la réflexion conne. Pourquoi on utiliserait plus de vis dans l'univers SW? On a nous même plein de méthodes funky pour assembler deux pièces ensemble de manière réversible (ou pas) et pourtant on trouve toujours des mégatonnes de vis.