opinion Qu'est ce qui vous navre automatiquement ?

Par contre écouter Portishead par une froide journée pluvieuse d'automne, c'est un coup à s'auto-décapiter.

une usine qui retraite des résidus de M&M’s.

Elle nous vient de Russie et fait d’énormes ravages , détachant la peau en lambeau putréfiant et détruisant les os, le tout avec une souffrance indescriptible.

Son nom la désomorphine, surnommée « Crocodile ». Accessible, bon marché et terriblement additive, elle connaît un large succès.

Desomorphine attracted attention in 2010 in Russia due to an increase in clandestine production, presumably due to its relatively simple synthesis from codeine. Reports of its use there date back to 2003.[9] The drug is easily made from codeine, iodine and red phosphorus,[10] in a process similar to the manufacture of methamphetamine from pseudoephedrine. Like methamphetamine, desomorphine made this way is often highly impure and is contaminated with various toxic and corrosive byproducts. The street name in Russia for homemade desomorphine is "krokodil" (Russian: крокодил, crocodile), reportedly due to the scale-like appearance of skin of its users and the derivation from chlorocodide.[11] Due to difficulties in procuring heroin, combined with easy and cheap access to over-the-counter pharmacy products containing codeine in Russia, use of "krokodil" has increased. It has been estimated that around 100,000 people use krokodil in Russia and around 20,000 in Ukraine.[12]

La désomorphine, dite « drogue crocodile » ou krokodil en anglais, est un dérivé de la codéine à usage stupéfiant synthétisée pour la première fois aux États-Unis en 1932. Elle connaît un regain de popularité en Sibérie en 2002 et de là un essor dans toute la Russie en 2010, d'où elle est passée en Allemagne en 2012.
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La diffusion de cette drogue en Europe a de grandes chances d'être une rumeur : l'ANPAA écrit : "Une « nouvelle » drogue injectable, surnommée « Krokodil », dont la présence est confirmée en Russie, arriverait en Europe selon plusieurs journaux européens, notamment allemands.
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Le dispositif SINTES (Système national d'identification des toxiques et substances) et l'OFDT (Observatoire français des drogues et des toxicomanies) publie une note d'information indiquant que la présence de cette drogue en Europe, et notamment en France, reste une rumeur