Vos rèves chelous

Cette nuit, j'ai fait un rêve d'un réalisme incroyable.

Je travaillais à la Douane, et nous tournions dans un véhicule blindé et sur-armé dans un pays désolé et aux maisons écroulées ou en phase avancée de destruction. Les rues étaient désertes.

Les routes cabossées nous ont amené à un avant-poste fortifié de la douane. Là, nous avons débarqué, enfilé des armures de combats, et sommes partis en patrouille. Notre objectif était de déloger les "barbares". Terme interne pour désigner les français. Qui rôdaient la nuit à la recherche de viande d'être humains et de denrées à voler.

Mon rêve n'était pas clair à ce sujet, mais il semblerait que c'était la Suisse que je voyais à travers mon rêve. Selon-lui, l'Europe a été dévastée après une grande crise économique. Les gens, affamés, se sont mis à se voler les uns les autres, et, finalement, des flots de réfugiés et de bandits armés ont attaqué les régions frontalières en Suisse.

A mon souvenir, cette gueguerre durait depuis plus d'une décennie et je me souvenais avec mélancolie des petits villages fleuris à la population aujourd'hui décimée.

Un étrange rêve, qui, je l'espère, n'est pas une de ces visions du futur réelle, que j'ai parfois.

Rhââââ c'est la 1ere fois que je rêve d'Afiens, dont un que je ne connais pas (bon l'autre non plus, j'ai juste vu sa tronche ne photo).

J'ai rêvé que j’allais chez 8.5 en Belgique (dans le rêve c'était Bruxelles), avec Geronimo.

Me demandez pas ce que j'allais foutre chez l'un et ce que l'autre foutait avec moi, aucune idée.

Me souviens pas de la trame du rêve (sous réserve qu'il y en ait eu une), juste que :

- y avait plein de monde chez 8.5, et que tout le monde avait un accent belge à couper au couteau et que jme retenais de pas pouffer, en bon français respectueux des peuples étrangers.

- la femme de 8.5 (qu'il m'excuse) était moche comme tout, en gros c'était Polen avec des cheveux longs, et elle était plus toute jeune. Dans mon rêve j'avais hésité à lui faire la bise.

- Son appart faisait tuyau de poêle, c'était bien crade et le gros gros bordel.

- Au moment de repartir, une fois arrivé devant ma voiture me suis aperçu que j'avais perdu mes clefs chez 8.5, j'ai voulu revenir sonner chez lui, mais il m'ouvrait pas et menaçait d'appeler les flics.

J'ai du rentrer chez moi en vélo (Bruxelles/Nancy : 350 km). J'ignore totalement ce qu'est devenu Geronimo.