Sujet Le pub de la Corona...

BNoir, j'espère de tout cœur que tout rentre rapidement dans l'ordre pour ton épouse.

Mon cousin à l'hôpital en Espagne est toujours dans un état moyen. Grosse pneumonie. Ma cousine toujours fievreuse. La patronne de ma cousine qui est laborantine, avait insisté pour qu'elle continue le travail. Depuis, cette femme a dû prévenir tous ses clients. Tellement la panique que la radio du patelin à fait un communiqué d'urgence faisant de ma cousine la laborantine la plus célèbre du pays !

Je me disais qu'il doit y avoir moins de monde aux urgences quand même, hormis le COVID? Les fois où je suis allé aux urgences, il y avait beaucoup d'accident lié au travail, à la pratique sportive, des agressions...Mais peut être qu'il va y avoir des accidents de bricolage, et des problèmes d'alcool, ou malheureusement des violences familiales. Bon, j'en sais rien, je veux juste dire que les motifs de consultation doivent être vachement différents depuis 1 semaine.

ils parlent de grand-est comme si c'était une entité tangible, c'est qu'une nouvelle région allant de Reims à STrasbourg et regroupant 8 départements. En l'espèce c'est seul le 68 qui est rudement touché, j'ai pas trop trop d'infos sur le 67, mais les autres départements, (dans l'ordre : 51, 52, 54, 55, 57, 88) ne le sont pas voire pas du tout.
Attention avec les infos aussi fausses que catastrophiques des chaines télés de merde.

Selon les simulations des épidémiologistes, le pic de l'épidémie n'est pas encore atteint en Alsace. Normalement en début de semaine prochaine. Et risque d'arriver ensuite en Lorraine. "On n’est pas encore dans la vague en Lorraine, mais nous avons déjà des cas de décompensation très lourd", dit François Braun, médecin, chef du pôle urgences du CHR Metz-Thionville. "Mais c'est en train de devenir compliqué". Depuis un mois, François Braun enchaîne les réunions en cellule de crise les unes après les autres, jour après jour, pour essayer de trouver des solutions. "En fait nous n'avons aucune idée de l'intensité de ce qui risque de nous arriver. Nous n'avons jamais vu ça".

En réalité, les hôpitaux se préparent à la "priorisation"de l’accès aux soins en cas de saturation des services". Il y a quelques jours le Pr Jean-Michel Constantin, médecin-réanimateur à l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière déclarait à France 3 Lorraine : "Mon intime conviction est que l'on va sortir de cette cette crise. Mais l'hôpital sera à genoux". Et le directeur de l'hôpital de Nancy, Bernard Dupont, ajoute "il faudra tirer les leçons de cette épidémie. Il y aura un avant et un après". En attentant en Lorraine, comme partout en France, un médecin n'hésite pas à dire que "les hôpitaux se préparent au pire".

Je trouve qu’on en fait trop avec les soit disantes fausses informations véhiculées par les soit-disantes chaînes d’informations.