Sujet Mesurer l'intensité d'un CV
- 68 réponses
- 6 participants
- 3 538 vues
- 4 followers
Afficher le sujet de la discussion
...oserai-je?....
oryjen
17704
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 19 ans
Wè, wè, wèèèèhh!
Ici j'ai pas de radiateur, mais j'ai quand même une "terre" imbattable: 250 tonnes d'acier, ça pourrait aller?
Bon, je teste avec le SQ10 et je reviens (ptêt pas ce soir, hein: je rentre juste du boulot, là...)
Euh...tu...tu pourrais m'expliquer EXACTEMENT comment tu vois le branchement du multimètre avec la masse? Qqch doit m'échapper, car je ne pige pas pourquoi dans ce cas précis les mesures de la tension et de l'intensité se font de la même façon...
Ici j'ai pas de radiateur, mais j'ai quand même une "terre" imbattable: 250 tonnes d'acier, ça pourrait aller?
Bon, je teste avec le SQ10 et je reviens (ptêt pas ce soir, hein: je rentre juste du boulot, là...)
Euh...tu...tu pourrais m'expliquer EXACTEMENT comment tu vois le branchement du multimètre avec la masse? Qqch doit m'échapper, car je ne pige pas pourquoi dans ce cas précis les mesures de la tension et de l'intensité se font de la même façon...
--------------------------------------------------------------------------------
L'artiste entrouvre une fenêtre sur le réel; le "réaliste pragmatique" s'éclaire donc avec une vessie.
Anonyme
521410
pistonpistache
17978
Modérateur·trice thématique
Membre depuis 21 ans
Jark-> merci d'avoir précisé.
C'est une charpente en IPN? dans ce cas là elle serait forcément relié à la terre par une grosse tresse en cuivre.
Par définition, la masse est un point de potentiel 0. Donc en partant du principe que la masse du SQ10 est bien à 0 (t'as qu'a relier la carcasse à tes poutres). Vérifie que tes poutres son bien conductrices (en faisant sonner ton multimètre en prenant deux points distants sur la même poutre), car certaines peintures sont isolantes.
Donc le noir ("com" ou un truc dans le genre) sur la poutre et le + sur le point chaud de ton jack.
Ensuite sur rebranche ton multimètre en ampèremètre, en général tu débranche le "com ou masse" pour le mettre dans le "-".
Le jus va circuler car la masse reste toujours à 0. C'est ce jus que tu mesure.
Je sais pas si je me fais comprendre.
https://fr.audiofanzine.com/img/membres/normal/1/4/14089.gif border="0" />
Citation : 250 tonnes d'acier
C'est une charpente en IPN? dans ce cas là elle serait forcément relié à la terre par une grosse tresse en cuivre.
Citation : EXACTEMENT comment tu vois le branchement du multimètre avec la masse?
Par définition, la masse est un point de potentiel 0. Donc en partant du principe que la masse du SQ10 est bien à 0 (t'as qu'a relier la carcasse à tes poutres). Vérifie que tes poutres son bien conductrices (en faisant sonner ton multimètre en prenant deux points distants sur la même poutre), car certaines peintures sont isolantes.
Donc le noir ("com" ou un truc dans le genre) sur la poutre et le + sur le point chaud de ton jack.
Ensuite sur rebranche ton multimètre en ampèremètre, en général tu débranche le "com ou masse" pour le mettre dans le "-".
Le jus va circuler car la masse reste toujours à 0. C'est ce jus que tu mesure.
Je sais pas si je me fais comprendre.
oryjen
17704
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 19 ans
1° Non, c'est pas des IPN...c'est une péniche !Donc pas de liaison à la terre, mais plutôt à l'eau, qui disperse encore mieux.
2°D'accord, j'ai compris. Je fais le test dès que possible.
A+
!Donc pas de liaison à la terre, mais plutôt à l'eau, qui disperse encore mieux.2°D'accord, j'ai compris. Je fais le test dès que possible.
A+
--------------------------------------------------------------------------------
L'artiste entrouvre une fenêtre sur le réel; le "réaliste pragmatique" s'éclaire donc avec une vessie.
pistonpistache
17978
Modérateur·trice thématique
Membre depuis 21 ans
Une péniche 
'tain le bourge, comment ça en jette ça !!
'tain le bourge, comment ça en jette ça !!Anonyme
521410
Ouais, il est pas banal le gars Il retape des Korg qui sont devenus des collectors du fond de sa péniche, il bidouille avec succès et sans connaissance particulière... Pas banal, je vous dis, moi 
Il retape des Korg qui sont devenus des collectors du fond de sa péniche, il bidouille avec succès et sans connaissance particulière... Pas banal, je vous dis, moi Rémy M. (chimimic)
14159
Modérateur·trice thématique
Membre depuis 21 ans
Anonyme
521410
Citation : Il répare même des alims à distance en liaison avec un paumé de je ne sais où.
oryjen
17704
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 19 ans
Dissipation d'un malentendu:
Vous êtes soit parisiens, soit téléspectateurs; pouvez pas comprendre!
Notre histoire de bateliers d'infortune n'a rien, mais rien du tout à voir avec le cliché fric-bo-bo que vous avez tous en tête.
Ici, on est à Valence, sur le Rhône. Dans les années 97-98, on a cherché en vain une maison-comme-tout-le-monde pour notre maigre budget.
KEUD! Circulez les fauchés!
Alors on s'est retrouvés un jour de galères immobilières, par hasard dans le nord de l'Ardèche, pas loin de Lyon, puis à Lyon, quais de Saône...
Là, y avait des bateaux logements, qu'on avait jamais remarqués avant.
On a traîné, on a discuté, on a visité, on a craqué!
Et voilà, après avoir pris le temps des renseignements de base, on a acheté l'année d'après ce bon bateau VIDE pour 200 000 F (le prix de la casse, comme le transport fluvial périclitait dans ces années-là; à cette époque, pour une ruine sur le plancher des vaches par ici, fallait déjà compter 3 fois cette somme...).
Le bateau était vide, je répète, à part le petit appartement du marinier de 25 m2 à l'arrière, sans toilettes ni salle de bains. Nous étions 5.
Les travaux d'aménagement de la cale-marchandises ont duré 3 ans et demi; je vous passe les détails.
Bien sûr, comme pas de sous, j'ai TOUT fait moi-même, appris à souder l'acier et quantité d'autres métiers...
On a couru les entreprises de démolition pour récup' des matériaux pas cher, etc...etc...
Voilà, 7 ans plus tard, on a un douillet 200m2 sur l'eau en centre ville. On chauffe au bois flotté, on a l'eau gratos sur le quai (entente légale entre la ville et la Navigation), pas de taxes foncières, pas d'impôts locaux (mais pas de services non plus!).
Je comprends que ça puisse faire fantasmer, mais franchement, c'est rien qu'une histoire de fauchés qui se les sont sortis de là où vous savez pour pas faire grandir leurs gosses dans un HLM et ne pas y décrépir eux-mêmes.
Et "tout" ce qu'on a aujourd'hui, c'est pas tombé du ciel!
Bonus: Quand on a "abandonné" le logement arrière, qui comptait tout de même 2 chambres, une cuisine et un séjour (dans 25 m2 ), on a tombé toutes les cloisons et on en a fait un studio sympa!
Quand un gros fluvio-maritime passe à fond à la descente pendant qu'on répète, je vous garantis que ça groove!
Vous êtes soit parisiens, soit téléspectateurs; pouvez pas comprendre!
Notre histoire de bateliers d'infortune n'a rien, mais rien du tout à voir avec le cliché fric-bo-bo que vous avez tous en tête.
Ici, on est à Valence, sur le Rhône. Dans les années 97-98, on a cherché en vain une maison-comme-tout-le-monde pour notre maigre budget.
KEUD! Circulez les fauchés!
Alors on s'est retrouvés un jour de galères immobilières, par hasard dans le nord de l'Ardèche, pas loin de Lyon, puis à Lyon, quais de Saône...
Là, y avait des bateaux logements, qu'on avait jamais remarqués avant.
On a traîné, on a discuté, on a visité, on a craqué!
Et voilà, après avoir pris le temps des renseignements de base, on a acheté l'année d'après ce bon bateau VIDE pour 200 000 F (le prix de la casse, comme le transport fluvial périclitait dans ces années-là; à cette époque, pour une ruine sur le plancher des vaches par ici, fallait déjà compter 3 fois cette somme...).
Le bateau était vide, je répète, à part le petit appartement du marinier de 25 m2 à l'arrière, sans toilettes ni salle de bains. Nous étions 5.
Les travaux d'aménagement de la cale-marchandises ont duré 3 ans et demi; je vous passe les détails.
Bien sûr, comme pas de sous, j'ai TOUT fait moi-même, appris à souder l'acier et quantité d'autres métiers...
On a couru les entreprises de démolition pour récup' des matériaux pas cher, etc...etc...
Voilà, 7 ans plus tard, on a un douillet 200m2 sur l'eau en centre ville. On chauffe au bois flotté, on a l'eau gratos sur le quai (entente légale entre la ville et la Navigation), pas de taxes foncières, pas d'impôts locaux (mais pas de services non plus!).
Je comprends que ça puisse faire fantasmer, mais franchement, c'est rien qu'une histoire de fauchés qui se les sont sortis de là où vous savez pour pas faire grandir leurs gosses dans un HLM et ne pas y décrépir eux-mêmes.
Et "tout" ce qu'on a aujourd'hui, c'est pas tombé du ciel!
Bonus: Quand on a "abandonné" le logement arrière, qui comptait tout de même 2 chambres, une cuisine et un séjour (dans 25 m2
), on a tombé toutes les cloisons et on en a fait un studio sympa!Quand un gros fluvio-maritime passe à fond à la descente pendant qu'on répète, je vous garantis que ça groove!
--------------------------------------------------------------------------------
L'artiste entrouvre une fenêtre sur le réel; le "réaliste pragmatique" s'éclaire donc avec une vessie.
Anonyme
521410
- < Liste des sujets
- Charte