La musique, le son un sens profond?
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Ltp
194
Posteur·euse AFfiné·e
Membre depuis 21 ans
Sujet de la discussion Posté le 11/11/2003 à 01:45:57La musique, le son un sens profond?
Bonsoir....
J'aimerais créer un sujet durable. Ici on parle de machines,de logiciels, on se conseille, on s'aide et parfois on se vane...
Ca serait interressant qu'on se mette a parler des impressions que la musique produit sur nous. La question c'est: qu'est ce que ca vous fait de faire de la musique, comment interpréter vous votre propre geste de création. Qu'est ce que ca ve dire de composer?? Quels sont les croyances personnellles qui nous poussent à chanter, pianoter, pincer des cordes?? Y a t il un facteur culturel qui motive votre création??? Qu'y a t il derrièrre le geste de créer quelque chose comme de la musique???
J'aimerais créer un sujet durable. Ici on parle de machines,de logiciels, on se conseille, on s'aide et parfois on se vane...
Ca serait interressant qu'on se mette a parler des impressions que la musique produit sur nous. La question c'est: qu'est ce que ca vous fait de faire de la musique, comment interpréter vous votre propre geste de création. Qu'est ce que ca ve dire de composer?? Quels sont les croyances personnellles qui nous poussent à chanter, pianoter, pincer des cordes?? Y a t il un facteur culturel qui motive votre création??? Qu'y a t il derrièrre le geste de créer quelque chose comme de la musique???
lear
185
Posteur·euse AFfiné·e
Membre depuis 21 ans
121 Posté le 26/11/2003 à 05:45:36
Je n'ai pas lu blanchot, et me suis arreté a bataille mais j'aime bien cette phrase de lui que je vient de lire en me renseignant un peu mieux sur le personnage
alerte citation
« C’est sur un fond „absolu“ de manque d’espoir que je suis prêt à maintenir toutes les affirmations de vérité et d’avenir humains »
« C’est sur un fond „absolu“ de manque d’espoir que je suis prêt à maintenir toutes les affirmations de vérité et d’avenir humains »
lear
185
Posteur·euse AFfiné·e
Membre depuis 21 ans
122 Posté le 26/11/2003 à 05:51:05
Citation : Je ne sais pas s'il existe des équivalents dans la réflexion sur la musique mais si tu connais des réferences de bouquins traitent d'une réflexion sur la musique ca pourrait êrtre interressant
bon là j'abandonne
chrhchrchkr....autodestruction du thread ajournée: données incomplètes.... chrhchrchkr
Anonyme
521410
123 Posté le 26/11/2003 à 08:26:20
Allez... j'entre dans la danse (mieux vaut tard que jamais). moi j'ai commencé la musique assez tard (17 ans) et comme bon nombre de mes comparses j'ai appris tout seul. Un pote m'avait dessiné les grilles d'accords majeurs et mineurs en cours de math. Je me suis acheté un song book des Beatles et roule...
très vite j'ai "composé" une chansonnette à quatre accords (Do, Lam, Mim, Ré je crois lol)... et puis je ne me suis plus jamais arrêté. j'ai écris watt de textes plus ou moins intéressants (plutôt moins que plus à l'époque) sur lesquels j'ai mis de la musique.
pour moi la musique est un exutoire, un moyen d'expression majeur. comme dirait notre Jojo National en parlant du blues "j'y mets mes joies j'y mets mes peines". à 17 ans j'y ai mis beaucoup de mes peines (de coeur notament). lorsque j'ai compris ce qui se passait autour de nous j'ai commencé à y mettre mes colères etc... ce qui m'a encouragé c'est que j'ai toujours trouvé un écho favorable à ma musique, bien qu'elle ne soit pas très originale.
aujourd'hui je compose toujours et j'en éprouve toujours un réel plaisir parce-que je veux faire passer des messages: de peine, de colère, d'humanité, rigolos (parfois... bien que j'ai du mal à être drôle quand je compose). je gratte sur ma guit, je trouve un enchainement d'accords qui me fait frissonner alors je le joue à l'infini, jusqu'à lui trouver des petits copains... en général la mélodie vient tout de suite puis c'est le texte. ça ça peut prendre beaucoup beaucoup de temps. il faut dire que j'y accorde une réelle importance car un texte nul sur une belle mélodie ça casse tout (exemple: Louise Attaque), et vice-versa.
j'approche gentiment de la 40aine, et des fois je me demande où j'en serai musicalement dans 10 ou 15 ans. et je n'ai pas la réponse. je crois que j'aurai toujours ce besoin de composer.
alors qwerty est ce que mon post apporte de l'eau au moulin de ta rélfexion?
très vite j'ai "composé" une chansonnette à quatre accords (Do, Lam, Mim, Ré je crois lol)... et puis je ne me suis plus jamais arrêté. j'ai écris watt de textes plus ou moins intéressants (plutôt moins que plus à l'époque) sur lesquels j'ai mis de la musique.
pour moi la musique est un exutoire, un moyen d'expression majeur. comme dirait notre Jojo National en parlant du blues "j'y mets mes joies j'y mets mes peines". à 17 ans j'y ai mis beaucoup de mes peines (de coeur notament). lorsque j'ai compris ce qui se passait autour de nous j'ai commencé à y mettre mes colères etc... ce qui m'a encouragé c'est que j'ai toujours trouvé un écho favorable à ma musique, bien qu'elle ne soit pas très originale.
aujourd'hui je compose toujours et j'en éprouve toujours un réel plaisir parce-que je veux faire passer des messages: de peine, de colère, d'humanité, rigolos (parfois... bien que j'ai du mal à être drôle quand je compose). je gratte sur ma guit, je trouve un enchainement d'accords qui me fait frissonner alors je le joue à l'infini, jusqu'à lui trouver des petits copains... en général la mélodie vient tout de suite puis c'est le texte. ça ça peut prendre beaucoup beaucoup de temps. il faut dire que j'y accorde une réelle importance car un texte nul sur une belle mélodie ça casse tout (exemple: Louise Attaque), et vice-versa.
j'approche gentiment de la 40aine, et des fois je me demande où j'en serai musicalement dans 10 ou 15 ans. et je n'ai pas la réponse. je crois que j'aurai toujours ce besoin de composer.
alors qwerty est ce que mon post apporte de l'eau au moulin de ta rélfexion?
Ltp
194
Posteur·euse AFfiné·e
Membre depuis 21 ans
124 Posté le 16/03/2004 à 02:54:52
Et bien oui
en fait souvent les gens qui font de la musique sont dans un besoin, ils font ca parcequ'ils en ont besoin
(et là il faut exclure toutes pensées du style: jugement, reconnaissance)
En fait le problème n'est pas autour de qu'est ce que la musique, ou la place des techniques nouvelles dans la musiques, au fond tout le monde s'entend sur le terme faire de la musique
(il y a des distinctions certes dans le domaine , des débats ces derniers temps ont mis l'emphase la dessus, mais bon...)
En fait dans la pratique de la musique, à part l'expression (de sentiments, de ressentiments, d'émotions, de la maitrise en elle même, de la culture de la musique....)
il y a une totale sublimation de nos premiers rapports à la musique, les premiers rapports au son en tant que musique ont été importants
non pas par révélation, mais peut être parce qu'on était dans des moments personnels où celà pouvait avoir de l'importance
peut être que ces moments où l'on est sensible à la musique sont susceptibles d'être à l'origine d'une croyance autour de la musique
dans les premiers messages, je me demandais quels étaient les fondement de la musique...peu importe!!
qu'elle soit construite autour du concept de loisir, de religion, de fête, ou de communication à sens unique(message simple, je pense aux rythmes de percussions africains), peut importe!
on fait de la "musique" à un moment donné parcqu'à ce moment donné ce que nous avons à transmettre ne peut que passer par la "musique"
(aujourd'hui les modes de communications étant multiples, l'histoire personnelle fait que l'on choisiras la musique plutôt qu'autre chose)
donc celà resterais de la communication dans le fond du fond
dailleurs la musique qui n'eXiste que pour prouver une technique, ou pour transmettre Des messages politiques, religieux, n'a pas trop la côte, non ?
Personnellement je pense qu'aujourdh'hui la musique a un sens profond
que ce dernier consiste en une série d'interaction, dont la plus importante
est la communication directe de pleins de choses
mais qu'elle engendre aussi des interactions indirectes
(le côté discothèque parentale, le côté influence de l'entourage, ce qui est la même chose au fond) lesquelles sont plus explicables via ce qu'est la culture
Mais ce n'est pas tout, ce qu'il manque pour répondre, c'est un poète libéré de toute gravité de la la réfléxion, mais qui à partir de la même question sortirais des trucs libres
du style
Au fond de la musique il y a la mélodie de l'enfance, celle qui nous a fait exister
ou
Dans les notes, il y a ce rythme, le rythme propre à une vie, comme si écouter un morceau
portait toute l'indiscrétion d'un voyeur espionnant un être existant, dans ces hauts et dans ces bas
ou
Cette mélodie, portait le poids du monde, je m'éffondrais sous les accords, écrasé par cette beauté innaccessible, divine. l'imcompréhenssible douleur d'une vibration
etc
etc
bref des aphorismes sur la musiques seraient très probablement plus porteur de sens que toute réfléxion organisée
L'intuition pure mène exactement là ou la méthode nous guide, il suffit de le voir, de l'envisager, de le penser
Peut être même que la musique se représente elle même et que son image, en ce sens, ne peut que nous renvoyer en nous même.
Peut être que dans la musique , ily a un côté divin vénéré et jamais compris
et que seul la poésie pourra fleurter avec elle
écrire et composer sont les seuls rapports entre l'homme et la musique, et ils le resteront tant que nous élèveront la musique à un rang supérieur
et la musique n'existe que si une croyance s'organise autour d'elle
Les musiciens portent la musique à un degrès extraordinaire et c'est celà même la musique
quelque chose d'important, qui n'a cessé d'être élevé au fil des siècles
s'interresser à la musique ,en ce sens, c'est accepeter l'homme dans toute sa beauté
s'interresser à la musique est un acte profondémment humaniste
car au fond s'interresser à la musique c'est s'interresser à l'homme, de manière indirecte
la musique serait une istoire d'être humain et d'interaction entre eux, la communication, sous une forme pour le moins étrange
en fait souvent les gens qui font de la musique sont dans un besoin, ils font ca parcequ'ils en ont besoin
(et là il faut exclure toutes pensées du style: jugement, reconnaissance)
En fait le problème n'est pas autour de qu'est ce que la musique, ou la place des techniques nouvelles dans la musiques, au fond tout le monde s'entend sur le terme faire de la musique
(il y a des distinctions certes dans le domaine , des débats ces derniers temps ont mis l'emphase la dessus, mais bon...)
En fait dans la pratique de la musique, à part l'expression (de sentiments, de ressentiments, d'émotions, de la maitrise en elle même, de la culture de la musique....)
il y a une totale sublimation de nos premiers rapports à la musique, les premiers rapports au son en tant que musique ont été importants
non pas par révélation, mais peut être parce qu'on était dans des moments personnels où celà pouvait avoir de l'importance
peut être que ces moments où l'on est sensible à la musique sont susceptibles d'être à l'origine d'une croyance autour de la musique
dans les premiers messages, je me demandais quels étaient les fondement de la musique...peu importe!!
qu'elle soit construite autour du concept de loisir, de religion, de fête, ou de communication à sens unique(message simple, je pense aux rythmes de percussions africains), peut importe!
on fait de la "musique" à un moment donné parcqu'à ce moment donné ce que nous avons à transmettre ne peut que passer par la "musique"
(aujourd'hui les modes de communications étant multiples, l'histoire personnelle fait que l'on choisiras la musique plutôt qu'autre chose)
donc celà resterais de la communication dans le fond du fond
dailleurs la musique qui n'eXiste que pour prouver une technique, ou pour transmettre Des messages politiques, religieux, n'a pas trop la côte, non ?
Personnellement je pense qu'aujourdh'hui la musique a un sens profond
que ce dernier consiste en une série d'interaction, dont la plus importante
est la communication directe de pleins de choses
mais qu'elle engendre aussi des interactions indirectes
(le côté discothèque parentale, le côté influence de l'entourage, ce qui est la même chose au fond) lesquelles sont plus explicables via ce qu'est la culture
Mais ce n'est pas tout, ce qu'il manque pour répondre, c'est un poète libéré de toute gravité de la la réfléxion, mais qui à partir de la même question sortirais des trucs libres
du style
Au fond de la musique il y a la mélodie de l'enfance, celle qui nous a fait exister
ou
Dans les notes, il y a ce rythme, le rythme propre à une vie, comme si écouter un morceau
portait toute l'indiscrétion d'un voyeur espionnant un être existant, dans ces hauts et dans ces bas
ou
Cette mélodie, portait le poids du monde, je m'éffondrais sous les accords, écrasé par cette beauté innaccessible, divine. l'imcompréhenssible douleur d'une vibration
etc
etc
bref des aphorismes sur la musiques seraient très probablement plus porteur de sens que toute réfléxion organisée
L'intuition pure mène exactement là ou la méthode nous guide, il suffit de le voir, de l'envisager, de le penser
Peut être même que la musique se représente elle même et que son image, en ce sens, ne peut que nous renvoyer en nous même.
Peut être que dans la musique , ily a un côté divin vénéré et jamais compris
et que seul la poésie pourra fleurter avec elle
écrire et composer sont les seuls rapports entre l'homme et la musique, et ils le resteront tant que nous élèveront la musique à un rang supérieur
et la musique n'existe que si une croyance s'organise autour d'elle
Les musiciens portent la musique à un degrès extraordinaire et c'est celà même la musique
quelque chose d'important, qui n'a cessé d'être élevé au fil des siècles
s'interresser à la musique ,en ce sens, c'est accepeter l'homme dans toute sa beauté
s'interresser à la musique est un acte profondémment humaniste
car au fond s'interresser à la musique c'est s'interresser à l'homme, de manière indirecte
la musique serait une istoire d'être humain et d'interaction entre eux, la communication, sous une forme pour le moins étrange
Laurent Juillet
5783
Je poste, donc je suis
Membre depuis 21 ans
125 Posté le 16/03/2004 à 09:05:32
scalp
1198
AFicionado·a
Membre depuis 22 ans
126 Posté le 16/03/2004 à 09:56:49
Dans ses "Lettres à un jeune poète", Rainer-Maria Rilke pose la question à son jeune disciple : pourriez-vous vivre sans écrire ?
Si je n'avais jamais goûté à la musique, j'aurais certainement pu m'en passer. Même s'il m'aura fallu du temps pour l'apprivoiser, elle fait aujourd'hui partie intégrante de ma vie, et notre histoire d'amour continue et s'enrichit continuellement.
Par contre il faut du temps pour savoir qui on est, et ce qu'on a à proposer. On commence par vouloir ressembler à ses modèles, et puis comme on est pas eux de toutes façons, les déceptions entrainent un retour sur soi. Le vrai travail commence : qu'est-ce que j'ai à offrir avec les moyens dont je dispose ? Il me semble que parfois, des musiciens se perdent en voulant à tout prix faire "le truc qui n'a pas encore été fait". Je pense qu'il vaut mieux chercher à faire chanter son âme, quitte à utiliser des moyens simples et courants. C'est ce frisson que l'auditeur attend de nous. D'ailleurs, si certains musiciens (comme Debussy par exemple) ont apporté des innovations harmoniques et mélodiques dans le langage de leur époque, il est intéressant de savoir que Mozart n'a pas révolutionné les règles de la musique. Il a utilisé celles qui étaient là, et pourtant.....
Il faut chercher en soi, et la réponse n'est pas forcément compliquée. Une âme qui chante...
scalpmusic
Si je n'avais jamais goûté à la musique, j'aurais certainement pu m'en passer. Même s'il m'aura fallu du temps pour l'apprivoiser, elle fait aujourd'hui partie intégrante de ma vie, et notre histoire d'amour continue et s'enrichit continuellement.
Par contre il faut du temps pour savoir qui on est, et ce qu'on a à proposer. On commence par vouloir ressembler à ses modèles, et puis comme on est pas eux de toutes façons, les déceptions entrainent un retour sur soi. Le vrai travail commence : qu'est-ce que j'ai à offrir avec les moyens dont je dispose ? Il me semble que parfois, des musiciens se perdent en voulant à tout prix faire "le truc qui n'a pas encore été fait". Je pense qu'il vaut mieux chercher à faire chanter son âme, quitte à utiliser des moyens simples et courants. C'est ce frisson que l'auditeur attend de nous. D'ailleurs, si certains musiciens (comme Debussy par exemple) ont apporté des innovations harmoniques et mélodiques dans le langage de leur époque, il est intéressant de savoir que Mozart n'a pas révolutionné les règles de la musique. Il a utilisé celles qui étaient là, et pourtant.....
Il faut chercher en soi, et la réponse n'est pas forcément compliquée. Une âme qui chante...
scalpmusic
cyrod
636
Posteur·euse AFfolé·e
Membre depuis 21 ans
127 Posté le 16/03/2004 à 10:11:24
Si la musique a tous ces pouvoirs, c'est peut-être parce que nous pouvons la percevoir en même temps de façon purement intellectuelle, de façon purement physiologique, de façon purement émotionelle...
Intellectuellement, parce qu'on peut la décomposer en unités plus petites, comme un langage, observer comment tout celà s'articule.
Physiologiquement, parce que les vibrations physiques ne sont pas ressenties que par nos oreilles, mais par le corps tout entier.
Emotionellement, parce que les informations captées par les oreilles trouvent un écho dans nos propres données personelles, culturelles, mémorielles (ça se dit, ça?) ou imaginaires.
Et pourtant il y a de petits airs si anodins...
C'est là aussi qu'est la beauté de la chose.
__________________
|_bassiste de soungari_|
Haikuhell
1029
AFicionado·a
Membre depuis 21 ans
128 Posté le 16/03/2004 à 10:17:47
Citation : lorsque j'ai compris ce qui se passait autour de nous j'ai commencé à y mettre mes colères etc...
Moi aussi mais sur un autre thread on se fou ma gueule !!!
Choc
6968
Membre d’honneur
Membre depuis 22 ans
129 Posté le 16/03/2004 à 10:21:07
Perso j'utilise le terme de sensibilité emotionnelle....
derriere ce terme je vois tout un procedé chimique et electrique qui permet a partir de la recpetion d'un stimuli d'eveiller nos emotion.
un son (variation de pression) -> emotions
l'image (variation de l'intensité lumineuse sur nos recepteurs) -> emotion
et comme tout procédé cerebral, on peut le developpé, d'ou le terme sensibilité
Ce procédé reste directe, tout ce qui est relatif a la critique passe par d'autre process...
derriere ce terme je vois tout un procedé chimique et electrique qui permet a partir de la recpetion d'un stimuli d'eveiller nos emotion.
un son (variation de pression) -> emotions
l'image (variation de l'intensité lumineuse sur nos recepteurs) -> emotion
et comme tout procédé cerebral, on peut le developpé, d'ou le terme sensibilité
Ce procédé reste directe, tout ce qui est relatif a la critique passe par d'autre process...
Site personnel: https://www.enib.fr/~choqueuse/
Haikuhell
1029
AFicionado·a
Membre depuis 21 ans
130 Posté le 16/03/2004 à 10:23:39
Hors sujet : Je crois meme que l'on modifit notre facon d'utiliser notre cerveau quand on travaille un aspect particulier !!
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