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Sujet Dernier disque acheté : Votre avis !

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1 Dernier disque acheté : Votre avis !
Une rubrique dédiée aux critiques de votre dernier disque acheté.
2
CRAIG ARMSTRONG - Piano works



Craig Armstrong revisite et réinterprète une partie de son œuvre (presque) uniquement au piano, comme le titre l’indique.
Chassé de son orchestration, sa musique fait penser au célèbre « Köln Concert » de Keith Jarret et reste très mélancolique sans les nappes de violon.
L’électronique est toutefois présente : Certains titres sont accompagnés de discrètes ambiances synthétiques, d’autres se voient appliquer des effets de toutes sortes sur le piano.

Un disque très différent de ce qu’il a fait jusqu’à présent, moins abordable mais néanmoins très beau.
3
Dernier disque acheté ? (bon je dois avouer que je ne les achete plus beaucoup...... je sais c'est pas bien !!! :non: )

ben pour moi c'est muse - absolution
super album dans un style different de origin of symetry ou encore showbiz. Alors que showbiz etait un peu brouillon (mais terrible quand meme !!!) origin of symetry etait très bien construit, absolution est un peu different. On y voit l'influence de radiohead sur le groupe mais certains morceaux sont aussi très originaux avec des riffs bien bourrins et comme toujours des lignes de basse memorables......
pour moi ce n'est pas le meilleur album de muse (je prefere origin of symetry), mais c'est tout de même un très bon album.

A Acheter !!! :bravo:
4
J'avais oublié :


Voila !!!!
5
Arf j'hésite.
Bon, je suis dans un trip folk là.
En plus après Muse....hum, hum.

Donc...
On me l'a offert.
Bon c'était facile de me faire craquer aussi.


Not Going Anywhere

Style : folk, blues

Capitol - Emi Music France - 2003
Metro Blue/Blue Note -Emi Jazz & Classics U.S - 2004

01 Not Going Anywhere
02 Polly
03 Road Bin
04 End Of May
05 Sailor & Widow
06 Sit in the Sun
07 Right Now & Right Here
08 Seventeen
09 Spanish Song Bird
10 By the Cathedral
11 Ending Song

On était déjà sensible à l'écriture en progression depuis La Biographie de Luka Philipsen.
On avait à peine pu résister à La Disparition (et déjà des "standards" repris par Birkin comme "Surranée" ) avec ces arrangements de cordes Biolesques très très fort soyons honnêtes. On découvre maintenant une écriture en anglais du même niveau développant cet univers "hors du temps" dans un esprit beaucoup plus folk épuré.

"Not going anywhere" débute bien un album de maturité. Impossible de ne pas fredonner ce titre. Song-writing précieux, filet de voix caractéristique, violon à propos. Des arpèges encore évidentes, si limpides qu'on croit les avoir toujours jouer sur sa vieille guitare. Voilà. Un écart plus blues plus loin ( Sailor & Widow ) et .....

...et regrettons- le tout de même, des reprises en anglais de titres du précédent album avec, par endroit, exactement les même arrangements ( End Of May, Sit in the Sun, Right Now & Right Here, Seventeen, Spanish Song Bird...). Bon, bon. On ne dira rien pour cette fois....

Car la conclusion est à la hauteur des espérances :
By the cathedrale langoureux. Contrebasse en contre-point.
Ending Song en guise d'au revoir.

A noter une collaboration pleine d'étrangeté à suivre chez Label : Lady & Bird.

Plus d'info et très belle intro : http://www.kerenann.com
6
Nick DRAKE - Five Leaves Left



J’ai finalement trouvé sur le net une critique qui résume bien ce que j’en pense.

Five Leaves Left est son premier album : nous sommes en 1969, c'est un pur joyau, et Drake n'a que 21 ans. Les chansons du jeune homme allient douceur et profonde mélancolie avec un naturel troublant. Les sentiments sont nuancés, et on écoute un Drake tantôt serein, voire contemplatif, mais tout de même réservé en optimisme (Time has told me, Cello song, Man in a shed), tantôt incrédule dans son désespoir (le dramatique Way to blue), ou encore froidement résigné (River man, Day is done, ou le cruellement prophétique Fruit tree - peut-être les trois morceaux les plus marquants de l'album). Admirable song-writer, il manie la rime avec aisance et montre des affinités certaines avec la poésie romantique du 19e siècle, évoquant avec raffinement et mélancolie les thèmes de l'amour, du temps qui passe et de la beauté paisible de la nature. Sa voix pure, froide et pénétrante résonne longuement au gré de ses arpèges et de ses gammes mineures. Cette guitare acoustique que Drake manipule avec tant de naturel, de talent et de personnalité est régulièrement soutenue par des arrangements de cordes grandioses qui donnent froid dans le dos. Five Leaves Left dévoile au fil des chansons sa splendeur ténébreuse et dramatique, il nous fait vivre par procuration la grande sensibilité de son auteur et trahit régulièrement le désarroi alarmant de ce dernier, ce qui ne pourra laisser personne de marbre.

L'écoute paisible et attentive de Five Leaves Left vous arrachera probablement quelques larmes. Trente-cinq ans après qu'il ait été conçu, lui prêter attention s'apparente à tourner précautionneusement les pages d'un vieux recueil de photos jaunies retrouvé dans un grenier, et y décourvir un trésor de beauté tragique. Rarement la musique parvient à susciter autant d'émoi, si ce n'est dans le reste de l'œuvre de Nick Drake justement, avec notamment son bouleversant album-épitaphe Pink Moon... sans doute à ne décourvir que par la suite. Dans un premier temps, plongez-vous silencieusement dans l'univers de ce somptueux Five Leaves Left : à chaque jour suffit sa peine, même quand elle soupire d'aussi belle manière.
Twipol


Je vois renvoi sur le thread AF dédié pour en savoir plus sur cet artiste.


DOM > Si tu ne connais, cours vite te le procurer… A l’écoute de ton orientation musicale actuelle, ce disque ne pourra que t’inspirer :bravo:
7



Melchior Productions-The Meaning-Playhouse 2004


Voila typiquement le genre de disques produit sans aucune imagination..Un travail honnête certes mais qui s'inscrit dans la grande ligné de ce que j'appelerais le tout-venanteux tech-house actuelle.
Après avoir signé deux sympatiques morceaux sur les compilations Superlongevity 2 et 3 de l'excellent label Perlon, Thomas Melchior poursuit sa carrière sur Playhouse, label qui tient la forme depuis quelques années déja ( à leurs palmarès entre autres, le magnifique Alcachofa de Ricardo Villalobos, Losoul, Isolé, Captain Comatose ou John Tejada ).
Le bonhomme nous livre une deep tech-house aux relents minimal des plus convenues. La recette est toujours la même au fil de ce trop long album. Un beat qui démarre en prenant son temps, puis vient la basse, le gimmick de clavier deep et pseudo hypnotique et enfin le sample de voix qui arrive par intermittence pour donner du groove au tout.
En plus comble de tout, notre roi mage à un petit son, ce qui ne pardonne pas vu le niveau actuelle de la concurrence sur le credo.
Sur la longueur d'un maxi et dans le mix d'un dj un temps soit peu habile, certains morceaux pourront prendre une certaine ampleur. Mais dans le cadre d'une écoute domestique c'est l'ennui qui risque bien de prédominer comme sentiment.

on a bien ri...

8
Bah pour moi c'est le Best of des DOORS à 10€ :oo: !!!
Rien a dire. Sauf, peut etre que j'ai plus qu'à m'offrir tous les vinyls du groupe...



1. Riders On The Storm
2. Light My Fire
3. Love Me Two Times
4. Roadhouse Blues - live version
5. Strange Days
6. Break On Through (To The Other Side)
7. Five To One
8. Moonlight Drive
9. Alabama Song (Whiskey Bar)
10. Love Me Madly
11. People Are Strange
12. Touch Me
13. Backdoor Man
14. The Unknown Soldier
15. L.A. Woman
16. Hello § Love You
17. The End

Ka$hmir, scène rock stéphanoise  SoundCloud

9
Je viens d'acheter celui-ci : Birthday Party "Junkyard".
Pas vraiment récent (1982), mais je pense qu'aujourd'hui encore c'est le disque le plus sauvage jamais enregistré. :8O:
Merde, encore raté...
10

Citation : Bah pour moi c'est le Best of des DOORS à 10€ !!!
Rien a dire. Sauf, peut etre que j'ai plus qu'à m'offrir tous les vinyls du groupe...


Les albums sont justement à moins de 7€ en ce moment :bave: