Le Pub d'AutoProd & Business (Ex - marché du disque c'est la cata!)

Citation : En soi ça ne veut rien dire, je découvre quasiment chaque semaine des sceuds et je ne ressens presque jamais le besoin d'en parler.

Citation : Le danseur il exécute

Citation : Ben la matière c'est le son, que ce soit une corde grattée ou un vynile échantilloné, c'est pareil

Hors sujet : oué je c bien tout ça. Je sais comment je marche, et je sais aussi comment font la plupart des gens qui font un tube hiphop ou electro portée haut par les medias et les critiques, mais bien putassier quand même!

Et puis voila, ce que je disais, écoute bien ça, parce que la on est plus dans les guerres de chapelle: une boucle de basse funk 70' ou une rythmique jazzy qui défonce, bin elle défonce, point. T'auras beau la maquiller comme une star télé, tu vas au mieux la rendre moins indentifiable, mais tu vas surtout la rendre moins puissante. Oué tu peux aussi te faire un drumkit avec, mais fait le pour jouer réellement, pas pour empecher les gens de te griller! Elle est la la vrai culture du sampling, c'est aussi savoir dire: putain ce groove ou ce riff il tabasse, y'a rien a changer, c'est parfait comme c'est, respect!

En fait le probleme est la, le travail sur boucles chez beaucoup de beatmaker c'est pas du façonnage de nouveaux sons, c'est du maquillage... Après y'a des exceptions, mais ils sont d'abord obsédés par l'idée de clearer le sample tout en espérant (souvent a tord) conserver son efficacité.
A un moment faut juste savoir dire: j'utilise du sample parce que je sais pas faire. Sorti de ce constat, c'est tout aussi putassier de prétendre avoir fait quand c'est pas le cas que de respecter l'auteur en reprenant la boucle telle qu'elle.

bref.

Citation : tu vas au mieux la rendre moins indentifiable, mais tu vas surtout la rendre moins puissante.

Hors sujet : Le clearing consiste à rejouer le sample, à le ré-enregistrer, comme si tu faisais une reprise.

Sinon il y aura toujours une différence fondamentale entre ceux qui samplent et ceux qui enregistrent des instrus, les premiers ont besoin des seconds et pas l'inverse, ainsi s'explique tout naturellement le complexe de supériorité des instrumentistes sur ceux qui samplent, le reste: littérature (par pitié, fini le débat sur celui qui sample est il musicien ou non...)

Citation : Mac ou Pc

Citation : Le mec qui sample est un musicien seulement si il sample en 192/32 (ou à la rigueur en 96/24)

Citation : Le mec qui fait de la musique pour se prendre la tête sur des théories en bois de savoir qui est musicien et qui l'est pas, il m'emmerde.

Hors sujet : nan mais voila, c'est toujours simple de citer quelques personnes qui font de trucs biens pour excuser le pillage que font 95% des beatmakers derrière cette argumentation.

J'en suis un moi meme, pas un pilleur mais un beatmaker. J'hallucine des fois de voir comment certains collègues se touchent la bite avec les grandes théories sur l'art du sampling... T'as envie de leur dire "commence deja par respecter celui qui te donne matière a sampler, avant de péter plus haut que ton cul de musicien en carton" lol

dernier point: le pitching n'a souvent été que la consequence de l'absence de stretching, faut s'en rappeler! Autrement dit, on va pas parler de travail sur un sample quand on se limite soit a changer son tempo, soit a le tonaliser correctement, c'est quand même le minimum syndical qu'il soit un tant soit peu raccord avec reste !!! "
Bon allez, débat clos.

Hors sujet : Ben écoute si c'est ce que tu penses, on en pense tous quelque chose.
Moi ce que j'aime pas tu vois ce sont les mecs qui utilisent des boucles toutes faites, dans Acid ou Cubase ou Live, tu vois c'est pas de la composition non plus, mais c'est même pas du sampling, la part d'idée est limite.
Moi le débat du sampling, ce que j'en pense n'intéresse pas grand monde, mais en tous cas je m'en fous.
C'est en partie les majors qui ont fait peur aux artistes pour faire raquer,
d'ailleurs je rappelle qu'ne général les majors ne font raquer un sample non clearé que lorsque ca ramène du blé : exemple : Trouble Makers (les francais, pas les US) : bon album, bonnes compos mais beaucoup de samples, le jour ou ils ont eu le bonheur d'etre reconnu, ils ont eu les dettes qui allaient avec.
Les majors ont des succursales spécial "bonus sur samples non clearés", tu parles que le sample est un problème pour eux. C'est plutôt une mane de fric.

Le débat sample, oui/non, c'est un truc des années 90, c'est comme la cuisine, t'as du macDo, et tu 5étoiles michelin. Si ca te plait de te faire un bad trip sur le macDo, amuse toi bien ;)

Y a aussi les samples "cinématographiques", qui chez Icube ou TroubleMakers mettent quand meme un univers puissant en place...

Après les beat makers qui se suffisent d'eux mêmes, laisse les où ils sont... Il y a des gens qui sont musiciens à vie, et d'autres pour 5 ans (dixit Doctor L)

Hors sujet :

Citation : nan mais voila, c'est toujours simple de citer quelques personnes qui font de trucs biens pour excuser le pillage que font 95% des beatmakers derrière cette argumentation.

Citation : Le marché du disque c'est la catastrophe !

Citation : allez faire un tour sur Skyblog svp

Citation : Bie dit, je prends congé de ce thread

Citation : tu te fais du mal

Citation : je sais ou je suis et ou je vais, avec ou sans samples, avec ou sans le marché du disque