Se connecter
Se connecter

ou
Créer un compte

ou
FR
EN

Le Pub d'AutoProd & Business (Ex - marché du disque c'est la cata!)

  • 16 488 réponses
  • 616 participants
  • 984 639 vues
  • 542 followers
Sujet de la discussion Le Pub d'AutoProd & Business (Ex - marché du disque c'est la cata!)
:8) j'ai surfer un peu ce matin sur le net pour me renseigner sur l'actualité du disque en france
l'heure est grave pour les maisons de disques ! beaucoup d'artistes se font viré , les signature de nouveaux talent sont casi rare et le personnel est licencié peu a peu

LA CAUSE PRINCIPAL SELON 80% DES PRODS = le peer to peer et téléchargements


plus personne ne bouffe , ni les producteurs , ni les distributeurs , ni les maison de disques , et encore moins les artistes auteur compositeur <img src=(" />
Afficher le sujet de la discussion
12701
12702
Hors sujet:

Citation : on est donc pas obliger de vendre une voiture avec des vitres et des sièges c'est aussi de la vente liée , puisque qu'on veut juste une voiture et pas ses vitres et ses sièges..



Un objet, par exemple une voiture, peut, et parfois doit, être composé de plusieurs parties indispensables (voire nécessaires) à l'ensemble (même si en l'occurrence, il existe des voitures sans vitres).

Par exemple le yaourt aux fruits avec des morceaux de fruits dedans. Mais même dans ce cas, tu trouveras toujours à proximité des yaourts natures.

(si la comparaison du téléchargement avec le vol de baguette fait gagner un point baguette, je veux gagner un point yaourt pour ma mise en équivalence musique-yaourt)

Visiblement, ne pas être très sérieux n'est pas donné à tout le monde.

Non je ne mettrai pas de pull

12703
Le marché du disque c'est la catastrophe.

Vu le coup de force de cette nuit à l'assemblée, la démocratie française, c'est la catastrophe.

Merci pour votre contribution.

Non je ne mettrai pas de pull

12704

Citation : Vu le coup de force de cette nuit à l'assemblée, la démocratie française, c'est la catastrophe.


Clair.

Vous connaissez l'allégorie de la grenouille ?

Mettez une grenouille dans une casserole d'eau bouillante. Elle va immédiatement sauter hors de la casserole.
Mettez la grenouille dans une casserole d'eau froide. Elle va y rester tranquillement. Allumez le feu sous la casserole... L'eau va chauffer doucement... et la grenouille ne bougera pas.

Ça fait un moment que ça bout, là... Mais on est tellement endormis que je ne sais pas si même ce coup-ci fera bouger quoi que ce soit.


Personne n'a réagit au très beau document posté par Djalks :?!:
(merci au passage)

Citation : on ne lutte pas avec la communauté du libre sur internet, on essaye juste de reapprendre a seduire sa clientèle en lui proposant des offres allechantes.


+10
12705
Je sais pas trop de quoi il parlait mais il y a une différence entre le libre et les morceaux de musique commerciaux quand meme.

12706
Trés beau document... mouais.

j'ai tendance a me méfier des "indés" francais, en particulier hiphop, qui récupèrent a leur compte des citations de grands modèles américains. D'abord le contexte n'est pas le même, et il est on ne peut pas généraliser ce discours a tous les types de musique, d'un point de vue cout de production déja, et distribution. La culture mixtape, le peu d'égard qu'ont certains a vendre du bootleg sans se soucier un instant des droits... Je trouve facile de se faire l'étendard des artistes quand on a soi-même aucuns scrupules pour les droits d'auteur, sous prétexte que "c'est dans la culture rap". De toute façon, les indés hiphop sont le cul entre deux chaises, et font souvent un grand écart entre ce qu'ils décrient et les concessions de developpement (majors, radios entre autres...). C'était une parenthèse, parce que ce genre de discours devient un argument de vente et c'est souvent du foutage de gueule. De l'underground de qualité, avec une vraie éthique, ca se bouscule pas en France.

Pour le reste il a certainement en partie raison, El-p de même. Il faut croire au "bon" produit parce qu'il y aura toujours un public pour soutenir et, dans une recherche de proximité avec l'artiste, se procurer le packaging complet d'un album.

Citation : un artiste indé de bonne qualité à un avenir radieux qui s’offre à lui : la chance de pouvoir vivre, même (très) modestement, de sa musique. Et c’est déjà énorme.


je me permet de douter, maintenant faut essayer d'y croire. Les indés (petits comme gros) sont bien placés pour savoir que c'est pas avec 1 album produit par an faute de moyen que tu t'assures des rentes annuelles d'un gars, encore moins d'un groupe. Tant qu'ils continueront a ne verser que 7% aux artistes et qu'ils ne payeront pas pour les passages radios, les gentils artistes sont pas près de voir le bout du tunnel. L'idée que les médias, eux, évoluent, est pertinente. Mais c'est plus vraiment de notre ressort, et combien de temps avant que les gens switchent leur station...
PU74iN m4I2 pUI5kw3 J3 V0u2 di2 Kw3 J3 5Ui2 p42 un 933k 37 KW3 j'3n 4i h0Rr3uR, C'357 CL4IR???

 

12707
Peut-être que finalement le piège c'est d'avoir pensé pourvoir vivre de sa musique, ce que je ne conçois pas, rien qu'en terme de liberté artistique.
Il y a un an ou deux, Chuck D (Public Enemy) demandait à El P (Company Flow, Def Jux) son avis sur l’incendie qui ravage l’industrie du disque ces dernières années. La réponse tombe comme un couperet: ” Et bien, laissons-la bruler… brûlons-là ! “.
12708

Citation : Peut-être que finalement le piège c'est d'avoir pensé pourvoir vivre de sa musique, ce que je ne conçois pas, rien qu'en terme de liberté artistique.


Je ne crois pas que ce soit un problème de liberté artistique, les artistes sont le plus souvent libres de leurs choix (sinon ce ne sont plus des artistes mais des ouvriers du spectacle). Le piège, pour les indés, c'est d'avoir pensé pouvoir vivre de la musique sans faire de commerce. Or, en vivre, c'est à 95% du commerce.

Ex-producteur retraité de la musique en 2016


12709
Et quand la question du commerce se pose parce que les caisses sont dans le rouge, la question de la liberté artistique est remise sur le tapis... Demander a un artiste de faire un son "plus clean" de revoir le visuel de son skeud, sa playlist, d'aller dans une radio alors que c'est pas son truc, de s'abstenir de bosser avec telle ou telle personne mal vue ou au contraire, de s'entourer de personnes influentes pour faire avancer le bizness... Les subventions, leurs logos et leur censure, les dates dans les rades pourris pour un cachet de misère, faire gaffe a sa tenue, a ce qu'on dit en interview, signer des contrats contraignant, se mettre a la patte les boulets de l'exclusivité. Bref les concessions "normales" et un certain formatage ou on laisse des plumes.

Souvent pour rien.

Pour le buzz, un coup de chance suffit parfois. Pour faire carrière, à moins d'etre exceptionnellement doué ou d'entrer naturellement dans les cases, la liberté artistique céde largement sa place à une forme plus ou moins identifiable de stratégie commerciale.
PU74iN m4I2 pUI5kw3 J3 V0u2 di2 Kw3 J3 5Ui2 p42 un 933k 37 KW3 j'3n 4i h0Rr3uR, C'357 CL4IR???

 

12710

Citation : Peut-être que finalement le piège c'est d'avoir pensé pourvoir vivre de sa musique, ce que je ne conçois pas, rien qu'en terme de liberté artistique.



Au cinéma, vu le cout et la lourdeur d'un film ,on a 1000 fois plus de contraintes, financières, et humaines que dans la production d'un disque. Et pourtant plein de cinéastes font des oeuvres très libres et sincères artistiquement, et arrivent à en vivre.
12711

Citation : d'aller dans une radio alors que c'est pas son truc

Effectivement, si tu considères comme une concession artistique de devoir te lever le matin pour une interview radio à 8hOO alors que t'es un artiste de la nuit, c'est plutôt mal barré :??: Moi j'appelle ça de la promo et c'est normal si tu veux en vivre.

Ex-producteur retraité de la musique en 2016


12712

Hors sujet : Exactement.

Je suis autant agacé par les gens qui qualifient de "vendu" le fait de s'adapter aux contraintes professionnelles et de collaborer avec des gens que ceux qui disent vouloir être pros et, au prétexte d'une d'éviter une soi-disant compromission, ne font jamais rien.

On parle toujours du look, des interviews, etc. Et même du choix des morceaux sur un album. Mais

1- l'artiste ne sait pas tout. Moi, j'aurais été très content d'avoir quelqu'un qui m'aide à trouver un look marqué, sympa et original dans lequel je sois bien et qui corresponde à ce que je suis au lieu de continuer à m'habiller banalement en jean+t-shirt pour faire de la scène parce que je n'ai aucun talent et surtout aucun intérêt pour les fringues.

2- quand tu as quelqu'un qui file du blé (et du temps) pour produire ton disque, qui paye studio, mais aussi graphiste, mastering, presseur, etc. et qui te trouve une distrib... et dont en plus c'est le métier de produire et de vendre, c'est pour le moins normal qu'il ait son mot à dire. Appeler ça de la compromission, c'est du grand n'importe quoi. Là où ça en devient, c'est lorsque cette collaboration amène l'artiste à faire des trucs qui ne sont pas en accord avec ce qu'il est. Faut arrêter de croire que les pros vivent comme ça. Quelques uns, probablement (quand on sait que Helène Segara est fan de metal :roll: ), mais généraliser...

3- la première et plus importante "compromission" que fait un artiste, c'est quand en formant un groupe, il abâtardit sa musique par celle des autres membre du groupe.
Comment ? C'est pas une compromission, c'est un enrichissement grâce au talent des autres ? Ah, ok. Alors accepter que ton batteur joue tel avec des fagots au lieu de baguettes est un enrichissement alors qu'accepter telle ou telle jaquette est une compromission ?

Vous avez raison les mecs : la seule façon de faire de la musique sans compromis, c'est de la faire tout seul dans son coin. Chacun son truc.

12713
J'ai parlé de concession pas de compromission, premier point.
La compromission est une collaboration non souhaitée, exact? En tant qu'artiste, on est donc pas obligé de tout accepter comme directives ou comme conseils, sans pour autant être classé au rang de sectaire ou d'égocentrique !!! Non mais ho .... :lol:

Personellement, en tant qu'artiste, ça me casserait bien les rouleaux d'avoir une habilleuse...

Citation : Là où ça en devient, c'est lorsque cette collaboration amène l'artiste à faire des trucs qui ne sont pas en accord avec ce qu'il est. Faut arrêter de croire que les pros vivent comme ça.


Bin justement, j'en suis convaincu.
J'ai beaucoup d'exemple en tête de groupes signés qui sont devenus des pantins et qui le déplorent, vraiment. Si pour certains la contrepartie (le fun et la thune!!!) est suffisante, y'en a beaucoup qu'imaginaient pas évoluer comme ça et qui monte sur scène finalement un peu comme s'ils badgeaient a l'usine... avec la même conviction, le même entrain et parfois un salaire inférieur.

C'est aussi ça la réalité du métier de musicien.
PU74iN m4I2 pUI5kw3 J3 V0u2 di2 Kw3 J3 5Ui2 p42 un 933k 37 KW3 j'3n 4i h0Rr3uR, C'357 CL4IR???

 

12714

Hors sujet :

Citation : j'appelle ça de la promo et c'est normal si tu veux en vivre.


suffit plus de chanter en yaourt, en plus faut ramener sa fraise. :mdr:

PU74iN m4I2 pUI5kw3 J3 V0u2 di2 Kw3 J3 5Ui2 p42 un 933k 37 KW3 j'3n 4i h0Rr3uR, C'357 CL4IR???

 

12715

Hors sujet :

Citation : qui monte sur scène finalement un peu comme s'ils badgeaient a l'usine...


J'en connais aussi, mais ça n'a pas forcément à voir avec de la compromission. C'est juste que certains sont arrivés au bout de leur talent et se contentent donc de "faire le métier", soit parce qu'ils ne savent pas faire autre chose, soit parce qu'ils trouvent ça tout de même plus sympa que d'aller à l'usine ou au bureau.
Mais bon, c'est pas parce qu'on en connaît quelques uns comme ça que c'est révélateur de l'ensemble des artistes.
Et puis, un carrière, c'est long. Tu peux passer quelques années comme ça, puis croiser un jour le projet dans lequel tu vas à nouveau t'épanouir et tout. Mais en attendant, oui, il faut bien vivre. C'est pareil pour n'importe quelle profession. Je ne connais personne qui ait fait toute une carrière en s'éclatant tout le temps, avec des super collègues, des boss cools etc.
Certains aussi bossent comme ça pour remplir le frigo, mais développent à côté des projets personnels beaucoup plus créatifs.

Moi, j'ai préféré faire le choix de m'arrêter pour faire autre chose quand le projet musical qui me faisait vivre ne m'a plus satisfait. Mais j'avais le choix.

Ce qui m'agace, c'est le discours "tous les pros font comme ça". C'est n'importe quoi. Sans compter que musicien professionnel, ça recouvre tellement de choses. C'est quoi la créativité et les compromission d'un musicien d'orchestre classique ? Pourtant, il en faut et je les respecte.

12716

Citation : Le trafic des données sur Internet aurait baissé de près de 30% en 24 heures en Suède, selon des chiffres rendus publics par Netnod, une société spécialisée dans la surveillance du réseau. Cette chute serait imputable à la mise en application d’une loi, baptisée Ipred, sur le piratage des oeuvres au pays de The Pirate Bay.



http://electronlibre.info/+Controverse-en-Suede-sur-les,1415+
12717

Citation : Peut-être que finalement le piège c'est d'avoir pensé pourvoir vivre de sa musique, ce que je ne conçois pas, rien qu'en terme de liberté artistique.



Juste que personnellement, j'ai besoin de me nourrir d'expériences de vies, de contraintes pour évacuer ses frustrations ou ces bons moments dans des créations, la musique comme catharsis mais il me serait impossible de ne faire que ça, la source se tarirait.
D'où le refus de vivre de la musique de toute façon.
Fin du Hors-sujet.
Il y a un an ou deux, Chuck D (Public Enemy) demandait à El P (Company Flow, Def Jux) son avis sur l’incendie qui ravage l’industrie du disque ces dernières années. La réponse tombe comme un couperet: ” Et bien, laissons-la bruler… brûlons-là ! “.
12718

Hors sujet : Je comprends tout à fait qu'on ne veuille pas faire de la musique un métier, quelle(s) qu'en soi(en)t le/les raison(s).

Par contre, j'ai du mal à comprendre qu'on crache sur les gens qui choisissent d'en faire un métier.

12719
Entièrement d'accord.
Il y a un an ou deux, Chuck D (Public Enemy) demandait à El P (Company Flow, Def Jux) son avis sur l’incendie qui ravage l’industrie du disque ces dernières années. La réponse tombe comme un couperet: ” Et bien, laissons-la bruler… brûlons-là ! “.
12720

Citation : Par contre, j'ai du mal à comprendre qu'on crache sur les gens qui choisissent d'en faire un métier.



Je trouve qu'on n'est pas du tout hors sujet! Ce sont ceux qui ne veulent pas en faire leur métier, à cause des contraintes (plus que compromis ou compromission) que cela implique, qui, par leur discours, confortent et légitiment le comportement de ceux qui ne veulent plus payer la musique.

Et le pire est que ce sont souvent les mêmes, qui ne veulent faire aucun effort pour vendre leur musique, qui râlent parce que ça ne leur rapporte rien! (vous comprenez, c'est la faute aux majors qui monopolisent le marché...)

C'était mon billet de (mauvaise) humeur du soir!

Ex-producteur retraité de la musique en 2016


12721
Carrément +1


En passant, une blague que j'ai lu dernièrement sur le net :D:

Un jour d'été très chaud , un américain et un français remontent à pied une rue à la pente très raide. Ils sont essouflés, et en sueur.
Soudain, passe un type en voiture, les vitres fermées, climatisation à fond.
L'américain regarde le type en voiture et se dit: "Un jour, moi aussi je remonterais cette rue en voiture climatisée comme lui."
Le français regarde le type en voiture et se dit : "Un jour, lui aussi remontera la rue à pied comme moi"

C'est juste une blague hein...
12722

Citation : Je trouve qu'on n'est pas du tout hors sujet! Ce sont ceux qui ne veulent pas en faire leur métier, à cause des contraintes (plus que compromis ou compromission) que cela implique, qui, par leur discours, confortent et légitiment le comportement de ceux qui ne veulent plus payer la musique.

Et le pire est que ce sont souvent les mêmes, qui ne veulent faire aucun effort pour vendre leur musique, qui râlent parce que ça ne leur rapporte rien! (vous comprenez, c'est la faute aux majors qui monopolisent le marché...)

C'était mon billet de (mauvaise) humeur du soir!



- 1

Non, par exemple dans mon cas, j'ai produis 3 vinyles vendus dans le monde entier avec toute la logistique que ça implique, bon ben je me suis payé un beau studio avec cette argent, j'ai voyagé, etc... MAIS je ne veux pas vivre de la musique, c'est dénaturer son fondement, avis personel j'en conviens.
Il y a une différence entre vivre de la musique comme on peut vivre de son métier de au pif secrétaire et vendre ses œuvres musicales.

Sinon ta blague est marrante surtout en période de réchauffement climatique.
Il y a un an ou deux, Chuck D (Public Enemy) demandait à El P (Company Flow, Def Jux) son avis sur l’incendie qui ravage l’industrie du disque ces dernières années. La réponse tombe comme un couperet: ” Et bien, laissons-la bruler… brûlons-là ! “.
12723

Hors sujet :

Citation : Et allez, un gros troll, j'écris quoi sur mon étoile bleue (oui jaune, c'est trop vintage) : "Nouvelle star" ? "Artiste" ? "Dilettant" ?



:P: On n'en est plus très loin... petit florilège lu aujourdhui sur divers forums..

"Mais qu'ils crèvent !
La plupart de ceux qui touchent sont des ordures qui vont en suisse pour ne pas payer leurs impots !
Quand aux autres... ils cherchent surtout à récupérer du fric au travers des ASSEDIC"

"rien n'a compensé la chute des ventes de la daube innommable que le show-bizz veut nous faire ingurgiter à 12 € le CD ???? gratuit en MP3 pour faire boum-boum dans la caisse du Kéké moyen d'accord, mais payer pour la sous-merde des cousins du sentier tous copains , de la fiotte de la Starac ou de la pouffe de la TV faut quand même pas exagérer (j'ai pas pu me retenir ça défoule)"

"Je remarque juste qu'on nous vend le mythe du pauvre artiste sans le sous qui joue dans le métro pour survivre mais qu'en fait ce n'ai qu'un prétexte pour une industrie (musique / cinéma) se subventionne sur le dos d'un autre (informatique/télécom). L'artiste ne touchera rien de plus après l'HADOPI, il continuera à faire la manche, ce n'est qu'un faire-valoir, un relai pour les média et la préparation de l'opinion."

"et bien ces majors et les artistes qui leurs servent de p..es de luxe n'auront qu'a tomber dans les abimes de l'oubli et changer de metier...tout comme doivent le faire les mecs de gandrange qui sont virés on s'en soucie pas, halte aux rentes a vie des artistes et des majors!"

Là c'est juste qques trucs softs.. C'est l'esprit général qu'on lit aujourdhui sur le net.
Il y a aussi quelques appels au meurtre, à l'eviscération avec un couteau de boucher (si, si ! sur numérama).. Allez mieux vaut en rire ! :mdr:

12724

Citation : Non, par exemple dans mon cas, j'ai produis 3 vinyles vendus dans le monde entier avec toute la logistique que ça implique, bon ben je me suis payé un beau studio avec cette argent, j'ai voyagé, etc... MAIS je ne veux pas vivre de la musique, c'est dénaturer son fondement, avis personel j'en conviens.



Cherchez l'erreur dans ce paragraphe ...
12725
Bon allez je précise je me suis payé "un studio" pour la musique, ma passion, et j'ai voyagé par ma musique mais non je ne veux pas en vivre comme quelque chose dont je dépendrai financièrement pour par exemple élever ma famille, payer mes traites, etc, cela dénaturerait ma relation artistique, on peut d'ailleurs remplacer musique par écriture, c'est la même chose.
Ok ?

Et à éviter de prendre les commentaires des blogs écrit par des énergumènes analphabètes pour quelques uns, il suffit de voir l'affaire orelsan.

Allez fin de mon hors-sujet.
Il y a un an ou deux, Chuck D (Public Enemy) demandait à El P (Company Flow, Def Jux) son avis sur l’incendie qui ravage l’industrie du disque ces dernières années. La réponse tombe comme un couperet: ” Et bien, laissons-la bruler… brûlons-là ! “.