L'avis de Philippe rochefort sur "Gaudi"
Publié le 16/10/2008
Le début est marrant.
J'ai pas la science exacte infuse pour juger sur pièce de cette pièce. Le monsieur en dessous à cependant assez bien dit (belle plume au passage) ce que j'aurais pu éventuellement penser. J'ai écouté jusqu'au bout embarqué dans cette obsession. Je n'ai pas aimé la fameuse cathédrale non plus, mais on s'en fout ma chère.
Artistique :
Ya que sur ce site qu'on peut être surpris comme ça, avec cette qualité.
L'avis de Anonyme sur "Petit coeur de pierre"
Publié le 16/10/2008
Bon c'est du son Niconu. Alors ... Précision et qualité du son / Transitions, enchaînements /
Jeu des instrumentistes ... OK. C'est sans problèmes.
Artistique :
Ca ne ressemble à rien !
Je veux dire à rien d'autre qu'à du Niconu. Et c'est déjà pas mal bien et même mieux. Par moments, on se dit : "Ah ! tiens ... là, ca ressemble un peu à ..." Et puis non. L'organe posé et persifleur de Niconu est là pour authentifier l'ensemble, avec une force de persuasion tranquille, inébranlable. Bien sûr, si on a la culture pour et l'art de s'en servir - ce qui n'est pas mon cas ici - on va bien trouver des influences de ceci et peut-être même ... de cela. Mais, bon. C'est beau, influences ou pas. Le texte ? Du nectar, même si la musique tire un peu la couverture à elle par moments. Ca a au moins le mérite d'inciter à remettre deux tunes, pardon ... thunes dans l'bastringue ; mais c'est pour mieux vous entendre, mon enfant ! Et cette diction exagérée, comme pour faire l'éducation des non-comprenants (de nos jours, on décorne le français en disant "non voyants" pour "aveugles", "non entendants" pour sourds ... alors moi, gagné par la contagion de ce non-parler, je dis "non comprenants" pour "cons"). Oh ! Ne prenez pas peine Sieur Niconu, c'est temps perdu ! Ils ne vous écouteront pas. Mais on s'en moque, nous, on aime.
De belles trouvailles d'arrangement. Qui a dit que le Rock était une musique de has been ? Que circulez, y a plus rien à entendre ? La preuve que non ! Non ?
L'avis de oboreal sur "Choisis la collaboration (collab' Oboréal)"
Publié le 16/10/2008
Bon bah le son est énorme thanks to le camarade et néanmoins ami nico. Faut dire que le bonhomme il manie le compresseur, l'égaliseur et la reverb comme personne. Et vous savez quoi ? En plus il joue vraiment de la zic, et il chante, si ça c'est pas la classe.
Bon modestement j'ai apporté mon gras de sable à la cathédrale via le didj et la voix en Français, et ma foi, je suis content de pas avoir trop égratigné l'édifice.
Artistique :
Bon bah je pense qu'on a réussi à tenir ce qu'on voulait faire à savoir un morceau original, avec une touche mansonienne qui vienne cotoyer des accents worlds et rock. Bon après, dire si le résultat est bon, c'est pas trop à moi de le faire, mais je reste vraiment satisfait de cette collab qui, à mon sens a abouti à une vraie compo unifiée et pas juste à l'assemblage de deux univers.
L'avis de Philippe rochefort sur "histoire de rien"
Publié le 16/10/2008L'avis de Philippe rochefort sur "Choisis la collaboration (collab' Oboréal)"
Publié le 16/10/2008
Quel son rontudju !
Des Oms tibétains se rendent à l'usine à jouissance. Un colosse aux pieds d'argile surveille la frontière.
Artistique :
On s'ennuie pas une seconde yes ça c'est vrai. Sur la saine scène des opinions, je suis facilement d'accord avec quoi est-ce que tu dis, tu n'as pas peur des mots c'est cool, man. Yes oui. Même si je me sens un peu collabo à mon tour et ça fait bizarre comme catalogage jugementesque.
L'avis de son autre sur "évidemment"
Publié le 16/10/2008L'avis de pk16 sur "Gaudi"
Publié le 15/10/2008Bien servi par les sons et le mix, une piece de nature suggestive s'étirant en des repetitivités dynamiques, supports d'émotions tour à tour fragiles, exacerbées. La base orchestrale est sans doute sequencée, la(les) clarinette(s) sans doute pas, de part son jeu basculant, échappé. L'utilisation du synthé pour demarrer et clore la piece connote bien l'idée d'une construction reflechie. L'ensemble s'installe, s' écoule au travers du temps sans ambiguité, contant une histoire pleine d'un caractere musical unique et sincere. L'art brut ne manque pas encore ici d'interet .
Artistique :
Impact evident sur la pensée, l'imagination. Il est a noter combien la mise en scene est épurée, ne sombrant jamais dans la cacaphonie. Une gestion tres artistique du propos, et une éclate evidente du compositeur emporté dans un discourt sortit en ligne directe de ce que l'on nomme la passion. Bonne suite !
L'avis de Anonyme sur "Impressions soleil levant"
Publié le 15/10/2008
Rien de rédhibitoire pour le son. Alors je ne tartine pas (j'ai oublié mon couteau et la boulangerie est fermée !).
Très bas niveau au début, bien sûr. Mais ça nous change agréablement des morceaux d'aujourd'hui sans dynamique. Comme si on parlait toujours à volume constant ...
Artistique :
Avant d'entrer dans le vif du sujet, je voudrais dire mon adhésion totale à l'opinion de Chris Dewitte concernant le lobby de la musique contemporaine. On a parlé, il y a quelques années de "terrorisme sériel". L'objet a changé mais le problème demeure.
Cela dit, j'aime le Soleil Levant de Sorges. Le paysage sur lequel s'insinue la lumière du jour est riche en couleurs et en odeurs. On aurait envie de prolonger l'état de félicité sereine que provoque cette musique qui s'écoule lentement, imperturbablement. Les changements de nuances sont beaux et adroitement mis en lumière. Je suis heureux d'entendre (enfin !) un Sorges apaisé et tranquille. Mais je n'ai pas encore tout écouté.
L'avis de Anonyme sur "Gaudi"
Publié le 15/10/2008
Allez, on suit la procédure AF :
Précision et qualité du son : Le son est, techniquement, au niveau de la musique qu'il sert. C'est à dire : Excellent.
Transitions, enchaînements : Parfaitement maîtrisés. J'ai coutume de prétendre que, dès lors qu'on y porte pas attention, c'est que les transitions et enchaînements sont biens menés. Cela posé, il peut, ponctuellement, être utile de les faire entendre.
Jeu des instrumentistes : Musique séquencée, je présume. Donc ... L'instrumentiste s'en sort avec honneur.
Artistique :
Je ressens une osmose évidente entre l'oeuvre de Gaudi et la vision qu'en a Sorges. On pense bien entendu, en tout premier lieu, à la Sagrada Familia, réalisation la plus connue de Gaudi sinon la plus réussie (du moins à mon sens). Et à cet égard, la musique de Sorges est parfaitement en situation. Elle traduit excellemment le choc visuel et émotionnel qu'on peut ressentir à la première vision de l'église de Barcelone. La musique, comme le monument, nous prend et fait de nous son jouet. Elle ne nous laissera qu'à la fin de l'histoire ; et encore ne nous laissera t-elle pas calmes et sereins. La répétition obsessionnelle de cette quasi pédale sur - SOL MI, SOL MI DO - dans une suite de formulations mouvantes, met nos nerfs à rude épreuve. Du point de vue de la stricte technique d'écriture, je suis d'ailleurs réticent à juger cette insistance comme indispensable. Du moins pas sur une si longue distance. Il me semble que l'effet recherché, et indéniablement atteint, est malheureusement dépassé. Cela lui confère un caractère d'entêtement qui n'a plus rien d'hypnotique. Mais, à ce détail (car c'en est un) près, la pièce reste fascinante dans sa totalité, dispensant une sorte d'attirance improbable, presque louche, mais bien réelle. C'est à peu près ce que je ressens à la vision de la Sagrada. Là cesse, du moins pour moi, le rapport étroit entre l'oeuvre architecturale et l'oeuvre musicale. La première me procure une émotion intense qui débouche sur un effroi absolu. Je n'aime pas, mais alors pas du tout Gaudi, et tout particulièrement cette église. Ce rejet ne touche pas mon intellect. Il est éminemment physique, réflexe primitif, voire reptilien. La seconde (la musique de Sorges), me procure une émotion qui m'amène, après une période d'errance sonore, à une sorte de nécessité admise et comprise de sa musique. Sorges est coutumier d'un discours tendu, parfois effrayant. Mais il sait aussi nous apaiser, nous rassurer. Ca ne concerne que moi, mais Gaudi m'effraie et, loin de m'apaiser, me fait fuir.
Merci Sorges.
L'avis de niconu sur "Groove girls (BB/Ma/G/S/Me/L)"
Publié le 14/10/2008
Just a blink en passant les zaminches zé aminchettes. Moyen client du staïlle (z'inquiète, j'ai qu'un bouton sur ma machine à 10 !) qui oscille dans une jolie ambiguité moulante, entre la parodie et... l'originale...
Ca m'a bien fait sourire néanmoins (et qqs souvenirs bien ridiculous en prime, t'as raison, Mitchouille...). Donc, j'range mes critiquettes sur le mix et les qqs flottements et... j'appuie sur le bouton !
Artistique :
Allez, au milieu de cette cohorte mixte de jolis talents souriants sous le bull à Farah Fawcett, je donne mes 2 ptits bonus à Mejazz pour ses cuivres si bien lustrés à la EW&F et à Géronimo pour son groovy Clavinet à la Stevie's lunettes...
T'façons, les filles s'chopent assez d'compliments çacom' et elles rentrent plus dans leurs botines à force... Machine à 10 ? Feu !
Take care, U all !