Sujet Débat : l'intégration des nouveaux dans le monde du djing
- 78 réponses
- 25 participants
- 2 796 vues
- 24 followers
Afficher le sujet de la discussion
tu passes ta carte sur la table, qui elle, se cable sur l'amplification......
aprés, qu'il y est 10 ou 500 000 000 de watts sur la diffusion, ça change quoi ?
Fabad
864
Posteur·euse AFfolé·e
Membre depuis 18 ans
Anonyme
521410
Moi mon image du djing c'est pas vraiment les "djs de discotheque" qui honnetement apportent pas grand choses..en general..ca vole pas tres haut , pas des clones mais ca tourne en rond
rien qu'a voir les tendances actuelles..justice's like(des tas sur myspace),tectonic/rnb fashion(a la timbaland..)...ca me parle pas apart ptet martin solveig(l'exception)
je pense qu'aprés , s'interesser à des artistes comme coldcut,krafty cuts, scratch perverts,....y'en a des tas...bein là c'est creatif...y'a une prise de risque....
chui dans cet esprit là
plaisir avant tout
rien qu'a voir les tendances actuelles..justice's like(des tas sur myspace),tectonic/rnb fashion(a la timbaland..)...ca me parle pas apart ptet martin solveig(l'exception)
je pense qu'aprés , s'interesser à des artistes comme coldcut,krafty cuts, scratch perverts,....y'en a des tas...bein là c'est creatif...y'a une prise de risque....
chui dans cet esprit là
plaisir avant toutpoppy44
1901
AFicionado·a
Membre depuis 16 ans
Perso j ai un conseil à donner aux "nouveaux":
bosser,bosser et bosser.
c est comme pour tout, faut s entrainer, trouver un "style".
apres faut pas trop rêver non plus.
1 pour 1000 dj réussira à réelement percer dans ce secteur.
Un autre point à ne pas negliger à mon avis:la discotheque n est pas le but ultime à vouloir ateindre et je m explique:
en boite vous aurez (forcemment) un patron derriere vous, et donc des obligations de resultat avec tout ce que ça comporte comme contraintes.
je veux dire par là qu a part les grands noms(enfin souvent) vous ne pourrez pas JOUER ce que vous voulez quand vous voulez,mais devrez vous plier à certaines regles imposées par votre patron/clientelle, surtout en province.
pour ma part j ai commencé à mixer en 1989(argh je suis vieux!!)j ai fais de la discomobile,discotheque et 3 petites rave(les premieres en 90/91).d apres cette experience, je pense que si vous voulez vraiment vous eclater se sera en soirées privées,les raves n ayant plus assez d impact.
1-discomobile:desormais,le gros du boulot sera composé de mariages...donc style imposé(même si en fin de soirée on peu tjrs jouer des morceaux sympa)
2-discotheque:obligation de "resultat" comme dans un boulot normal,donc on est pas libre(ou peu)de jouer ce qu on veut.
3-soirées privées:voilà un terrain de jeu idéal...si vous êtes jeunes, vous avez forcemment des potes qui écoutent et aiment la même musique que vous.de fil en aiguille,ces potes on des potes ,blablabla.par chance et si vous êtes "bons"(grand terme à la con) vos soirées augmenteront en taille,donc bcp plus de public, vous aurez peut etre la chance d etre remarqués et d etre invité à d autre soirées.....
ce n est que mon avis mais ne revez pas trop.la plupart des grands DJ hyper connus d aujourd hui ont entre 30 et 40 ans(sauf exception).faut se faire un nom comme dans les autres domaines et pour cela y a qu un moyen:mixer mixer et mixer( s entrainer à la maison et jouer en public), en ne cherchant pas à bruler les étapes,mais en commencant "petit"(à moins d etre le frere de guetta ou sinclar.)
PS:desolé pour la pavé...
bosser,bosser et bosser.
c est comme pour tout, faut s entrainer, trouver un "style".
apres faut pas trop rêver non plus.
1 pour 1000 dj réussira à réelement percer dans ce secteur.
Un autre point à ne pas negliger à mon avis:la discotheque n est pas le but ultime à vouloir ateindre et je m explique:
en boite vous aurez (forcemment) un patron derriere vous, et donc des obligations de resultat avec tout ce que ça comporte comme contraintes.
je veux dire par là qu a part les grands noms(enfin souvent) vous ne pourrez pas JOUER ce que vous voulez quand vous voulez,mais devrez vous plier à certaines regles imposées par votre patron/clientelle, surtout en province.
pour ma part j ai commencé à mixer en 1989(argh je suis vieux!!)j ai fais de la discomobile,discotheque et 3 petites rave(les premieres en 90/91).d apres cette experience, je pense que si vous voulez vraiment vous eclater se sera en soirées privées,les raves n ayant plus assez d impact.
1-discomobile:desormais,le gros du boulot sera composé de mariages...donc style imposé(même si en fin de soirée on peu tjrs jouer des morceaux sympa)
2-discotheque:obligation de "resultat" comme dans un boulot normal,donc on est pas libre(ou peu)de jouer ce qu on veut.
3-soirées privées:voilà un terrain de jeu idéal...si vous êtes jeunes, vous avez forcemment des potes qui écoutent et aiment la même musique que vous.de fil en aiguille,ces potes on des potes ,blablabla.par chance et si vous êtes "bons"(grand terme à la con) vos soirées augmenteront en taille,donc bcp plus de public, vous aurez peut etre la chance d etre remarqués et d etre invité à d autre soirées.....
ce n est que mon avis mais ne revez pas trop.la plupart des grands DJ hyper connus d aujourd hui ont entre 30 et 40 ans(sauf exception).faut se faire un nom comme dans les autres domaines et pour cela y a qu un moyen:mixer mixer et mixer( s entrainer à la maison et jouer en public), en ne cherchant pas à bruler les étapes,mais en commencant "petit"(à moins d etre le frere de guetta ou sinclar.)
PS:desolé pour la pavé...
http://www.olla-animations.com/
Sebz.G
2873
Squatteur·euse d’AF
Membre depuis 18 ans
spark972
2748
Squatteur·euse d’AF
Membre depuis 21 ans
Denaro
3112
Modérateur·trice thématique
Membre depuis 18 ans
C'est marrant de voir à quel point les avis et expériences de chacuns peuvent être différents. Ca me surprend un peu ce que tu dis poppy44 sur les discothèques.
J'ai surtout travaillé en club et dans des bars dansant (assimilables à des clubs donc) et je n'ai pas du tout le même avis que toi. "Obligation de résultat" : oui, mais pas de style ou d'obligation autre que de faire plaisir à la clientèle. Le résultat c'est d'avoir des clients contents c'est tout. Et si ton patron est très con et t'impose de mettre tel ou tel morceau parce qu'il se croit plus malin que toi, tu te barres! Et comment veux-tu être acclamé par un public en délire si tu ne lui joues pas ce qu'il aime? Très franchement, la seule exigence qu'ont eu mes patrons, c'est de faire plaisir à la clientèle au maximum pour qu'elle revienne, avec d'autres personnes, et pour la fidéliser. Si tu es bon et que tu es très à l'écoute de ton public, tu te retrouves rapidement avec un petit "fan club" dédié, qui viennent uniquement pour le DJ, donc toi. Je me vois encore avec mes patrons, complètement allucinés de voir les gens applaudire parce que je leur passais certains morceaux. Et ceux qui ont tenté de me marcher dessus en m'imposant tel ou tel style, en me disant que c'est ce qu'attend la clientèle, je ne l'écoute pas, et il est content de voir que ses clients sont contents. Des fois aussi c'est toi qui te gourre, mais tu peux aussi tomber sur une clientèle à la con, qui n'aime pas la musique, et là c'est plus chaud à gérer. C'est un monde à part le club pour ça, mais les bons DJs n'ont pas à se plaindre, mais alors pas du tout. Et puis zut! Il faut bien avouer que c'est simple de mixer en boite, les gens viennent pour danser et danseraient plus ou moins sur n'importe quoi. Alors soit vous ne connaissez que des mauvais DJs, soit vous ne trainez pas dans les bons lieux, mais de mon coté, j'ai toujours fréquenté des boites où le DJ était le pilier de la boite et j'ai travaillé aussi dans ce sens. C'est bien pour ça que le DJ est un peu "idolatré" aujourd'hui. C'est parce qu'il sait tenir son public, l'écouter, le comprendre, lui faire plaisir, et c'est comme ça qu'il se fait plaisir. Faut arrêter avec les "j'aime pas les boites parce que je peux pas jouer ce que j'aime". Si c'est pour jouer ce que vous aimez et imposer vos gouts, restez chez vous!
Les DJs et leur égo...
J'ai surtout travaillé en club et dans des bars dansant (assimilables à des clubs donc) et je n'ai pas du tout le même avis que toi. "Obligation de résultat" : oui, mais pas de style ou d'obligation autre que de faire plaisir à la clientèle. Le résultat c'est d'avoir des clients contents c'est tout. Et si ton patron est très con et t'impose de mettre tel ou tel morceau parce qu'il se croit plus malin que toi, tu te barres! Et comment veux-tu être acclamé par un public en délire si tu ne lui joues pas ce qu'il aime? Très franchement, la seule exigence qu'ont eu mes patrons, c'est de faire plaisir à la clientèle au maximum pour qu'elle revienne, avec d'autres personnes, et pour la fidéliser. Si tu es bon et que tu es très à l'écoute de ton public, tu te retrouves rapidement avec un petit "fan club" dédié, qui viennent uniquement pour le DJ, donc toi. Je me vois encore avec mes patrons, complètement allucinés de voir les gens applaudire parce que je leur passais certains morceaux. Et ceux qui ont tenté de me marcher dessus en m'imposant tel ou tel style, en me disant que c'est ce qu'attend la clientèle, je ne l'écoute pas, et il est content de voir que ses clients sont contents. Des fois aussi c'est toi qui te gourre, mais tu peux aussi tomber sur une clientèle à la con, qui n'aime pas la musique, et là c'est plus chaud à gérer. C'est un monde à part le club pour ça, mais les bons DJs n'ont pas à se plaindre, mais alors pas du tout. Et puis zut! Il faut bien avouer que c'est simple de mixer en boite, les gens viennent pour danser et danseraient plus ou moins sur n'importe quoi. Alors soit vous ne connaissez que des mauvais DJs, soit vous ne trainez pas dans les bons lieux, mais de mon coté, j'ai toujours fréquenté des boites où le DJ était le pilier de la boite et j'ai travaillé aussi dans ce sens. C'est bien pour ça que le DJ est un peu "idolatré" aujourd'hui. C'est parce qu'il sait tenir son public, l'écouter, le comprendre, lui faire plaisir, et c'est comme ça qu'il se fait plaisir. Faut arrêter avec les "j'aime pas les boites parce que je peux pas jouer ce que j'aime". Si c'est pour jouer ce que vous aimez et imposer vos gouts, restez chez vous!
Les DJs et leur égo...
Anonyme
2650
poppy44
1901
AFicionado·a
Membre depuis 16 ans
Ce que je voulais dire, c est que la petite experience que j ai eu en boite à toujours été la même, en tout cas par chez moi(nantes et ses environs).
les patrons voulaient un style bien specifique pour leur boite avec la clientelle qui va avec.
du temps où je jouais en boite, il etait quasi impossible de faire comprendre aux patrons que de la musique electro plairait!
je t accorde que depuis quelques temps cela à l air de changer sur la region nantaise..mais put*** il en a fallu du temps!.(15 ans environ)
pour ce qui est de flatter mon ego...bah depuis quelques temps maintenant je tourne avec ma discomobile, et donc je fais bcp de mariages et anniversaires(comme hier soir les 40 ans d une cliente).
et donc tu comprends bien que je ne joue pas exactement ce que je veux(c est à dire une programmation club actuel)..mais ça me va quand même car les gens sont contents comme ça.je leur jour ce qu ils demandent (plus quelques extra electro.
)et ils en redemandent et que j ai un groupe de 20-30 qui me suis partout si possible.
j en veux pas plus,même si je sais que cette methode ne me permetra pas de vivre de ce metier(mettre du beurre dans les épinards oui par contre!)
voilà ce que je voulais dire.
les patrons voulaient un style bien specifique pour leur boite avec la clientelle qui va avec.
du temps où je jouais en boite, il etait quasi impossible de faire comprendre aux patrons que de la musique electro plairait!
je t accorde que depuis quelques temps cela à l air de changer sur la region nantaise..mais put*** il en a fallu du temps!.(15 ans environ)
pour ce qui est de flatter mon ego...bah depuis quelques temps maintenant je tourne avec ma discomobile, et donc je fais bcp de mariages et anniversaires(comme hier soir les 40 ans d une cliente).
et donc tu comprends bien que je ne joue pas exactement ce que je veux(c est à dire une programmation club actuel)..mais ça me va quand même car les gens sont contents comme ça.je leur jour ce qu ils demandent (plus quelques extra electro.
)et ils en redemandent et que j ai un groupe de 20-30 qui me suis partout si possible.j en veux pas plus,même si je sais que cette methode ne me permetra pas de vivre de ce metier(mettre du beurre dans les épinards oui par contre!)
voilà ce que je voulais dire.
http://www.olla-animations.com/
Anonyme
2650
Pour ma part, mon expérience est assez particulière. Elle démonte dailleurs cette affirmation:
A la base, je produis de l'ambient-techno depuis 2004. En juin de l'année passée, j'ai participé à un atelier de deejaying après avoir été renversé sur le cul dans une soirée électro minimal assez pointue. Plein d'admiration face à cette musique que je trouvais assez légère et "facile" il y a un bon petit bout de temps. J'éprouvais un grand plaisir à l'écoute de simples saw ou squares sur un système son démesurément génial
. Je me suis dit que ça me plairait bien de pouvoir mixer, rien que pour faire le choix des morceaux et les entendre "comme il faut".
J'ai donc suivi ces 8 heures de cours, après quoi je me suis acheté du matos (deux technics sl1210, une cdj800 et une nuo3). Ca a commencé à me passionner. Mon solfège ainsi que mes habitudes en production mon permis de progresser à grande vitesse (j'ai une très bonne oreille). Si bien que j'ai commencé à mixer, 3 mois après mes débuts, à une soirée électro dans un bar branché, puis 3 autres soirées dans la foulée, puis à l'émission radio du dj qui me donnais les cours. Mon style s'est affiné vers quelque chose de plus personnel, un mélange d'électro-minimal-progressive. Et je n'ai pas du tout le style de mon "maître"...
Entretemps, ce dj a appris que je produisais de la musique. Ca l'a intéressé, au point que nous avons commencé fin juin (de l'année passée) à produire ensemble de l'électro.
Résultat des courses, je commence à être apprécié dans ma région, les gens dansent (voire hurlent) lorsque je suis aux platines (alors que le public peut être parfois vachement frileux), celui qui m'a donné des cours me donne de plus en plus de bookings d'envergure et, moi, je lui permet d'assouvir ses rêves de production. Et la production va plutôt loin, car on va sortir un de nos tracks sur un label dans 2 mois...
Comme quoi, on peut être parrainé par un dj expérimenté et s'en sortir sans en être son pin's. Cela nécessite de trouver un maître yohda qui soit suffisamment humble et honnête. L'inconvénient de ma "formule", c'est que je pourrais ne plus mixer s'il ne parle plus de moi ou s'il ne me propose plus de dates. Il faudrait que je fasse de la pub, mais je n'ai pas trop la tête à ça pour le moment...
Mes conseils pour bien apprendre à mixer:
- trouver du bon matos (des platines à entraînement direct)
- s'exercer sans relâche
- savoir compter jusque 64
- mixer les morceaux qu'on aime, et ne pas nécessairement aller vers du commercial pensant que ça va mieux marcher. La salle sent si on aime les morceaux qu'on mixe et réagit en fonction.
- passer du temps sur beatport et decks rien que pour écouter les nouveautés
- mixer aussi bien sur cd que sur vinyl (dans certaines soirées, il arrive qu'il y ait un problème sur une platine...)
- ne pas mixer de mp3 en dessous de 240kbps (c'est horrible!)
- ne pas trop utiliser les effets des tables de mix, et, surtout, bien les placer (style en fin de phrase).
A bientôt
Xa
Citation : >Petite question : pensez-vous que être parrainé par un Dj plus expérimenté de sa propre ville ça peut aider ? >Franchement, c'est super dangereux. Je connais très très peu de cas où ça a fonctionné. Pourquoi, me diras-tu? Tout simplement parce que tu deviens le clone du dj qui t'a formé.
A la base, je produis de l'ambient-techno depuis 2004. En juin de l'année passée, j'ai participé à un atelier de deejaying après avoir été renversé sur le cul dans une soirée électro minimal assez pointue. Plein d'admiration face à cette musique que je trouvais assez légère et "facile" il y a un bon petit bout de temps. J'éprouvais un grand plaisir à l'écoute de simples saw ou squares sur un système son démesurément génial
. Je me suis dit que ça me plairait bien de pouvoir mixer, rien que pour faire le choix des morceaux et les entendre "comme il faut".J'ai donc suivi ces 8 heures de cours, après quoi je me suis acheté du matos (deux technics sl1210, une cdj800 et une nuo3). Ca a commencé à me passionner. Mon solfège ainsi que mes habitudes en production mon permis de progresser à grande vitesse (j'ai une très bonne oreille). Si bien que j'ai commencé à mixer, 3 mois après mes débuts, à une soirée électro dans un bar branché, puis 3 autres soirées dans la foulée, puis à l'émission radio du dj qui me donnais les cours. Mon style s'est affiné vers quelque chose de plus personnel, un mélange d'électro-minimal-progressive. Et je n'ai pas du tout le style de mon "maître"...
Entretemps, ce dj a appris que je produisais de la musique. Ca l'a intéressé, au point que nous avons commencé fin juin (de l'année passée) à produire ensemble de l'électro.
Résultat des courses, je commence à être apprécié dans ma région, les gens dansent (voire hurlent) lorsque je suis aux platines (alors que le public peut être parfois vachement frileux), celui qui m'a donné des cours me donne de plus en plus de bookings d'envergure et, moi, je lui permet d'assouvir ses rêves de production. Et la production va plutôt loin, car on va sortir un de nos tracks sur un label dans 2 mois...
Comme quoi, on peut être parrainé par un dj expérimenté et s'en sortir sans en être son pin's. Cela nécessite de trouver un maître yohda qui soit suffisamment humble et honnête. L'inconvénient de ma "formule", c'est que je pourrais ne plus mixer s'il ne parle plus de moi ou s'il ne me propose plus de dates. Il faudrait que je fasse de la pub, mais je n'ai pas trop la tête à ça pour le moment...
Mes conseils pour bien apprendre à mixer:
- trouver du bon matos (des platines à entraînement direct)
- s'exercer sans relâche
- savoir compter jusque 64
- mixer les morceaux qu'on aime, et ne pas nécessairement aller vers du commercial pensant que ça va mieux marcher. La salle sent si on aime les morceaux qu'on mixe et réagit en fonction.
- passer du temps sur beatport et decks rien que pour écouter les nouveautés
- mixer aussi bien sur cd que sur vinyl (dans certaines soirées, il arrive qu'il y ait un problème sur une platine...)
- ne pas mixer de mp3 en dessous de 240kbps (c'est horrible!)
- ne pas trop utiliser les effets des tables de mix, et, surtout, bien les placer (style en fin de phrase).
A bientôt
Xa
Anonyme
2090
Citation : que tu peux brancher des kilowatts de son sur ta pauvre carte son interne de PC portable et que tu risques rien
tu passes ta carte sur la table, qui elle, se cable sur l'amplification......
aprés, qu'il y est 10 ou 500 000 000 de watts sur la diffusion, ça change quoi ?
- < Liste des sujets
- Charte