"Le Saviez-Vous ?"
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Fuyuhiko
Je me disais bien qu'il manquait un sujet dans le pub : un pendant culturel à tout ce qui est automatique, un contre-pouvoir pacifique au pub des losers, un petit frère des blagues pourrites ....
Le petit truc en plus en dernière page, la star du papier d'emballage :
le "LE SAVIEZ-VOUS"
A vous les studios
I'm Back
TheStratGuy
Citation : bien que un groupe d' extrème droite proche de la police ait revendiqué l'action, celle ci serait plus vraisemblablement l'oeuvre du GAL, (service parallèle de contre-terrorisme composé de barbouzes et de voyous manipulés par les forces répressives officielles espagnoles qui liquidaient des gens d'ETA ), faisant ainsi payer à Goldman ses sympathies pour le réseau basque.
Une autre hypothèse dit que ce personnage fantasque et provocateur aurait organisé et mis en scène son propre assassinat. Cette hypothèse se base notamment sur le fait que ses activités au cours des dernières heures de sa vie mais aussi les circonstances mêmes de son meurtre se sont déroulées de façon étrangement similaires aux conditions entourant la mort du personnage principal d'un de ses livres.
Do not take life too seriously. You will never get out of it alive.
Pictocube
Tant qu'il y aura des couilles en or, il y aura des lames en acier
Dj Etnyk
TheStratGuy
Do not take life too seriously. You will never get out of it alive.
Pictocube
Tant qu'il y aura des couilles en or, il y aura des lames en acier
TheStratGuy
Hors sujet : Je pensais un peu comme toi jusqu'à ce que je tombe sur un film de série Z y'a déjà quelques années de ça. En gros ça se passait dans un futur proche dans une société où le suicide était officiellement légalisé, et des firmes médico-pharmaceutiques détournaient cette loi pour faire fortune en achetant leurs vies à de pauvres types prêts à tout pour sortir leurs familles de la misère (et évidemment aucun moyen de changer d'avis et de revenir en arrière même en rendant le fric, et la vente des organes à des hôpitaux privés permettait aux firmes en question de faire la culbute).
Depuis je me dis que même si l'exemple était assez extrême et caricatural (quoique, quand on voit le clonage et les OGM, qui l'eût cru il y a encore 20 ou 30 ans?), l'espèce d'hypocrisie actuelle est finalement peut-être un moindre mal dans l'absolu...
Do not take life too seriously. You will never get out of it alive.
Pictocube
Tant qu'il y aura des couilles en or, il y aura des lames en acier
Anonyme
Citation : et si j'ai bonne mémoire le tireur a fini en taule sans que personne ne remette pour autant en cause l'authenticité du pacte entre les deux.
J' espère bien qu'il a fini en taule !
Anonyme
Citation : J'ai toujours eu du mal à comprendre les raisons qui interdisent à un homme de mourir si il le souhaite... Pourtant je suis sûr que dans 50 ans ce sera un service public...
Tout simplement parce qu'aucune société ne veut reconnaître ses echecs, dont la forme ultime est le suicide des individus qui la composent.
Dj Etnyk
La première expérience du dilemme du prisonnier a été réalisée en 1950 par Melvin Dresher et Merill Flood, qui travaillaient alors pour la RAND Corporation. Par la suite, Albert W. Tucker la présenta sous la forme d'une histoire:
Deux suspects sont arrêtés par la police. Mais les agents n'ont pas assez de preuves pour les inculper, donc ils les interrogent séparément en leur faisant la même offre:
« Si tu dénonces ton complice et qu'il ne te dénonce pas, tu seras remis en liberté et l'autre écopera de 10 ans de prison. Si tu le dénonces et lui aussi, vous écoperez tous les deux de 5 ans de prison. Si personne ne se dénonce, vous aurez tous deux 6 mois de prison. »
Chacun des prisonniers réfléchit de son côté en considérant les deux cas possibles de réaction de son complice.
► Dans le cas où il me dénoncerait :
- Si je me tais, je ferai 10 ans de prison ;
- Mais si je le dénonce, je ne ferai que 5 ans. »
► Dans le cas où il ne me dénoncerait pas :
- Si je me tais, je ferai 6 mois de prison ;
- Mais si je le dénonce, je serai libre. »
« Quel que soit son choix, j'ai donc intérêt à le dénoncer. »
Si chacun des complices fait ce raisonnement, les deux vont probablement choisir de se dénoncer mutuellement, ce choix étant le plus empreint de rationalité.
Conformément à l'énoncé, ils écoperont dès lors de 5 ans de prison chacun. Or, s'ils étaient tous deux restés silencieux, ils n'auraient écopé que de 6 mois chacun.
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