Les mangeurs de viande, attachés à leur jolie tradition dominicale millénaire du barbecue merguez/ventrèche sont vraiment des grands enfants naïfs. Mais en même temps, quand il faudra payer la petite note du changement climatique, que le tarif de leur police d’assurance augmentera de manière exponentielle, ils seront les premiers à venir pleurer comme des gros bébés injustement lésés ...
Les mangeurs de viande, attachés à leur jolie tradition dominicale millénaire du barbecue merguez/ventrèche sont vraiment des grands enfants naïfs. Mais en même temps, quand il faudra payer la petite note du changement climatique, que le tarif de leur police d’assurance augmentera de manière exponentielle, ils seront les premiers à venir pleurer comme des gros bébés injustement lésés ...
Ce qu’il faudrait c’est manger seulement des animaux élevés en liberté, le plus possible nourris par leur broutage dans des prés.
Ce serait plus cher, mais meilleur. On en mangerait beaucoup moins, mais ce serait bon pour les animaux, les éleveurs et la réduction des rejets de CO2.