Sujet Café des sports: analyse et commentaire de l'actualité sportive
- 44 703 réponses
- 359 participants
- 674 252 vues
- 272 followers
Martis
15680
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 20 ans
Sujet de la discussion Posté le 28/07/2003 à 09:54:10Café des sports: analyse et commentaire de l'actualité sportive
La saison de L1 reprend bientôt, y'aura les mondiaux d'athlé, et plein d'autres évènements sportifs, alors si vous avez une tite chronique à faire, ou tout autre connerie à raconter en rapport (ou non) avec le sport, c'est ici que ça se passe!!
Fuyuhiko
26198
Vie après AF ?
Membre depuis 21 ans
3451 Posté le 18/01/2004 à 12:04:01
C'est la fin d'une époque en somme .. pas plus mal, tant qu'il y a les images et les résultats, moi je m'en fous un peu.
I'm Back
Pulk
6123
Je poste, donc je suis
Membre depuis 22 ans
3452 Posté le 18/01/2004 à 12:06:50
Oui honnêtement ils l'ont améliorer je trouve... bon y'a toujours les 10 minutes consacrées a un joueur de l'équipe de france, dont tout le monde se fout mais il faut qu'il y ait l'interview de dessailly, de thuram ou zizou alors bon... sinon pas trop mal, une approche plus "canal+" j'ai trouvé avec détails tactiques de temps en temps. C'est pas encore super mais y'a plus toutes les têtes de cons, ça gagne en sérieux.
Audiofanzine Football Club
Martis
15680
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 20 ans
3453 Posté le 18/01/2004 à 12:54:38
Concretement, elle est bonne?
Wilko-
7552
Je poste, donc je suis
Membre depuis 21 ans
3454 Posté le 18/01/2004 à 13:30:10
Nouveau plateau , nouveaux présentateurs.... mais toujours autant de pub
faudrait que je fasse le minutage , ça doit être édifiant.
faudrait que je fasse le minutage , ça doit être édifiant.
Far-G
3023
Squatteur·euse d’AF
Membre depuis 21 ans
3455 Posté le 18/01/2004 à 14:17:51
au fait: pourquoi ils ont viré sophie thalman?
tf1: du cul du cul du cul.....
j'ai pas la tele chez moi et je regarde pu telefoot: trouvez des tof les gars!
MortaFraiz
6414
Je poste, donc je suis
Membre depuis 20 ans
3456 Posté le 18/01/2004 à 14:20:30
Achete le journal !!!!
Martis
15680
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 20 ans
3457 Posté le 18/01/2004 à 14:58:23
Far-G
3023
Squatteur·euse d’AF
Membre depuis 21 ans
3458 Posté le 18/01/2004 à 15:57:47
Morau: je vais pas acheter un magazine télé si j'ai pas la télé
bon j'attendrai demain sur telefoot.com
bon j'attendrai demain sur telefoot.com
Bloody ou les prospérités du Vice
8120
Je poste, donc je suis
Membre depuis 21 ans
3459 Posté le 18/01/2004 à 18:01:27
Niarf ouai ! Anelka semble quand même pas prêt à s'excuser ! Moi je trouve qu'il se prend un peu de haut !
Et ouai, comme par hasard il apparait alors que Cissé est suspendu !
Marf, je rigolerais qu'il soit pas sélectioné !
Et ouai, comme par hasard il apparait alors que Cissé est suspendu !
Marf, je rigolerais qu'il soit pas sélectioné !
Fuck off !
Pulk
6123
Je poste, donc je suis
Membre depuis 22 ans
3460 Posté le 19/01/2004 à 21:09:16
Deuxième du championnat derrière Monaco, le PSG se reconstruit sportivement, mais surtout financièrement. Les chiffres que nous révélons montrent que le club a purement et simplement frôlé la disparition avant d'entamer son redressement.
C'EST PROMIS, le PSG ne sera plus jamais comme avant. Il joue désormais la transparence. Le club le plus endetté du football français veut se racheter une conduite.
Ce pari, l'équipe de la capitale paraît aujourd'hui en train de le gagner. Avec l'arrivée de Bertrand Méheut à la tête du groupe Canal, l'actionnaire de référence du club (90,8 % des parts) et de Francis Graille aux manettes du club, une politique cohérente a été conçue : relancer l'entreprise par la rigueur financière, la maîtrise des dépenses et une gestion fine des investissements.
Le foot de l'après-Coupe du monde 1998 marche sur la tête Cette stratégie a un prix. Pour le PSG, cela se traduit ainsi : réduction du budget de 141 à 60 millions d'euros, réduction de la dette vis-à-vis de Canal +, réduction de l'effectif professionnel. Bref, un PSG au régime minceur, bien qu'il ait dépensé 16 millions d'euros l'été dernier en matière de transferts, dont 9,5 pour le seul Pauleta, l'attaquant international portugais de Bordeaux. Mais Paris revient de loin... En 1998, Michel Denisot, l'ancien président du club, laisse le PSG dans une situation financière et sportive saine, avec sept trophées en sept ans. Six ans plus tard, le bilan est calamiteux : 191 millions d'euros de pertes cumulées, aucun trophée supplémentaire à ce jour. Le club a pratiquement disparu de la scène européenne. En réalité, il a bien failli disparaître tout court. Tout n'est pas de la faute des figures emblématiques, Jean-Marie Messier (ex-PDG de Vivendi Universal), Pierre Lescure (ex-PDG de Canal), Charles Biétry et Laurent Perpère (ex-présidents du PSG) ou Luis Fernandez (ex-entraîneur du club). Le foot de l'après-Coupe du monde 1998 marche sur la tête, avec des transferts astronomiques et des salaires tout aussi indécents. Le PSG ne voit pas venir la fin de cette période de démesure. Il se noie dans l'illusion et l'opacité des comptes.
« On se servait du club comme d'un tiroir-caisse » « Il y avait des zones d'ombre, le club était totalement hermétique vis-à-vis de l'extérieur, nous avoue un dirigeant actuel de la galaxie PSG. Et c'était encore pire à l'intérieur, rien ne remontait jusqu'à Canal. Car, au PSG, tout le monde avait peur que ça explose un jour. Chacun se tenait par la main. C'est normal et humain. » Comment comprendre autrement les 21,8 millions d'euros perdus sur Nicolas Anelka ? Comment expliquer que le Brésilien Reinaldo ait coûté 14 millions d'euros ? Et ce dirigeant d'ajouter, fataliste : « Dans cette affaire, il s'agissait de profiter du laxisme de gestion de la chaîne cryptée et de petits arrangements. On se servait du club comme d'un tiroir-caisse. » La réalité du PSG, c'est qu'il y avait des cadavres dans le placard : 39 contrats de joueurs en début de saison, dont quelques-uns ont surpris le club lui-même... A l'arrivée, Paris était exsangue, avec 65 millions d'euros de pertes pour la seule saison dernière. Changement de stratégie cette année : l'opérateur, Francis Graille, préside sous le contrôle de la chaîne cryptée. Chaque semaine, il se réunit avec Bertrand Méheut, Michel Denisot et Eric Pradon, le directeur financier de Canal, pour examiner la situation du club, alors même que les comptables de la chaîne surveillent en permanence les finances du PSG. L'opération survie, celle de la dernière chance, est lancée. Lire aussi page 16 : Paris marque le pas
Le Parisien , lundi 19 janvier 2004
C'EST PROMIS, le PSG ne sera plus jamais comme avant. Il joue désormais la transparence. Le club le plus endetté du football français veut se racheter une conduite.
Ce pari, l'équipe de la capitale paraît aujourd'hui en train de le gagner. Avec l'arrivée de Bertrand Méheut à la tête du groupe Canal, l'actionnaire de référence du club (90,8 % des parts) et de Francis Graille aux manettes du club, une politique cohérente a été conçue : relancer l'entreprise par la rigueur financière, la maîtrise des dépenses et une gestion fine des investissements.
Le foot de l'après-Coupe du monde 1998 marche sur la tête Cette stratégie a un prix. Pour le PSG, cela se traduit ainsi : réduction du budget de 141 à 60 millions d'euros, réduction de la dette vis-à-vis de Canal +, réduction de l'effectif professionnel. Bref, un PSG au régime minceur, bien qu'il ait dépensé 16 millions d'euros l'été dernier en matière de transferts, dont 9,5 pour le seul Pauleta, l'attaquant international portugais de Bordeaux. Mais Paris revient de loin... En 1998, Michel Denisot, l'ancien président du club, laisse le PSG dans une situation financière et sportive saine, avec sept trophées en sept ans. Six ans plus tard, le bilan est calamiteux : 191 millions d'euros de pertes cumulées, aucun trophée supplémentaire à ce jour. Le club a pratiquement disparu de la scène européenne. En réalité, il a bien failli disparaître tout court. Tout n'est pas de la faute des figures emblématiques, Jean-Marie Messier (ex-PDG de Vivendi Universal), Pierre Lescure (ex-PDG de Canal), Charles Biétry et Laurent Perpère (ex-présidents du PSG) ou Luis Fernandez (ex-entraîneur du club). Le foot de l'après-Coupe du monde 1998 marche sur la tête, avec des transferts astronomiques et des salaires tout aussi indécents. Le PSG ne voit pas venir la fin de cette période de démesure. Il se noie dans l'illusion et l'opacité des comptes.
« On se servait du club comme d'un tiroir-caisse » « Il y avait des zones d'ombre, le club était totalement hermétique vis-à-vis de l'extérieur, nous avoue un dirigeant actuel de la galaxie PSG. Et c'était encore pire à l'intérieur, rien ne remontait jusqu'à Canal. Car, au PSG, tout le monde avait peur que ça explose un jour. Chacun se tenait par la main. C'est normal et humain. » Comment comprendre autrement les 21,8 millions d'euros perdus sur Nicolas Anelka ? Comment expliquer que le Brésilien Reinaldo ait coûté 14 millions d'euros ? Et ce dirigeant d'ajouter, fataliste : « Dans cette affaire, il s'agissait de profiter du laxisme de gestion de la chaîne cryptée et de petits arrangements. On se servait du club comme d'un tiroir-caisse. » La réalité du PSG, c'est qu'il y avait des cadavres dans le placard : 39 contrats de joueurs en début de saison, dont quelques-uns ont surpris le club lui-même... A l'arrivée, Paris était exsangue, avec 65 millions d'euros de pertes pour la seule saison dernière. Changement de stratégie cette année : l'opérateur, Francis Graille, préside sous le contrôle de la chaîne cryptée. Chaque semaine, il se réunit avec Bertrand Méheut, Michel Denisot et Eric Pradon, le directeur financier de Canal, pour examiner la situation du club, alors même que les comptables de la chaîne surveillent en permanence les finances du PSG. L'opération survie, celle de la dernière chance, est lancée. Lire aussi page 16 : Paris marque le pas
Le Parisien , lundi 19 janvier 2004
Audiofanzine Football Club
- < Liste des sujets
- Charte