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Citation : Ils poussent tellement le vice dans le dénouement que ça peut en devenir "too much"... Comme les films dont j'ai parlé précédemment : le réalisateur/scénariste cherche à embrouiller le téléspectateur, et à vrai dire on arrive à la limite du nawak, les scènes sont tout sauf explicites, on joue sur les paradoxes, les anomalies spatio-temporelles, les incohérences, dans le seul et unique but de garder le mystère "au-delà" du film.
Alors oui c'est bien car ça crée une ambiance et on rentre (ou pas) dedans, mais l'anarchie finale de ce genre de film de psycho me laisse un arrière goût de suffisance.

Citation : C'est regarder pour regarder ? Qu'est-ce que tu en retiens ? C'est quoi l'interêt s'il n'y a pas de réelle logique ?

Citation : T'as tout compris : si y'a pas de réelle logique, j'ai du mal à apprécier jusqu'au bout, pas encore habitué aux films surréalistes qui annoncent la couleur juste à la fin, histoire d'embrouiller le spectateur.

Citation : Le parfum

Citation : Mais je dirais que ce n'est pas important de comprendre ou pas. Finalement est-ce grave de ne pas décoder si on accepte de s'abandonner, de se laisser porter dans un film où il est grandement question d'ambiance, de climat

Citation : il peut s'avérer plaisant d'être trimbaler à son esprit défendant dans les méandres de l'anormal, de l'inexplicable, de l'invraisemblable, etc...

Citation : "J’ai tenté de créer une expérience visuelle qui aille au-delà des références verbales habituelles et qui pénètre directement le subconscient de son contenu émotionnel et philosophique. J’ai eu l’intention de faire de mon film une expérience intensément subjective qui atteigne le spectateur au niveau le plus intérieur de sa conscience juste comme le fait la musique. Vous avez la liberté de spéculer à votre gré sur la signification philosophique et allégorique de ce film"

Citation : "Il y a des domaines du sentiment et de la réalité qui sont inaccessibles à la parole. Les formes d'expression non verbales, comme la musique et la peinture permettent d'y accéder, mais les mots sont un terrible carcan"

Citation : "Le troisième monolithe entraîne Bowman dans un voyage intérieur et interstellaire jusqu'au zoo humain où il est placé, qui n'est pas sans rappeler un milieu hospitalier terrestre, sorti tout droit de ses rêves et de son imagination. Plongé dans l'éternité, il passe de l'âge mûr à la sénescence, puis à la mort. Il renaît sous la forme d'un être supérieur, un enfant étoile, un ange, un surhomme si vous préférez, et revient sur terre, prêt pour le prochain bond en avant de la destinée évolutive de l'homme".