Je ne loupe pas une émotion collective majeure et positive, je snobe par conviction un rassemblement de gogos rendus béatement gagas par l'adoration collective d'une bande de millionnaires aux pieds à crampons, héros (auto-)proclamés d'un jeu dit collectif mais glorifiant l'individualisme, aux regles simplistes et pour tout dire, basiques et sans finesse.
(rien à battre qu'ils soient riches. Ce qui me gonfle, c'est qu'une partie de leur fortune provienne de mes impots locaux, vu que la ville continue de subventionner le club à Paris-moins qu'avant pour ce que j'en sais, mais comme même. Et pendant ce temps-là, nous, on galère pour avoir un gymnase ouvert en période de congé scolaire, bordel)