Vos rèves chelous
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Anonyme
521410
Sujet de la discussion Posté le 17/11/2004 à 10:34:06Vos rèves chelous
Postez ici vos rèves vraiment bizarres.
Citation : Ptain j'ai revé de sarkozy cette nuit. Il faisait le l'aerobic en pleine rue
Anonyme
12551
391 Posté le 02/01/2006 à 16:40:21
Citation : Dans un terrain vague, Hvitur et Kubi font du quad. Là dessus arrive Diggy qui leur apprend des purs plan pour piquer des trucs au Casto.
Donc direction le Casto , là diggy commence des truc bien hardcore, genre etc...
Et après ça on ose encore me dire que Diggy n'est pas un fake à Babar...
diggy
8088
Je poste, donc je suis
Membre depuis 19 ans
392 Posté le 02/01/2006 à 17:13:49
tu crois qu'un fake de carlus serait aussi médiocre que ça ?
Anonyme
521410
395 Posté le 07/01/2006 à 11:26:49
J'ai fait un rêve chelou :
J'étais parti en voyage avec ma chérie au Brésil, et on se balladait dans un complexe gigantesque genre 200 étages de galeries etc. On tombe sur un groupe d'une dizaine de personnes qui jouaient dans un endroit délabré assez grand avec beaucoup de monde (il n'y avait pas de scène, c'était tout le monde mis un peu partout, genre super participation du public et super intimiste). J'avais un sac plein de matos (le fantasme du musicien ) et je veux me taper un boeuf avec eux. Je sors du matos genre DJ electro ( ) et je me tappe un délire bruitiste sur leur rythmique, là vieux regards noirs, je me dis ok, je les laisse, tout dégoûté. Ils continuent à jouer et j'y tiens plus : je me relance en gros noise limite expérimental par dessus un morçal avec des accords mi-jazz mi-bossa (ou un truc comme ça ), une grosse basse électro, des percussionistes et des "chants" (un mélange d'interjections, de quasi-beat-box et de vrai chant). Genre le morceau qui envoyait du steack de folie, tout le monde était en transe : le public, le groupe, et moi. Le groupe s'appelait le Brasil New Jazz-Rock Orchestra (nom sans doute inspiré du New York Ska Jazz Orchestra, sauf que le rock était assez anecdotique et qu'il manquait certainement un mot genre électro, post-, alternatif je sais pas quoi). Là, j'ai droit à des sourires et des encouragements, et une superbe collaboration naît, je me souviens encore de deux morceaux : un avec seulement nous qui "chantions" (voir au-dessus) en réponses avec le public (le public qui fait des rondes expressives en transes, je crois que c'est à cause d'un bouquin sur les spirituals et les camp-meetings des Afro-américains à l'époque présecessioniste), et un autre où je trippe avec un piano branché sur une Fuzz Factory (paye ton détail ) et un lo-fi loop junky aussi de Zvex (un phrase sampler qui te permet de dégrader assez sympathiquement la qualité sonore de la boucle.
Bref, du temps se passe, je suis de retour chez moi, et cette expérience, trop belle pour être réelle, j'ai réussi à me persuader que c'était un rêve. Un jour, morose, je sors de chez moi, je vais voir la vieille tenante d'une boutique indétermnée et discute avec elle, elle me parle des jeunes membres d'un groupe brésilien. Mon oeil s'allume, et même si je suis persuadé que ce n'était qu'un rêve, je lui demande si le nom de Brasil New Jazz-Rock Orchestra lui dit quelque chose, elle me dit oui, elle me dit qu'elle a leurs numéros dans ses fichiers. Coup de fil, je pleure de joie, et un peu du vide de toutes ces années gâchées sans eux, et eux aussi, pleurent de joient de m'avoir retrouvé.
Je me réveille là-dessus, les larmes aux yeux, une impression encore trop vivante de ce rêve.
J'étais parti en voyage avec ma chérie au Brésil, et on se balladait dans un complexe gigantesque genre 200 étages de galeries etc. On tombe sur un groupe d'une dizaine de personnes qui jouaient dans un endroit délabré assez grand avec beaucoup de monde (il n'y avait pas de scène, c'était tout le monde mis un peu partout, genre super participation du public et super intimiste). J'avais un sac plein de matos (le fantasme du musicien ) et je veux me taper un boeuf avec eux. Je sors du matos genre DJ electro ( ) et je me tappe un délire bruitiste sur leur rythmique, là vieux regards noirs, je me dis ok, je les laisse, tout dégoûté. Ils continuent à jouer et j'y tiens plus : je me relance en gros noise limite expérimental par dessus un morçal avec des accords mi-jazz mi-bossa (ou un truc comme ça ), une grosse basse électro, des percussionistes et des "chants" (un mélange d'interjections, de quasi-beat-box et de vrai chant). Genre le morceau qui envoyait du steack de folie, tout le monde était en transe : le public, le groupe, et moi. Le groupe s'appelait le Brasil New Jazz-Rock Orchestra (nom sans doute inspiré du New York Ska Jazz Orchestra, sauf que le rock était assez anecdotique et qu'il manquait certainement un mot genre électro, post-, alternatif je sais pas quoi). Là, j'ai droit à des sourires et des encouragements, et une superbe collaboration naît, je me souviens encore de deux morceaux : un avec seulement nous qui "chantions" (voir au-dessus) en réponses avec le public (le public qui fait des rondes expressives en transes, je crois que c'est à cause d'un bouquin sur les spirituals et les camp-meetings des Afro-américains à l'époque présecessioniste), et un autre où je trippe avec un piano branché sur une Fuzz Factory (paye ton détail ) et un lo-fi loop junky aussi de Zvex (un phrase sampler qui te permet de dégrader assez sympathiquement la qualité sonore de la boucle.
Bref, du temps se passe, je suis de retour chez moi, et cette expérience, trop belle pour être réelle, j'ai réussi à me persuader que c'était un rêve. Un jour, morose, je sors de chez moi, je vais voir la vieille tenante d'une boutique indétermnée et discute avec elle, elle me parle des jeunes membres d'un groupe brésilien. Mon oeil s'allume, et même si je suis persuadé que ce n'était qu'un rêve, je lui demande si le nom de Brasil New Jazz-Rock Orchestra lui dit quelque chose, elle me dit oui, elle me dit qu'elle a leurs numéros dans ses fichiers. Coup de fil, je pleure de joie, et un peu du vide de toutes ces années gâchées sans eux, et eux aussi, pleurent de joient de m'avoir retrouvé.
Je me réveille là-dessus, les larmes aux yeux, une impression encore trop vivante de ce rêve.
Heldon jazzyTron
7595
Je poste, donc je suis
Membre depuis 19 ans
396 Posté le 12/01/2006 à 21:07:59
La vie, c'est comme un train de montagne
Shirow
19879
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 20 ans
397 Posté le 12/01/2006 à 21:19:21
J'ai revé de ce .gif , en boucle :
La nuit fut plutot mauvaise .
La nuit fut plutot mauvaise .
Anonyme
521410
399 Posté le 13/01/2006 à 00:57:06
C'est pas pire que quand j'ai rêvé que je faisais un CAP gendarmerie...
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