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Sujet Les conneries on stage

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Sujet de la discussion Les conneries on stage
Alors voila.. ici , c est pour expliquer a la populazione de Back/on stage toute les conneries qui vous etes arrive... Faites peter !

Une par exemple : tonton chouboudou monte sur scene et commence a souffler dans le bignou....bizard, on dirait qui sors rien... discretement je sors de la scene et change les piles de mon HF. Je me rends compte alors que j avais pas mis en route mon emeteur... Quel con qd j y repense :lol: ...
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Je n'y étais pas.

Mais tu imagines bien qu'il m'est arrivé en dehors du Limonaire d'autres plans foireux en 20 ou 25 ans de scène.
Bien qu'en Chanson, j'ai remarqué qu'on éprouve bien moins de galères qu'en expérience rock (bah vii; bikoz j'ai donné aussi un tantinet dans le domaine!).

En Chanson, on est souvent moins d'instrumentistes sur scène, et c'est aussi -par essence même- moins "je (te)cogne et je t'en fous plein les yeux/oreilles avec mon ampli/effets, mes fum's et mes projos"... Ca donne que les pirouettes, s'adressant alors à un public éxigeant, se doivent d'être formulées in situ. On apprend de la modestie.

Une illustration de ce que j'annonce suit, même si tout ceci n'a aucun rapport avec ce que je m'en viens te raconter.

J'invite d'emblée ceux qui n'auraient pas trop le temps de découvrir dans son intégralité cette anecdote (qui commence en chiffre 1/ pour la version longue) à venir au milieu de ma page (chiffre 2) pour découvrir cette histoire en raccourci (juste après le "-------------------------" que je propose à cet effet).
Pour les gens encore plus pressés, y'a même une version ULTRA COURTE (chiffre 3/) que vous trouverez APRES le "HORS-SUJET" orange.



1/


En voilà une qui m'est arrivée aux tout-débuts.
Ca se passait en Belgique.

La RTBF (siglaison pour Radio-Télévision-Belge-Francophone) organise un concours.
On va entamer alors juste à peine les années '80
Bah ! J'ai alors 16 ou 17 ans, tu penses bien que c'est pas ça qui va me faire peur ni même m'entamer le moral...

Mouaip...

De pré-selections en sélections, me voici désormais en direct à la téloche. D'abord à Tournai (à la somptueuse Halle aux Draps), puis 15 jours plus tard à Bruxelles (City II), sur ce qu'on dénommerait certainement à Paris sous le vocable de "grands boulevards".

Je me fais tranquile MA chanson (je ne me suis fait lourder qu'en 1/2 finale, et je vous passe ici toutes les combines que j'allais apprendre bien plus tard...); et me fais fort évidemment jeter vu les applauds -ça marchiat à l'applaudimètre !- que fait récolter pour lui l'herbage d'Italiens expressément venu EN CARS (y'en avait deux !!) applaudir leur nouvelle vedette).

Je passerai aussi très volontiers -mais ce sont ces trucs qui vous font marer- sur le fait que les excellents copains qui m'avaient fait de la pub' dans tout le bahut (ce qui me vallut d'ailleurs quelques temps plus tard "une première partie de Mauroy", alors tout jeune Premier-premier ministre de Mitterrand) me regardaient alors avec un peu moins de considération après mon (finalement très relatif) échec...
Bah vii... Les infâmes s'étaient faits mousser -les vaches-, auprès des rares filles sur la route des Grandes Ecoles (Section "E", vocation maths et technique, quoi ) en leur disant (déjà !) de moi "ben j'le connais, lui, y passe à la télé" !...

(Long soupir retrospectif...).

Mais là où ça cogne, et que ça apprend à vivre et à relativiser, c'est ici -comme le diraient les plus fûtés (en ch'ti = culottés ?) d'entre-nous-.

Je suis à l'instant, sur scène, avec mes condisciples (en un seul mot), et à l'écoute de l'énoncé de nos résultats...
Derrière nous (c'est à dire : hors-champs de la cam', mais en revanche bien visible du public) passent des vedettes de l'écran; vedettes du reste qu'il n'est pas forcément nécessaire de nommer.



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2/ (suite)


Bref; je me fais donc jeter du concours télévisé en 1/2 finale en direct à la téloche.
Vous me direz, y'a pire commme destin...
J'admets.
Quoique, dasn ces instants, c'est pas DU TOUT ça qu'on se dit...
Enfin Bref...
Je fais avec... (en l'occurrence, je fais plutôt "sans"...).

Les caméramen lâchent leurs outils, les suiveurs récupèrent de partout les câbles dans leurs valises tout cependant que, de "l'autre" côté, parquée derrière des barrières de sécurité, une (mince) foule semble toujours attendre. Je n'y loge au départ qu'un oeil bien vague.

Il y a là telle ou telle personnalité qui (se) livre (à) des autographes; je ne m'en occupe pas, affairé que je suis à remballer ma guitare (qui n'est du reste pas la mienne, je me suis faite prêter bikoz keu la mienne ben elle aurait pile-poil paru un peu trop cheap à l'image...).

C'est alors que, backstage -et hors portée de "les" voir-, j'entends mon nom plus ou moins -mais de plus en plus- scandé par un public désormais (ça s'entend bien) clairsemé...
Bah...
J'y vais !

J'y vais, pas du tout mauvais-perdant (je reprends d'ailleurs mon basique et trivial sourire de circonstance); oui j'"y" vais... juste genre dans l'esprit de remercier ceux qui ont aimé ce que je fais, "quoi".
Bah vii...
Mon instinct d'alors ne m'aura pas forcément dû mener au bon endroit de ce reste de foule...

Preuve en fût: je me dirige tout droit (comme quoi, les instincts...) vers le petit groupe où, derrière la barrière ( je veux dire: devant, pour "les filles" ), derrière la barrière, dis-je, entre autres groupes, reste accumulé un plus petit groupe composé d'une dizaine de filles, leur carnet à la main et le stylo tendu pour se faire signer des autographes...

Euh...
Ben...

Je conyinue d'y aller.
Mine de rien. (Le terme "rien", vous le constaterez dans quelques lignes, n'est pas trop fort).

Je me rengorge, sans évidemment n'en rien laisser voir (?), tel l'ado que je suis -et n'en finirai plus du reste au grand jamais pas de rester-...

Ca vacarme, donc encore, de brouhahas ambiants -non pas ceux souvent feutrés de l'équipe technique, mais bien de ceux de la foule, et que les murs de toute la surface de la structure bruxellaire de tout City II y réverbère alors en les répercutant-.

Privilégiant (?) alors d'"adresser" mon regard sucré et ma mine avenante (comme quoi on peut se gourer deux fois dans la même journée-) à celle qui, d'instinct (re-connerie !), en une seconde parviendrait le mieux à "me consoler" hypothétiquement dans ma semi-défaite, mais aussi pour située qu'elle se trouve être stratégiquement au centre géographique de toutes ses copines, j'avance donc avec plus que moins de condescendance le bras pour me saisir de son carnet-à-autographes... En vue, "bien sûr" "de le signer, "quoi"...

Et là...
Ben, mes pauvres Afiens...
Alors là; ô vous tous, mes dignes Compatibles en douleurs...

V'là t-y pas que cette vacherie me ravit avant que je ne le touche le sésame que je m'apprêtais avec chaleur -et à des deux mains (carnet + stylo)- à lui signer ! ...

Intrigué -ben oui, 'faut bien faire bonne figure à 16 ans devant dix gonzesses au milieu d'autes groupes-, je m'approche pour faire semblant de faire cas (ou même simplement connaître la raison -mais ça passe à tout âge au second plan, ça-) de ce "retrait" soudain de carnet... Je m'approche donc furtivement, à pas de loup, pour entendre l'argument que tente de me présenter dans ce délire la fille dont je ne connaîtrai désormais jamais rien, en ce pas même le prénom...

Son argument étant très simple, elle me le livre sans détour dans ce geste qui ne dure qu'une fraction de seconde et qui me dure à moi l'éternité...: elle "m" 'ôte donc son carnet (que j'ai pu néanmoins constater vierge) sous mpes yeux en disant:
"Non-non: C'est juste, comme vous êtes bien placé, j'aurais aimé avoir des autographes de ceux qui sont derrière le rideau..."

...

Bah... !
Ca fait partie des trucs qui apprennent à vivre... et de contenir en moins d'une seconde nos passages de l'amour platonique à la haine plate et tonique...
Mais bon... c'est pas non plus ce qu'on se dit sur le moment...


Hors sujet : N.B. (NB c'est pas une boîte de jeux, je dis ça pour nos amis Dij.): J'ai eu plein de bonheurs, aussi !... Ben pourquoi y'a pas, comme vous dites, de thread (fil) ou topic (thème, question) à ce sujet ?
C'est ki ki 6 coll ?, et sans modération ?




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3/

ATTENTION: VERSION ULTRA-RACCOURCIE POUR LES GENS PRESSES !

J'ai 16/17 ans alors, et je participe en direct à la téloche à un concours.
Chacun des candidats chante son titre, jusque là tout allait bien, à part que je me fais virer.
Mais c'est pas ça le plus triste.
Triste n'est d'ailleurs pas le mot convevu, puisque j'ai le vague sentiment que vous allez encore vous bidonner...

L'émission s'achève, le public derrière les barrières commence à se barrer, sauf quelques habituels irréductibles qui attendent pour chopper un autographe des vedettes qu'ils voient passer derrière le décor où on vient de jouer...
Comme j'entends hasardeusement scander mon blaze en rangeant ma gratte, -et de plus par des voix féminines-, pensez bien que je rapplique darre-darre vers le groupuscule...

J'aperçois l'une des filles qui me tend un carnet et un stylo.
... Bah... j'vais pas faire le difficile, quand même!
Je suis fier comme un bar-tabac (wouaf-wouaf !) mais je me la
joue "habitué, grande-classe", un petit sourire convenu en signe de reconnaissance à quelqu'une qui m'aura déjà vu trois fois à la télé et qui apprécie forcément ce que je fais, quoi...

C'est alors que l'ôdieuse hétaïre (la meuf, quoi) me ravit d'un geste, et
sous le regard de ses dix copines "mon" carnet et "mon" Bic (que j'ai eus à peine, et c'est même pas sûr, juste le temps de frôler)...

Elle m'explique sans excès de gène:
"Non-non: c'est juste, comme vous êtes bien placé, j'aurais aimé avoir des autographes de ceux qui sont derrière le rideau..."


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Rideau !




A meilleur entendeur;

S'lut !
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Y a un thread sur les bonheurs et les bons souvenirs...

il a fait un bide !
:lol:
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Tien, ben jen ai une toute fraiche.. :D:
samedi soir au lycée, soirée dj+rock, mon groupe joue en premier.
pour la sono des instrus, on a tout sur scène, mais pour la voix, on avait cramé la table de mixage a cuase d'un problème de masse, donc on utilise un micro amplifié par le dj...
on entre su scène, le micro marche pas!!! on l'avait pourtant utilisé pendant les répètes toute l'aprem!!! en fait, les cables qui relient le micro aux enceintes sont débranchés...
réparation donc... smells like teen spirit, donc ambiance de ouf, pogo et tout ltralala, jusqu'au deuxième refrain où le dj a l'idée de mettre le son de la voix vers le fond de la salle... et de couper le retour!!! du coups on n'entend plus la chanteuse, et donc, n'ayant répété qu'une seule fois, on se basait sur elle pour le brige a la fin du refrain...
du coup, on le joue trois fois au lieu de deux, la chanteuse fait une (très!) drole de tete :???: mais bon, ça passe... voilà, c'est tout pour le momment...
ps: après ce salle coup, le dj s'est kan meme débrouillé pour oublier de monter le son du clavier sur break on trough du coup, y s'est tapé le matos a ranger tout seul!!! ça lui aprendra! na
La Nasa a passé 10 ans et dépensé 12 billions de $ pour fabriquer un stylo fonctionnant en gravité 0... Les russes utilisaient des crayons...
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Ben c est pas une connerie mais bon c est mon thread alors bon... Le We dernier, une fan m a offert un zolie cadre avec ma photo :aime: ... C est bien la premiere fois.
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Hors sujet : On veut voir la voir !
:bravo:

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On ne voit bien qu'avec les yeux. Le cœur est invisible pour l'essentiel. 

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Ce thread est devenu une référence pour moi. Merci à Chouby et tous les autres.
J’y vais donc de mes ptites anecdotes de la loose…

Fête de la musique 2005. On est contents : première scène depuis l’arrivée du batteur, doubles corps tout neufs, c’est la fête du slip. Le truc est organisé par le café-concert / locaux de répètes où on officie. Sympa, il y a deux scènes en extérieur espacées d’une centaine de mètres qui alternent et nous, on clôture la 1ère scène.

1ère surprise, je vois en arrivant qu’ils ont installé les tables du café en extérieur. Ça fait terrasse sous le soleil, il y a du monde, c’est cool, ambiance vacances. Mais en me rapprochant, je vois que la moitié de la foule est constituée d’un car de trisomiques ou paraplégiques en fauteuils roulants à qui ont fait prendre l’air ! Le groupe à ce moment là étant « grô bourrin », la scène était assez surréaliste : une bande de triso en fauteuils devant un groupe de métal, ça aurait mérité une photo… :bravo:

Bon, ensuite, le truc con, mais qui m’a ruiné. On passe backstage pour prendre notre matos qui est constamment stocké dans le local et on l’amène derrière la scène pendant que le groupe de métal finit son set. Un détail, un des techos des locaux avais mis auparavant des ptits autocollants sur ma tête et sur mon baffle avec le nom du groupe. Faut aussi savoir que ce matos est stocké dans un local où seuls les techos ont accès. Même moi je vais pas chercher mon ampli, c’est eux qui me l’amène. Et donc là, que vois-je ? Sous le nom du groupe, quelqu’un a rajouté « ENCULES » !!! Oooh putain sa mère la chienne du Gévaudan :furieux: ! Donc je suis sur le point de monter mon matos et je lis « nom du groupe – ENCULES ». Bon, c’est niveau 6ème, mais quand même : argh le moral ! Déjà que j’étais pas frais pour une première scène depuis un moment, voilà pas qu’on me colle le doute à base de « ça y est, on nous aime pas, c’est sûrement un mec d’un autre groupe qui cherche la merde, etc. ».
Je gueule un peu (« mais putain, qui est le connard qui a écris ça ?») et c’est le gros batteur de métal en marcel et tout musculeux qui répond en descendant de scène : « c’est moi »… bien sûr il déconnais, mais pendant une seconde ou deux, je me suis demandé s’il fallait qu’on se mette sur la gueule tout de suite ou après le set…

Bref. On monte pendant qu’un autre groupe enchaîne sur l’autre plateau. On fais pas de balances because ça va s’entendre depuis l’autre scène et on va les gêner. Alors tout ce qu’on fait c’est : un accord de gratte, une note de basse et un « un deux test » dans les cromics juste avant de jouer (c’était le deal, on avait été prévenus). Donc dès la fin de l’autre groupe faut qu’on enchaîne vite vite vite pour que le public rapplique. On commence par une ptite musique d’intro un peu bonne ambiance. Je lance deux mesures tout seul à la gratte et là, l’hallucination, les deux autres (batteur et bassiste) balancent les pêches exactement N’IMPORTE COMMENT ! La 5ème dimension. Moi, avec la bouche béante, je les vois partir complètement à côté de ce que je fais, comme si rien n’était. En fait, ils entendaient rien de la gratte (qu’un seul retour, devant mon micro de chant, et avec ma voix dedans). Ils me font piger le problème, et je dois donc lâcher des accords pour tourner les potards et arriver à un truc potable. Mais moi, ça y est : on m’a ruiné mon groove (Kuzco inside)… A partir de là, c’est parti pour un set coincé du cul où tu t’évades dans ta tête en attendant que ça s’arrête. Tu rajoutes à ça quelques pains (un pur moment de solitude : moi qui chantes avec des bêtes croches à la grattes sur les temps au charley… comme on s’entendait pas et que j’ai tendance à speeder avec le stress, j’ai fait deux ou trois gros décalages bien audibles, la pure humiliation), le fait qu’il y avait personne devant nous à moins de 3 mètres sauf un mec bourré qui pogotait tout seul (ils avaient rentré les trisos au bercail, les enfoirés), et tu sens bien la loose.
On a vu la vidéo après : en plus, le seul spot qui m’éclairait était braqué sur mon buste avec donc ma tronche dans le noir. Le bassiste, n’entendant rien et déjà pas à l’aise sur les chœurs en temps normal était faux de chez faux (un truc qui donne envie de se suicider sur place). Bref, le genre de fête de la musique où tu rentres chez toi et tu revends tout ton matos sur audiofanzine dans la soirée.

Et bizarrement, alors que j’essayais d’oublier cette pure merde en bouffant une part de pizza froide dans la partie « catling » (c’est une vraie salle de concert normalement, ils savent y faire les salauds), une bande de djeuns me demande si j’ai un stylo. Je cherche un stylo dans mon sac avec ma pizza entre les dents en me demandant s’ils pouvaient pas demander ça à quelqu’un d’autre, j’ai besoin d’être seul là… et surprise totale : ils veulent en fait que je me serve du stylo pour leur signer des autographes ! N’IMPORTE QUOI :8O: !!! J’ai eu besoin de 5 secondes pour les jauger tellement j’étais persuadé qu’ils se foutaient de ma gueule… Conclusion, toi, tu vis un truc. Les autres, pas forcément la même chose…

Bon. J’ai le moral qui remonte un peu. Mais la semaine suivante, en sortant de répète, je me fais interpeller par un grateux qui me gueule de l’autre côté du parking : « pas mal votre concert à la fête de la zic. Mais t’es vachement influencé années 80 toi hein ? ».
Putain se mère en slip de force, cette fois ci, il y en a un qui va payer pour les autres :fache: ! Mais non, finalement, c’était pas une critique, le mec avait 35 ans et ça lui avait rappelé des trucs qu’ils avaient écouté genre Maiden et Cie…

Et pour le tag « ENCULES » sur mon matos, il suffisait de passer le doigt, le feutre partait tout seul. Et on a appris que c’était un des techos qui aime régulièrement faire cette blague. Humour de merde, moi je dis…

La vie de zicos amateur = beaucoup de naïveté, une bonne dose de foi (ou d’obstination aveugle) et un moral en béton.
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Citation : « pas mal votre concert à la fête de la zic. Mais t’es vachement influencé années 80 toi hein ? »


:ptdr: :ptdr: :ptdr:
Yoga, bains à bulles, derrick à la télé... Bref, à tout prix faire baisser son stress... :bravo2:
T'inquiètes, grosbeuh, des gens qui ont la phrase ultime pour te pêter le moral, il y en a plus qu'on le croie. Ca veut pas dire que c'est justifié !!!

Tiens, un pote m'a raconté une phrase culte, qu'un sosie de johnny a dit après avoir massacré son idole dans le cadre d'un karaoké :
"Ils m'ont pas applaudit..........mais presque !!!! "

Mais si, mais si, on va y arriver...