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Sujet [Bien débuter] Le volume au mastering

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1 [Bien débuter] Le volume au mastering
Le volume au mastering
Cet avant-dernier article de notre série consacrée au mastering maison est sans doute celui que vous attendez tous. En effet, aujourd’hui nous allons vous donner quelques astuces pour avoir « Ze Gros SON qui tâche ». Mais commençons d’abord par une petite mise en garde…

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car dans la playlist top dance 2015, il faut avoir la plus grosse par rapport au autre, car l'oreille humaine ressent une augmentation sensible de volume comme une amélioration.

 

 

Matos Basse: PV T40, Fender Mustang bass, GK backline 210

Matos Guitare: Jaguar jap', Pedale SD-1 japan, Small clone, bassballs, Rc1 Ampli Epiphone valve junior hot rod avec V30.

42
Citation :
C'est pourquoi que je n'arrive pas à comprendre l'intérêt de cette discussion : "pourquoi (ne pas) mixer avec un fort volume ?"

C'est ce que propose Bob Katz avec le "K System" où il y a un lien entre le niveau lu à l'écran et le niveau SPL
C'est aussi pour quoi tous les bons systèmes d'écoutes utilisés en mastering permettent de comparer à niveau SPL équivalent le mix et le mastering.
Car si notre oreille analyse dans un premier temps "plus fort" comme "mieux"; lorsqu'on comparer à niveau sonore identique, on se rend vite compte de la dégradation de la qualité. Un mastering réussi doit sonner MIEUX, et accessoirement, plus fort. Sonner plus fort et moins bien = mastering loupé, c'est tout.
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Pour continuer avec les questions de débutant : est-ce que l'effet est le même lorsque l'on cherche à gagner du volume avec les méthode mastering (limiter, loudness maximiser...) et quand l'utilisateur tourne le bouton volume de sa chaîne ? Parce qu'en mix, pousser un fader et mettre un limiter n'a pas du tout le même effet. Pourtant il y a de nombreux posts parmis les précédents qui conseillent de laisser le soin à l'auditeur de pousser le volume. Judicieux ?
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Citation de poulParce :
...pousser un fader et mettre un limiter n'a pas du tout le même effet.

Dès que limiteur entre en action il modifie le son. Quand c'est bien fait, cette action reste discrète.

[ Dernière édition du message le 07/08/2014 à 00:04:41 ]

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D'accord, donc globalement pour l'auditeur, si c'est bien fait, cela lui évite juste de toucher à son bouton de volume... Du coup je comprend mieux les audiophiles qui se plaignent : pour eux, cela revient à leur donner une version dégradée de l'album, tout ça pour que d'autres n'aient pas besoin de toucher un potard. Dommage pour eux en effet. Moi j'ai de la chance, je ne crois pas entendre la différence.
46

Citation :

Moi j'ai de la chance, je ne crois pas entendre la différence

 Une chance ? Vraiment ? 

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Si au final j'ai plus de plaisir à écouter, oui ;)
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Pour ma part je ne fais pas de mixage de musique uniquement, mais lorsque je fais des films. Et j'ai toujours pas compris pourquoi en restant pile dans les normes (au vu mètre et crête mètre) et que je converti mon film en dvd ou en fichier pour ordi ou internet, je me retrouvais avec un son beaucoup plus faible que les dvd du commerce ou ma playlist i-tunes... Donc au fil des ans j'ai appris à dépasser les limites théoriques (sans pour autant aller jusqu'à l'écrétage) . Du coup j'essaierai la prochaine fois cette technique parallèle pour voir ce que ça donne...
49
Citation de nedd :
Et j'ai toujours pas compris pourquoi en restant pile dans les normes (au vu mètre et crête mètre) et que je converti mon film en dvd ou en fichier pour ordi ou internet, je me retrouvais avec un son beaucoup plus faible que les dvd du commerce ou ma playlist i-tunes...

Parceque les DVD du commerce sont fortement compressés...
50
Citation :
Moi j'ai de la chance, je ne crois pas entendre la différence.

Moi j'ai de la chance aussi : quand j'ai le nez bouché, je ne sens pas les mauvaises odeurs...

Punaise ! on lit quand même des choses abominables...
Plus sérieusement, c'est peut-être que tu écoutes de la musique peu compressée, ou que tu n'as pas une oreille assez affutée (ou pas assez capable d'analyse et d'entendre quand le son se dégrade).
Un limiteur n'est jamais transparent. C'est pour cela qu'il doit intervenir aussi peu que possible. C'était le cas il y a des années : le limiteur intervenait cinq fois sur un titre. Actuellement, il est des musiques où le limiteur intervient en permanence : la qualité en pâtit par la force des choses.