Le Pub d'AutoProd & Business (Ex - marché du disque c'est la cata!)
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Anonyme
l'heure est grave pour les maisons de disques ! beaucoup d'artistes se font viré , les signature de nouveaux talent sont casi rare et le personnel est licencié peu a peu
LA CAUSE PRINCIPAL SELON 80% DES PRODS = le peer to peer et téléchargements
plus personne ne bouffe , ni les producteurs , ni les distributeurs , ni les maison de disques , et encore moins les artistes auteur compositeur (" />
CatWired
si un pti commerce, n'importe quoi genre un kebab, veut mettre une télé ou une radio il doit payer une bonne grosse taxe a la sacem.
de plus un video club ou une mediathèque ils payent aussi plusieurs fois le prix de l'oeuvre qu'ils vont louer ou preter
enfin il ya aussi une taxe sur les supports numériques (Cds vierges, disques durs, lecteurs Mp3 ou DivX, decodeurs numériques ou satellites ...) (alors que la loi DADVSI rend la copie 'pirate de base' illégale et la copie privée inapplicable avec la banalisation des drms et systemes anti copies, cette taxe est toujours appliquée)
en france on est je crois un des pays ou l'on comsomme le plus de cds vierges par habitant (230 millions de CD-Rs vendus en france en 2003 et ca a du bien augmenter depuis) et tu taxes environ 50 centimes par cd. y'a les dvds aussi j'ai pas eu tous les chiffres mais on s'approche apparemment a grand pas des 100 millions d'euros par an en tout.
meme la RIAA pourtant pas super sympa estime a moins de la moitié le nombre de cds/dvds vierges ayant servi a une copie pirate.
maintenant en plus de tout ca si on se la joue gore . si tu fais une taxe a l'abonnement internet sur toutes les lignes ADSL de disons 15 euros par mois ( je sais c'est cher mais si on vient plus me faire chier et qu'on fait une répartition beaucoup plus équitable qu'actuellement des fonds générés par toutes ces taxes je suis d'accord pour lacher mes 100 balles par mois)
alors c'est parti :
15x10.000.000x12 =1.800.000.000 euros par an
pour info la sacem a généré 630 millions d'euros l'année derniere sur les droits en france
si en plus on comptes toutes les taxes cités précédemment,
ca laisse de la marge nan mais franchement (oh la vache c'a y est c'etait a prévoir ca m'a rendu véner mes ptis calculs )il est ou le problème
a part que certains s'en mettent toujours plus dans les poches pendant que la majorité galère chaque jour un peu plus.
j'insistes vraiment sur ce point parce que c'est le meme problème partout : la répartition inégale et injuste des thunes
pour le marché du disque tout est inégal voir ridicule : ce que touche l'artiste par rapport au distributeur sur le prix du disque (5% contre 50%)
la diffusion audiovisuelle(5% de ce qui sort squatte 95% des medias)
jusqu'a celle en magasin.bah oui etre bien exposé dans une Fnac ou un Virgin ca se paye au prix fort aussi)
et puis aussi la repartition des droits d'auteurs de la sacem qui sont estimées sur le nombre présumé de diffusions d'une oeuvre d'un artiste.
les artistes qui gueulent le plus contre le piratage sont de loin mais alors de tres loin ceux qui sont le plus a plaindre
en plus il ne faut pas oublier que en terme d'oeuvres numérisées et diffusées légalement par internet la reproduction ne coute rien, la diffusion ne coute rien, par rapport au circuit classique.
alors quand je vois les formules legales de telechargement, que je vois le prix des titres en ligne et que je vois qu'en plus ils ont essayer de fourber les droits d'auteurs sur leurs ventes en ligne.
quand je vois sony et son joli rootkit utiliser des méthodes de pirates pour lutter contre le piratage
quand je vois ........
je me dis vraiment il va falloir arreter les conneries un jour ou l'autre.
parce que ce système va droit dans le mur
j'ai pas mal cherché et essayer de recouper mes sources avant de sortir tous ces chiffres. je me dis sans aucune prétention que meme si il y a des imprecisions ca tient un pti peu la route quand meme mon raisonnement nan ?
je sais pas j'attends vos réactions
a +
New Video with ALEM :
BEATBOX & GAMEBOY SOUND | Live Session | "TRAPSIDE"
1er album : GameBreaker ( A Game Boy OST )
8bit Hip Hop, Break, Dub, and Drum'n'Bass
olix
Citation : pour le marché du disque tout est inégal voir ridicule : ce que touche l'artiste par rapport au distributeur sur le prix du disque (5% contre 50%)
Mais l'artiste touche sur les concerts, évènements, merchandising, et pas le distributeur.
On a tous compris que le disque devient un article de promotion, dont le prix baisse, logiquement, de + en +. Le système doit être repensé sans le disque.
Mon nouvel album "Zen Universe" vient de sortir :
http://www.qobuz.com/fr-fr/album/zen-universe-olivier-renoir/0806417200732
CatWired
sinon voici une lettre ouverte de Roberto Di Cosmo et ce monsieur s'exprime beaucoup mieux que moi alors je vous la mets.
http://www.framasoft.net/article467.html
les chiffres sont plus détaillés et certainement plus surs que les miens.
New Video with ALEM :
BEATBOX & GAMEBOY SOUND | Live Session | "TRAPSIDE"
1er album : GameBreaker ( A Game Boy OST )
8bit Hip Hop, Break, Dub, and Drum'n'Bass
tropik
http://www.parti-pirate.info/?page_id=12
http://goodies.parti-pirate.info/parti-pirate-LCI2_NEW.wmv
Pako33
Meme sans parler d'argent, se faire voler par certains ses propres productions en 30s et sans scrupule, c'est surtout ca qui prend un peu le choux...Et je dis bien par certains...
Pis le probleme, c'est que comme pour l'article de "Roberto Di Cosmo", ben ils s'attaquent toujours à la poignée d'artistes qui gagnent des millions mais jamais au petits labels indépendants qui ferment les uns derriere les autres depuis 5 ans...Car ils sont telechargés exactement de la meme manière mais avec beaucoup moins de moyen...Va interviewer un mec qui à un label indé pour savoir ce qu'il pense des p2p, tu vas voir ce qu'il va te dire...Je parle des labels indé qui sont un minimum connu, pas les mec qui pressent 2 vinyls dans l'année...
Parceque bien souvent, ils n'ont pas les moyens de faire du CD donc ils balancent sur vinyl et sur les sites de telechargements légaux et resultat on trouve sur les p2p les vinyls rippés en mp3...
Citation : Le parti pirate français...trollesque ou serieux...à vous de voir, mais moi j'aime bien, juste pour le contre !
La pareil, des pauvres types qui en ont marre de la société...
Voila les charlots...
Mucky Bear
Pensez au nombre de gens qui s'en foutent de la politique "traditionnelle" (la moitié des moins de 35 ans, disons) et qui téléchargent sur le p2p (bah merde, c'est les mêmes...)...
Un autre truc qui tue: il n'y a jamais eu autant de disques publiés qu'en 2005, et jamais de ventes "indés" qu'actuellement, alors le p2p, ça fait surtout chier les vendeurs de compil et de singles, qui de ce fait visent les moins de 12 ans (source: un DA de maison de disques) "les seuls qui ne téléchargent pas"
Pako33
Citation : Pensez au nombre de gens qui s'en foutent de la politique "traditionnelle" (la moitié des moins de 35 ans, disons) et qui téléchargent sur le p2p (bah merde, c'est les mêmes...)...
Vaut mieux que tu dises que pour toi la moitié de moins de 35ans se foutent de la politique traditionnel et non pas "disons"...
Citation : il n'y a jamais eu autant de disques publiés qu'en 2005, et jamais de ventes "indés" qu'actuellement
T'as vu ca où toi?
Mucky Bear
Citation : MUSIQUE • Internet fait du bien aux labels indépendants
Sur fond de crise de l’industrie musicale, les petites maisons de disques semblent tirer leur épingle du jeu.
Tandis que l’industrie du disque dresse le bilan d’une année qui aura vu à nouveau baisser ses ventes, certains signes montrent qu’une démocratisation de la musique grâce à Internet est en train de modifier l’équilibre des forces au sein de l’industrie musicale. Exploitant notamment les forums et les blogs musicaux, les compagnies de disques indépendantes réalisent de grandes avancées aux dépens des quatre conglomérats musicaux mondiaux, dont le modèle commercial bien établi consistant à promouvoir des hits grâce à la diffusion radiophonique paraît de plus en plus dépassé.
Si les ventes de morceaux distribués par des services tels que iTunes Music Store ont connu une augmentation de 150 % en 2005, avec plus de 320 millions de morceaux vendus, cette progression ne suffit pas à compenser la plongée brutale des ventes de CD. Pourtant, en dépit de cette baisse globale des résultats, des dizaines de labels indépendants tirent leur épingle du jeu grâce à des ventes stables d’albums de groupes comme le rappeur Pitbull, originaire de Miami, ou de groupes indépendants tels Hawthorne Heights, Bright Eyes, Interpol ou Arcade Fire. Les labels indépendants auront représenté en 2005 plus de 18 % des ventes d’albums, soit leur plus grosse part de marché depuis au moins cinq ans, si l’on en croit les données du cabinet Nielsen SoundScan. A l’ère des connexions haut débit, des baladeurs MP3 de 60 gigabytes et des listes de lecture personnalisées, les consommateurs ont peut-être plus que jamais la possibilité de satisfaire leurs goûts musicaux en dehors des vitrines traditionnelles de l’industrie, au premier rang desquelles figurent les stations de radio et MTV.
les internautes cultivent leur différence musicale
“Ce sont les fans qui décident”, remarque John Janick, cofondateur de Fueled by Ramen, un label indépendant de Tampa, en Floride, dont le catalogue comprend des artistes underground comme Panic ! At the Disco et Cute Is What We Aim For. “C’est fini, l’époque où l’on pouvait faire avaler et acheter n’importe quoi aux gens. Et ce n’est pas parce qu’ils sont plus intelligents : c’est tout simplement qu’ils peuvent faire ce qu’ils veulent en tapant sur leur clavier. Ils ont la possibilité d’aller dénicher quelque chose de cool et de différent. Ensuite, ils en parlent à leurs amis et l’engouement se répand”, affirme-t-il. Plusieurs indicateurs montrent que plus les consommateurs prennent l’habitude d’aller chercher leur musique en ligne, plus ils sont attirés par des choix musicaux différents des gros succès figurant en tête du box-office. Cette tendance suggère que le répertoire des labels indépendants trouvera un public de plus en plus large.
Sur le service américain d’abonnement musical en ligne Rhapsody, par exemple, les cent artistes les plus médiatisés ne représentaient, pour le mois de novembre 2005, que 24 % des morceaux que les consommateurs ont achetés dans son catalogue, souligne son responsable, Tim Quirk. “Aujourd’hui, ce n’est plus la grosse machine qui distribue quelque chose à un public de masse. Ce serait plutôt une infinité de publics restreints qui sélectionnent ce qu’ils veulent à n’importe quel moment”, poursuit-il. Pris dans son ensemble, le secteur indépendant réalise d’ores et déjà de plus grosses ventes que deux des majors, Warner Music et EMI. Et les plus ambitieux des dirigeants de labels indépendants entendent bien conquérir un territoire plus vaste encore. Ils ont ainsi créé en 2005 un nouvel organisme commercial qui devrait désormais leur permettre de se présenter unis lorsqu’ils signeront des accords avec des services de musique en ligne.
Les grandes compagnies musicales achètent, pour leur part, des espaces publicitaires sur des blogs qui proposent des fichiers musicaux gratuits, et en 2005 Interscope Records, un département d’Universal, a signé un accord lui permettant de distribuer la musique d’un nouveau label créé en partenariat avec MySpace, un site communautaire qui revendique 40 millions de membres.
Pourtant, la progression des labels indépendants ne semble pas provenir exclusivement de la rumeur courant sur la Toile. Les petits labels sont devenus les chouchous des responsables des accompagnements musicaux pour la télévision ou le cinéma, qui recherchent des sons sortant des sentiers battus. Et les indépendants placent leurs albums sur les rayonnages de gros détaillants comme Best Buy, souvent avec l’aide d’une entreprise de distribution appartenant à l’un des quatre géants musicaux, comme Warner Music. Mais aucun facteur n’est aussi significatif que le Net, qui a bouleversé les schémas de vente jusqu’ici en vigueur, et, ce qui est sans doute encore plus important, renversé la hiérarchie traditionnelle des moyens de promotion de la musique. La rumeur entourant un groupe underground peut se propager à la vitesse d’un virus, permettant à un groupe de connaître une consécration nationale avant même d’avoir signé le moindre contrat d’enregistrement : ce fut le cas, en 2005, du groupe de rock indépendant Clap Your Hands Say Yeah [en concert le 13 février au Trabendo, à Paris].
Le secteur indépendant ressent lui aussi les effets du ralentissement général de l’activité de l’industrie musicale que l’on constate depuis plus de cinq ans. Ils souffrent du piratage et de la concurrence de nouveaux produits : les DVD et les jeux vidéo. Mais les petits labels ne partagent pas les craintes qu’éprouvent certains responsables de majors. Beaucoup d’entrepreneurs indépendants sont confiants, parce que les opérations qu’ils lancent, moins lourdes que celles de leurs aînés, visent des ventes plus modestes. A la différence des majors, les labels indépendants ne dépensent pas de grosses sommes pour réaliser des clips branchés ou pour faire passer leurs poulains à la radio. Un label indépendant bien installé comme Matador Records – qui a signé des artistes tels que Pretty Girls Make Graves ou Belle and Sebastian – peut réaliser des bénéfices après avoir vendu 25 000 exemplaires d’un album ; chez les grands majors, on ne commence généralement à parler de réussite commerciale qu’à partir de 500 000 exemplaires vendus.
Une tendance qui risque de s’accentuer à l’avenir
“Personne n’essaie de vendre 6 millions d’albums, nous essayons juste d’en vendre le plus possible”, souligne Chris Lombardi, le fondateur de Matador. “Nous nous fixons des objectifs réalistes.” Associé à la pression que subissent les grosses compagnies pour satisfaire leurs objectifs financiers trimestriels, le glissement du marché joue au profit des petits labels qui peuvent prendre le temps de conquérir de nouveaux fans, remarquent les entrepreneurs indépendants. “Les gros labels sont soumis à une pression terrible pour justifier chaque nouvel investissement, lequel doit générer un retour immédiat”, observe Steve Gottlieb, responsable de TVT Records, qui a dans son catalogue Lil Jon et Ying Yang Twins, lesquels comptent parmi les rares artistes indépendants à être diffusés par les grandes radios. “Ce genre de contrainte n’autorise pas le temps supplémentaire ou l’album de plus qui permettraient à un nouveau U2 ou à un nouveau Bruce Springsteen d’émerger. Les majors ne se préoccupent que des artistes susceptibles de faire des ventes très vite, ils ne s’intéressent plus du tout, à de rares exceptions près, à la maturation d’un artiste”, regrette-t-il.
C’est aussi l’avis de Britt Daniel, le chanteur et parolier qui dirige le groupe Spoon, des Texans d’Austin, qui remarque que l’expérience de son groupe en offre un bon exemple. Quand le groupe a été remercié par Elektra, en 1998, il a signé un nouveau contrat avec le label indépendant Merge. Son troisième album, Gimme Fiction, vendu sous ce label, s’est vendu à plus d’une centaine de milliers d’exemplaires, devançant largement les deux précédents et devenant l’un des albums les plus remarqués de l’année. “Il y a des groupes formidables chez les gros labels et de mauvais groupes chez les indépendants, mais il semble que les disques enregistrés sous des labels indépendants aient cette image plus créative et plus authentique, résume le chanteur. Nous sommes peut-être entrés dans un cycle de quelques années où on va considérer que le vrai truc, c’est la musique indépendante. Parfois, j’ai cette vision un peu cynique, mais les gens me disent que non, que dorénavant ce sera comme ça.”
Jeff Leeds
The New York Times
Mucky Bear
Citation : Les labels indépendants auront représenté en 2005 plus de 18 % des ventes d’albums, soit leur plus grosse part de marché depuis au moins cinq ans, si l’on en croit les données du cabinet Nielsen SoundScan.
Hors sujet : Si jamais il faut supprimer le post du dessus pour des raisons d'illégalité toussa....
Mais - Mea Culpas - Je suis allé un peu vite 2 messages plus haut
banana_fr
Citation : Parceque bien souvent, ils n'ont pas les moyens de faire du CD donc ils balancent sur vinyl
n importe quoi !!! tu sais c est quoi la difference de cout pour un pressage vinyl et un CD? le CD coute BEAUCOUP MOINS CHER. Serieux c est stupide d ecrire ca .... Presser des vinyls et les distribuer est devenu tres couteux. Si ils pressent des vinyls c est surtout parceque ils ont une clientelle de collectioneur qui preferent ce support, mais en aucun , mais aucun cas pour faire des economies... serieux il y en a quand meme qui hesite pas a raconter nimp.
Citation : jamais au petits labels indépendants qui ferment les uns derriere les autres depuis 5 ans...
autre n importe quoi. Tu vis ou toi sur une autre planete ? D une les petits labels ont toujours fermes les uns apres les autres, ce que tu oublie de dire c est qu ils ouvrent aussi les uns apres les autres. Ensuite il n'y en a jamais eu autant que aujourd hui. Internet est une benediction pour les label inde, et les petits producteurs qui vendent de plus en plus directement . Tu te demande pas non plus pourquoi la plupart des ces pauvres petits labels pirates refusent les DRM ?
Donc meme si il est probable que le p2p met certain labels en difficultes, je ne crois pas que ce soit la principale raison a leur fermeture (justement la concurrence et la profusion de petits label, c ets la loie du marche qu est ce que tu veus... d autre part comme ca a ete dit et redit les menage font des achats plus diversifies , comme les DVD et les jeus videos...) , alors que d autres tout aussi pirates prosperent et meme profite d internet (voir du p2p) pour se faire connaitre et se developper.
Citation : La pareil, des pauvres types qui en ont marre de la société...
Voila les charlots...
on sait qui c est le charlot ! t inquietes...
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