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Souvenirs, nostalgie et autres petits remèdes pour vieillir sereinement

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Sujet de la discussion Souvenirs, nostalgie et autres petits remèdes pour vieillir sereinement
Ici on se remémore le passé, on honore les mercredis après midi, l'île aux enfants et autres petites joies de l'enfance.
On met aussi en photo le sèche-cheveux moulinex de maman parce que c'était l'accessoire à la mode et on cherche la série qui passait avec Robert Conrad qu'on adorait mais dont on a oublié le nom.

Let's go :bravo:

1938854.jpg

« Ce n'est pas sur une montagne qu'on trébuche, mais sur une pierre. » - Proverbe indien

Mes photos ici

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1781
Bref coma et santé défaillante tout le restant de l'année scolaire pour une copine de classe qui avait eu la mauvaise idée de laisser se casser un pois sauteur tombé à terre, l'avait ramassé, et s'était léché les doigts sur lesquels un liquide du pois cassé s'était écoulé...

L'épisode se serait produit de nos jours, c'était dépôt de plainte, procédure de retrait à l'échelon national, tribunal et indemnisation. A l'époque, on se contentait durant des mois de vômir au moins une fois par jour et de tomber à 8 de tension artérielle icon_facepalm.gif
1782
Il y aurait sans doute eu aussi une plainte des écolos contre le journal , pour mise en danger de la faune locale :-D
1783
Citation :
Bref coma et santé défaillante tout le restant de l'année scolaire pour une copine de classe qui avait eu la mauvaise idée de laisser se casser un pois sauteur tombé à terre, l'avait ramassé, et s'était léché les doigts sur lesquels un liquide du pois cassé s'était écoulé...

:8O:
1784
Ca n'avait sans doute rien à voir avec les pois sauteurs.
Citation :
Petite curiosité mexicaine, les pois sauteurs (frijoles saltarines) sont les graines d’un arbuste qui semblent sauter spontanément de quelques millimètres. En fait, ils sont habités par la larve d’un petit papillon, une chenille de carpocapse qui réagit à la chaleur ou à la sécheresse en bougeant rapidement afin de tenter de déplacer le « pois » vers une zone plus humide ou ombragée.

Ces pois qui n’en sont pas vraiment sont considérés comme non toxiques, mais – on s’en doute – ne sont pas prévus pour être mangés. La chenille dévorera tout l’intérieur de la graine puis entrera en chrysalide pour donner un papillon au printemps suivant, et recommencer le cycle.

1785
Donc c'est un parasite. je pensais que c'était une symbiose. Merci El Migo icon_wink.gif

Incrédule sur tout, sceptique sur le reste

1786
Citation de El :
Ca n'avait sans doute rien à voir avec les pois sauteurs.

mais vraisemblablement tout à voir précisément avec la larve à l'intérieur. L'effet avait été immédiat, nous avait raconté sa mère.
1787

je ne trouve rien sur la toxicité du vers ou du pois...

Je mise donc sur l'allergie...

“(...) Mais quand on est adulte, on tue l'enfant qui est en nous.” Mamoru Oshii

"Moi j'suis pas un bourreau, alors il s'occupe de ma musique et moi de ma vie d'adulte" DarXyde

[ Dernière édition du message le 18/01/2018 à 12:56:15 ]

1788
Souvenir et nostalgie:

2204844.jpg

Sincèrement, je me disais aujourd'hui en voyant un collègue avec sa vapoteuse: "depuis combien de temps n'ai-je pas vu un fumeur de pipe?" Ce n'est pas faute de voir du monde, mais il me semble que cela fait une bonne vingtaine d'années que le fumeur de pipe tend à se faire rare, si ce n'est à disparaître; et les senteurs qui le suivaient aussi, dont certaines étaient vraiment dépaysantes.
1789
Ah !
Tu me rappelles mon grand-père. Grand fumeur de tabac, je détestais quand il nous enfumait avec ses clopes (gitanes bleues).
En revanche, quand il se mettait à préparer sa pipe, sortir son paquet de tabac (caporal export), c'était un moment que j'aimais bien. Les premières bouffées de cette fumée bleue avaient une odeur presque sucrée.
Il fumait la clope par réflexe ou addiction, alors que la bouffarde était un moment à part (toute interprétation autre que tabagique de cette phrase est bien évidemment proscrite, trop facile).

Incrédule sur tout, sceptique sur le reste

[ Dernière édition du message le 05/04/2018 à 05:23:52 ]

1790
Il y avait le bon vieil Amsterdamer, un autre aux saveurs et senteurs de miel. Et puis il y en avait un que m'avait fait découvrir un cousin suisse, fumeur de pipe à 16 ans, qu'on ne trouvait apparemment que sur la bonne rive du Lac Leman. Je ne garantis pas l'orthographe, mais phonétiquement, c'était du "Borgoem Hass", quasiment.

J'ai aussi été fumeur de pipe entre les mêmes 16/17 ans (initiation du cousin oblige) jusque vers 20 ou 21 ans. J'ai toujours trois pipes quelque part dans un tiroir à la maison, et je prenais le tabac aux senteurs de miel dont je parlais avant. Mes proches adoraient ce parfum qui se disséminait derrière le halo de chaque bouffée.

[ Dernière édition du message le 06/04/2018 à 20:10:11 ]