Sujet Ovnis USA = CNN National Press Club (27.09.2010)

J'ai une question, très sérieuse : Pourquoi tant de descriptions différentes des "apparitions" ( forme des appareils, descriptions physiques ) ?

Entre le 12 et le 13 novembre 1967, Philip Freeman et Angela Carter, "deux adultes qui ont été rapportés comme des personnes terre-à-terre et aimant s'amuser" montaient dans un secteur de régions boisées de Hurtwood Common en Angleterre, entre Winterfold et Pitch Hill. La fenêtre avant de la voiture de Philip commencée à être embuée et il est donc sorti de la voiture avec le moteur fonctionnant toujours, pour l'essuyer.

Juste alors, il y a eu une odeur déplaisante, comme d'une boule puante.

Quoiqu'ils aient été au milieu d'un bois d'un noir d'encre sans éclairage disponible, quand Philip a réintroduit la voiture, il a vu un "visage" par la fenêtre de passager de son côté. Il l'a estimé être d'environ 25 centimètres de long et 20 centimètres de large, et a indiqué qu'elle était très proche de la vitre. Le "visage" n'avait aucun dispositif évident comme des yeux, un nez, ou une bouche; il était vide, et blanc, et nettement défini, avec même une teinte lumineuse.

Il y avait également quelque chose qui a ressemblé à un "bras" atteignant jusqu'au dessus du capot de la voiture. Philip a été soudainement terrifié et s'est senti très froid. Angela avait été témoin de l'odeur révoltante, et quand elle a vu le regard d'horreur sur le visage de Philip, elle a refusé de regarder vers l'arrière.

Quand Charles Bowen a interrogé Angela à ce sujet, elle a dit: "il y avait une 'atmosphère' qui m'a alarmée. J'ai su par le regard sur le visage de Philip, et par mes propres 'sentiments' que quelque chose d'horrible était là-dehors."

Philip a indiqué que le reste du corps n'était pas blanc du tout, mais obscur, et qu'il s'est déplacé vers l'arrière de la voiture. Il pouvait voir une forme seobre en cloche surmontée par deux parties lumineuses blanches; elle avait environ 1.40 mètres ou "41/2 pieds" de haut.

L'observation a seulement duré deux minutes, puis Philip décidé de se sauver. Il n'a jamais rétracté son témoignage, en dépit des critiques qu'il a dû supporter de ses collègues. Mr. Bowen avait observé que l'odeur décrite par Philip et Angela lui a rappelé l'odeur rapportée par les enfants du cas de Flatlands où l'odeur "d'oeufs pourris" comme le H2S ou les boules puantes.

Bowen avait interrogé Philip et Angela indépendamment et tous les deux ont donné exactement les mêmes réponses sur l'odeur et sur les événements.

D'autres versions plus brèves sur l'Internet indiquent le Fortean Times N.10 comme source et datent le cas au 16 décembre 1967.

L'affaire est parue le 13 octobre 1954 sous forme d'une dépêche de l'AFP, et a été reprise dans de nombreux articles de journaux avec parfois plus d'informations, dans les jours qui ont suivis. Le témoin est Gilbert Lelay, 13 ans, jeune élève du cours du Certificat d'Etudes, décrit comme timide et peu imaginatif, qui a indiqué que le samedi, soit le 9 octobre 1954, il faisait de la bicyclette à 22:30 sous le clair de lune.

Il revenait de chez un oncle à la Rousselière, ses parents roulant devant en voiture. Il arrivait près du village des Garrelières, lorsque dans un pré, sur sa gauche, il a vu un objet bizarre, qu'il a décrit comme étant semblable à une boule de feu posée sur l'herbe.

Il s'est arrêté. En la voyant de face, elle était toute en longueur, comme une "cigare phosphorescent"; quand il l'a vu "de côté" elle apparaissait toute ronde.

Il a franchi la barrière du pré, et lorsqu'il a été à une dizaine de mètres de cette "boule", un "bonhomme" est venu à lui, a mis sa main sur l'épaule du garçon et lui a dit: "Regardez mais ne touchez pas!" Certaines sources indiquent que cet homme avait d'abord enlevé son chapeau et s'était gratté le front.

Cet homme parlait en français, avec un accent que le garçon a indiqué être semblable à celui "des bretons qui viennent chez nous vendre des chevaux."

Il était grand, vêtu d'une veste et d'un pantalon gris, coiffé d'un chapeau gris mais plus foncé, et avait des bottes aux pieds.

Dans une main, il tenait une boule, de la taille d'une grosse pomme, lançant des reflets violets, ou des "feux" violets.

Cet homme a ouvert une espèce de porte dans la boule, ce qui a permis au garçon de voir qu'il y avait à l'intérieur deux sièges de couleur rouge, et en face d'eux, de nombreux boutons de toutes les couleurs. L'homme a encore dit quelque chose que le garçon n'a pas pu clairement entendre, puis il a refermé cette porte avec bruit.

Des gerbes de feu sont parties de toutes les directions, en haut, en bas, sur les côtés, et l'objet est monté tout doucement dans le plus grand silence à la verticale, avec un "cercle qui tournait à toute vitesse dans sa partie inférieure. Arrivé à une cinquantaine de mètres, l'objet a "tourné deux fois en rond", ce qui est décrit dans certaines sources comme "deux loopings", puis "il a disparu comme une étoile filante."

Le garçon est remonté sur son vélo pour rentrer chez lui, ayant de la peine à pédaler et je ne pouvant plus parler, expliquant qu'il était comme paralysé par la peur. Il a rapporté à ses parents ce qu'il venait de voir, mais ils l'ont traité de fou.

Des sources ufologiques indique que les enquêteurs Anne-Marie Maissa, Philippe Maissa, Thierry Leplat et Eric Zurcher, du groupe d'ufologie CRUN, ont recueilli en 1977 le témoignage d'une dame concernant une observation de très haute étrangeté survenue 26 ans auparavant, en été de 1951 à Beausoleil, Alpes-Maritimes, France.

La femme, dont les enquêteurs conservent l'identité, avait alors 40 ans et était sans occupation professionnelle. Avec elle auraient été deux autres témoins, un homme ou son mari, électricien de 49 ans, et un ami policier de 50 ans. Ces deux hommes n'étaient plus en vie lorsque ces enquêteurs ont recueilli le témoignage de la dame.

Celle-ci a rapporté qu'il était 21 heures, qu'il fait beau et chaud avec un temps clair, et que la nuit n'était pas encore tombée, quand ces trois amis marchaient vers une petite place publique de 21, rue des Martyrs, espérant trouver des sièges libres pour assister à une représentation en plein air sur tréteaux du drame romantique de Victor Hugo "Lucrèce Borgia" par une troupe de théâtre ambulant.

Ils sont alors confrontés à un spectacle effarant: à 60 mètres d'eux, un petit objet ovoïde entièrement transparent flotte au niveau de la place à 7 ou 8 mètres au-dessus du sol, derrière le théâtre, où le spectacle a commencé et où les spectateurs qui lui tournent le dos, absorbés par la pièce, ne semblent pas l'avoir remarqué. L'engin est totalement immobile et légèrement incliné dans la direction des témoins.

Les trois témoins intrigués pensent d'abord que quelqu'un a organisé là quelque spectacle particulier, et marchent normalement vers l'engin, dans lequel ils distinguent alors un pilote assis, de profil, de taille normale, assis sur un siège à l'avant de l'engin.

Ce "pilote" est vêtu d'une combinaison claire, il a un aspect maigre et âgé, de couleur de peau normale, portant apparemment une longue barbe probablement blanche, ne portant rien sur la tête, ayant une physionomie qui paraît autrement normale à la dame, qui se souvient seulement qu'il n'avait aucune autre caractéristique surprenante que cette barbe.

Le personnage semblait absorbé par la pièce de théâtre, et s'est se penché légèrement en avant comme pour mieux voir, ce qui a permis à Mme X de distinguer un second personnage dans l'engin, que les deux autres témoins ne sont pas arrivés à distinguer. Mme X ne se souvient pas avoir vu de mécanismes dans l'engin, dont aucune caractéristique autre que sa forme ovoïde et sa transparence n'est décrite, si ce n'est que Mr. X aurait estimé que l'intérieur en était plus clair que l'extérieur. Mme X se souvient aussi que Mr. X avait entendu des voix "comme du Russe", mais elle-même ne s'en souvient plus.

Par leur marche, les trois témoins sont arrivés à 7 ou 8 mètres de l'engin. Ils ont rapidement échangé leurs impressions, et ont commencé à interpeller les spectateurs de la pièce pour qu'ils constatent ce qu'il y a là.

Mais l'objet est alors parti tout de suite, avec un léger sifflement, passant en une seconde seulement hors de vue derrière les toits d'un immeuble vers le Nord-Nord-Est.

Le public a été en colère d'avoir été dérangé et s'en serait pris aux trois perturbateurs, les insultant et les traitant de "fous furieux". Les témoins n'ont pas été crus et Mme X n'en parlera plus en dehors de sa famille dans les 26 années suivantes.

L'observation entière avait duré entre 20-25 ou 30 secondes, et une source ufologique mentionne qu'une enquête officielle aurait été mené, mais sans préciser quand ou par qui.

Apparemment, un certain Stanley Ingram a rapporté que près de Lexington, Alabama, USA, le 24 août 1974, à 22:30, un couple et leur fille de dix ans roulaient sur une longue allée quand les lumières de leur véhicule se sont éteintes et leur moteur a calé. Le mari a freiné jusqu'à arrêter la voiture et les lumières sont revenues.

A ce moment-là ils ont vu, immédiatement vers la droite le long de la route "entre la porte avant et l'avant du capot," une figure se tenant près de la route; approximativement de la taille d'un homme, pour l'épouse "cela ne ressemblait pas à un homme, c'était juste quelque chose de bleu." Ils ont éprouvé tous les deux une sensation de picotement "partout, comme quand on prend un choc par un mixer électrique ou quelque chose de ce genre." Ils ont continué leur route, mais le mari a voulu retourner voir ce que c'était; son épouse s'y est fortement opposée.

Apparemment, à Moorlands, Terre-Neuve, Canada, en automne 1974 à 22:00, un homme conduisait dans un secteur isolé quand soudainement la voiture et tout autour de lui a commencé à devenir luminescent avec une lumière bleue pulsantes. La radio était également complètement morte.

Il a arrêté la voiture et a ouvert la porte, pour observer ce qui a semblé être un objet en forme de cône, Il a vu suspendu dans le ciel dans faire de bruit. Des lumières bleues et rouges clignotaient autour du dessus et une lumière bleue se développant en spirales descendait de sa section inférieure. Un "sentiment très paisible et détendu" lui est venu pendant que l'objet faisait un virage net et disparaissait au-dessus d'une colline voisine.

Il s'est assis en regardant vers la colline quand une petite lumière pulsante est apparue dans le ciel derrière elle. Il s'est senti attiré vers elle et a laissé la voiture pour marcher vers elle. Pendant qu'il se rapprochait, les lumières bleues sont devenues plus lumineuses et pendant qu'il regardait au-dessus du dessus de la colline il a vu un objet en forme de cône positionné sur quatre jambes, qui ont semblé être ajustées aux découpes du terrain. Les lumières bleues et rouges avaient arrêté leur clignotement, mais la lumière bleue se développant en spirales venait maintenant de ce qui a semblé être une fenêtre autour du dessus de l'objet, qui était d'une taille énorme.

Trois objets de plus étaient à un côté; l'un d'entre eux a commencé à se déplacer vers le témoin, et quand il a été proche il a ressemblé à un homme très grand enveloppé dans du papier aluminium et avec quelque chose noir au-dessus de sa tête.

A ce moment le témoin se sentait effrayé, mais il ne pouvait pas se bouger, tandis que ses yeux ont semblé attirés vers une crête noire sur le torse de l'être. Quand le personnage a été à quelques pieds, il a remarqué que la crête était une sorte de grand triangle métallique avec un serpent noir dessus.

Son souvenir suivant était d'être assis dans la voiture, conduisant sous un passage supérieur. Juste alors, l'annonceur de la radio a donné l'heure de 03:30 du matin, ce qui lui a indiqué un temps manquant de trois heures.

Apparemment, en 1973, dans un livre à compte d'auteur sur une affaire de soucoupe volante, l'auteur, Henri Convert, indique qu'en Saône-et-Loire, France, le 4 septembre 1952, peu de temps après la tombée de la nuit, Jean Sibranoseian campait dans le Morvan, pas trop loin d'Anost.

La nuit était tombée, quand il a vu quelque chose comme une étoile tombant du ciel. Se mettant debout dans sa surprise, il a vu, à moins de 40 mètres, un objet en forme de dirigeable d'environ 5 mètres de long et 2 mètres de haut, sur lequel il y avait deux paires de hublots éclairés dont la lumière variait "curieusement."

Pendant qu'il le regardait, pétrifié, il a entendu un léger bruit et a ensuite perçu, à environ 5 mètres de lui, une créature comme un homme qui était plus haute que lui et qui l'a terrifié. Cet être a fait un pas, descendant d'une bosse sur laquelle il s'était tenu, et s'est avéré plus petit que Jean, au plus 1.50 mètres de haut.

Il s'est avancé en plusieurs pas, tenant ses paumes en avant et présentées vers le haut. Jean a instinctivement fait la même chose, sur quoi l'être a fait retraite très agilement, sautillant d'abord sur une jambe, puis sur l'autre. Mais après 10 secondes, il s'est de nouveau avancé, ses bras maintenant pendants, et s'est tenu faisant face au témoin à seulement 2 mètres pieds de lui.

Il était d'aspect humain, excepté une tête plutôt grande avec des cheveux foncés, et il avait de grands yeux "sans pupilles" dans un visage très beau et dépourvu de traits, qui souriait. Il portait un vêtement moulant gris bleu.

Jean lui a souri en retour, puis, se sentant idiot, il a sorti une de ses cartes de visite et l'a offert à l'humanoïde, qui l'a accepté, toujours souriant, et l'a glissé dans une poche invisible. Ensuite il a fait retraite, levant de nouveau ses bras à horizontale, et a disparu de sa démarche sautillante. Jean n'a eu aucun doute: il avait eu affaire à un homme d'une autre planète.

Des radaristes de Yakoustk (Russie) ont suivi, fin mai 2010(?), dans leur espace aérien, l’évolution d’un OVNI à environ 20 kilomètres d’altitude. L’objet se déplaçait à près de 10 000 km/h. A plusieurs reprises, il a changé instantanément de direction tout en conservant sa vitesse.