Le pub des loosers!
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oui, mais je sais pas si j'ai raté finalement
Merci tout de même de combler mes lagunes, j'ai bien fait de venise
Ben en fait moi je ne les installe pas
en passant par 'menu demarrer' puis 'gestioonnaire de peripheriques''
Regarde bien mon explication..la fleche, le bonhomme qui baisse son pantalon..
Yann Polar
11573
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 21 ans
La pire loose... C'est que je ne connais pas les boules de geisha 
Rassurez moi, c'est un accessoire pour Gameboy advance, c'est ça ?
Rassurez moi, c'est un accessoire pour Gameboy advance, c'est ça ?
Anonyme
521410
le reverend
33367
Vie après AF ?
Membre depuis 21 ans
Une loose sympa, pas trop loose quoi. Si si, ça peut arriver
Fin de ma première croisière à la voile.
On est en Corse à l'Ile Rousse, on doit regagner le continent avec le bateau pour prendre l'avion, because fin des vacances, j'ai la dernière année d'école d'ingénieur qui commence dans 3 jours. Et faut pas rater la rentrée, c'est là qu'on détermine les groupes de travail, les binômes etc, et si vous êtes pas là, vous en avez pour au moins un trimestre à vous farcir les neuneus que les autres ont laissés.
La météo est entre "avis de tempête" et "grand beau fixe", c'est à n'y rien comprendre. Pas un marin local qui nous dira son humble avis (merci les corses) sur la question.
Vu qu'il fait méga beau (on est en septembre), et après une journée entière à attendre au port où il ne se passe strictement rien au niveau du temps, on décide de partir quand même le soir. Vlan ! trois heures plus tard, on est en pleine tempête (force 8, voire 9 bien établi), et moi j'avais jamais connu ça, je suis malade, j'ai froid, j'ai peur qu'on y passe tous (c'est impressionnant une tempête la nuit sur un petit bateau à voile, je vous jure).
1ere nuit blanche : on passe la nuit à essayer tant bien que mal à regagner le continent, on n'y arrive pas à cause du vent violent qui nous est contraire. On pointe vers Calvi en désespoir de cause, on se dit qu'on prendra l'avion de là-bas.
2ème nuit pas terrible : arrivés à Calvi le soir, passablement exténués mais rassurés d'être encore vivants, évidement pas d'avions. Faut aller en chercher un à Bastia, de l'autre côté de l'île : 80 km c'est pas la mer à boire. On se lève à 4 heures du mat pour choper l'avion en début d'après midi.
On fait du stop. ça marche pas (re-merci les Corses). Après avoir galéré sur plusieurs routes, on se décide à chercher un train tortillard qui nous amène à Bastia (4heures pour faire 80 km, encore une fois merci la Corse), mais là-bas évidemment pas de vol direct, faut s'arrêter à Nice. Bon, on prend l'avion pour Nice. On arrive à Nice le soir, on débarque avec notre sac à l'aéroport.
3ème nuit pas terrible du tout : le vol pour Paris est le lendemain matin, vers 7h : faut passer la nuit à Nice et évidemment on n'a plus un rond. On se trouve un coin pour dormir dans l'aéroport. On a joué à cache-cache avec les vigiles de l'aéroport toute la nuit, on a donc dormi par tranches de 15 minutes. Le lendemain, on est frais ? Ben non. On prend l'avion pour Paris, on arrive en fin de matinée à Roissy.
Je passe chez moi, je vais chercher mes affaires de cours, je prends trois fringues pour la semaine et je pars à Rouen où se trouve mon école d'ingénieur chérie. Je prends le train vers 19h00 pour être à Rouen vers 20h30 et être dans ma piaule de la cité U vers 22h30 et pioncer avant les premiers cours le lendemain matin. Et là, assez fatigué par les nuits précédentes (cumulées à la fatigue générale de vacances sportives quand même), je dois dire que dans le train, je m'endors sur mon siège et rate l'arrêt de Rouen. Je me réveille au Havre, le terminus, il est 22h30, j'ai 50 balles sur moi, plus de train pour Rouen, bien sûr et je dois trouver où dormir. Arrrrgggggghhhhhhh !
Devant mon air un peu embarrassé, le type devant moi m'adresse la parole et en discutant, on s'aperçoit qu'on a une connaissance commune. Un de mes condisciples est son beau-frère. Du coup, le type m'indique un hôtel pas cher (35 Frs la nuit, je me rappelle) pas super luxueux j'en conviens, mais avec des draps propres.
4ème nuit assez courte : il est presque minuit dans cette bonne ville du Havre. Avec les indications du beau-frère de l'autre, je trouve l'hôtel, je prends une chambre. Je mets le réveil à 4h du mat' pour ne pas rater la rentrée le lendemain.
A 4h du mat', je me réveille, je m'habille, je vais à la gare, je prends le 1er train pour Rouen, j'arrive à la gare de Rouen, je monte à la cité U, je passe à ma chambre déposer mes affaires, je file direct à l'amphi pour l'accueil de la rentrée. Pile-poil, avec 20 minutes d'avance, j'y suis !!!!!
Mais où est la loose, en dehors du manque de sommeil et des galères classiques ?
Ben, les cours de la journée avaient été annulés, because grève de l'Education Nationale, tout était reporté au lendemain !
En tout cas, je peux vous dire que je suis retourné à ma petite piaule, et j'ai dormi, dormi, mais alors, grave.
Fin de ma première croisière à la voile.
On est en Corse à l'Ile Rousse, on doit regagner le continent avec le bateau pour prendre l'avion, because fin des vacances, j'ai la dernière année d'école d'ingénieur qui commence dans 3 jours. Et faut pas rater la rentrée, c'est là qu'on détermine les groupes de travail, les binômes etc, et si vous êtes pas là, vous en avez pour au moins un trimestre à vous farcir les neuneus que les autres ont laissés.
La météo est entre "avis de tempête" et "grand beau fixe", c'est à n'y rien comprendre. Pas un marin local qui nous dira son humble avis (merci les corses) sur la question.
Vu qu'il fait méga beau (on est en septembre), et après une journée entière à attendre au port où il ne se passe strictement rien au niveau du temps, on décide de partir quand même le soir. Vlan ! trois heures plus tard, on est en pleine tempête (force 8, voire 9 bien établi), et moi j'avais jamais connu ça, je suis malade, j'ai froid, j'ai peur qu'on y passe tous (c'est impressionnant une tempête la nuit sur un petit bateau à voile, je vous jure).
1ere nuit blanche : on passe la nuit à essayer tant bien que mal à regagner le continent, on n'y arrive pas à cause du vent violent qui nous est contraire. On pointe vers Calvi en désespoir de cause, on se dit qu'on prendra l'avion de là-bas.
2ème nuit pas terrible : arrivés à Calvi le soir, passablement exténués mais rassurés d'être encore vivants, évidement pas d'avions. Faut aller en chercher un à Bastia, de l'autre côté de l'île : 80 km c'est pas la mer à boire. On se lève à 4 heures du mat pour choper l'avion en début d'après midi.
On fait du stop. ça marche pas (re-merci les Corses). Après avoir galéré sur plusieurs routes, on se décide à chercher un train tortillard qui nous amène à Bastia (4heures pour faire 80 km, encore une fois merci la Corse), mais là-bas évidemment pas de vol direct, faut s'arrêter à Nice. Bon, on prend l'avion pour Nice. On arrive à Nice le soir, on débarque avec notre sac à l'aéroport.
3ème nuit pas terrible du tout : le vol pour Paris est le lendemain matin, vers 7h : faut passer la nuit à Nice et évidemment on n'a plus un rond. On se trouve un coin pour dormir dans l'aéroport. On a joué à cache-cache avec les vigiles de l'aéroport toute la nuit, on a donc dormi par tranches de 15 minutes. Le lendemain, on est frais ? Ben non. On prend l'avion pour Paris, on arrive en fin de matinée à Roissy.
Je passe chez moi, je vais chercher mes affaires de cours, je prends trois fringues pour la semaine et je pars à Rouen où se trouve mon école d'ingénieur chérie. Je prends le train vers 19h00 pour être à Rouen vers 20h30 et être dans ma piaule de la cité U vers 22h30 et pioncer avant les premiers cours le lendemain matin. Et là, assez fatigué par les nuits précédentes (cumulées à la fatigue générale de vacances sportives quand même), je dois dire que dans le train, je m'endors sur mon siège et rate l'arrêt de Rouen. Je me réveille au Havre, le terminus, il est 22h30, j'ai 50 balles sur moi, plus de train pour Rouen, bien sûr et je dois trouver où dormir. Arrrrgggggghhhhhhh !
Devant mon air un peu embarrassé, le type devant moi m'adresse la parole et en discutant, on s'aperçoit qu'on a une connaissance commune. Un de mes condisciples est son beau-frère. Du coup, le type m'indique un hôtel pas cher (35 Frs la nuit, je me rappelle) pas super luxueux j'en conviens, mais avec des draps propres.
4ème nuit assez courte : il est presque minuit dans cette bonne ville du Havre. Avec les indications du beau-frère de l'autre, je trouve l'hôtel, je prends une chambre. Je mets le réveil à 4h du mat' pour ne pas rater la rentrée le lendemain.
A 4h du mat', je me réveille, je m'habille, je vais à la gare, je prends le 1er train pour Rouen, j'arrive à la gare de Rouen, je monte à la cité U, je passe à ma chambre déposer mes affaires, je file direct à l'amphi pour l'accueil de la rentrée. Pile-poil, avec 20 minutes d'avance, j'y suis !!!!!
Mais où est la loose, en dehors du manque de sommeil et des galères classiques ?
Ben, les cours de la journée avaient été annulés, because grève de l'Education Nationale, tout était reporté au lendemain !
En tout cas, je peux vous dire que je suis retourné à ma petite piaule, et j'ai dormi, dormi, mais alors, grave.
Putain, 22 ans que je traine sur AF : tout ce temps où j'aurais pu faire de la musique ! :-( :-)
Anonyme
521410
Anonyme
521410
Yann Polar
11573
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 21 ans
Citation : C'est vrai????
oui, mais je sais pas si j'ai raté finalement
Merci tout de même de combler mes lagunes, j'ai bien fait de venise
Anonyme
521410
Et c'est quoi le principe ? J'arrive pas à comprendre "comment tu les installe" 
Anonyme
521410
Citation : J'arrive pas à comprendre "comment tu les installe"
Ben en fait moi je ne les installe pas
Far-G
3023
Squatteur·euse d’AF
Membre depuis 21 ans
Citation : "comment tu les installe"
en passant par 'menu demarrer' puis 'gestioonnaire de peripheriques''
Anonyme
521410
Citation : Et c'est quoi le principe ? J'arrive pas à comprendre "comment tu les installe"
Regarde bien mon explication..la fleche, le bonhomme qui baisse son pantalon..
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