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Vos rèves chelous

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Sujet de la discussion Vos rèves chelous
Postez ici vos rèves vraiment bizarres.

Citation : Ptain j'ai revé de sarkozy cette nuit. Il faisait le l'aerobic en pleine rue

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Ben moi la nuit dernière j'ai révé que j'étais poursuivie par un tueur (genre le gars de scream en plus barraqué) et je pouvais pas courir vite j'allais vraiment au ralenti et je pouvais pas crier non plus (trop bizarre) il m'a rattrapée et poignardée plusieurs fois dans le ventre dans le rêve c'est horrible parce qu'on sent bien le truc quoi mais en me réveillant j'ai trouvé ça plutot trippant ^^
"Dreams of war, dreams of liars, dreams of dragons fire..."
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Ca en est où le projet de mises en image des reves chtarbés de shirow / JR / etc ?
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1/ Personne ne veut s'impliquer plus que ça :oops2:
2/ J'ai fait une image d'un rêve à Shirow qui m'a moyennement satisfait :oops2:
3/ Personne d'autre ne veut m'épauler pour les images :fache:
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1) C'est a dire ?
2) Moi je l'aimais bien cette image.
3) Ben je sais pas y'a qu'a faire un thread peut etre ?
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4/ vous n'aurez jamais les droits pour le dernier reve de jr à cause de john lock
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Bah moi , j'ai revé qu'une ancienne Shiral me courait apres pour finalement m'attraper et m'arracher la colonne vertebrale en me fistant .

Je me suis reveillé avec un mal de cul , ahurissant .

Tu veux le mettre en images , Pluche ?
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Toujours aussi frais...
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Tain , ce .gif , à chaque fois je suis :roflmao:

Hors sujet : Hey Pluche , je voulais savoir ... Ce que tu mets sur ton site , tu l'as copyrighté ou protégé d'une maniere ou d'une autre ?

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Hors sujet : Au début j'ai déposé quelques images, mais maintenant je m'en bas, de toute façon soit tu mets le paquet, soit avec le blog la date de postage devrait être un début, mais de toute façon avec DeviantArt t'es un minimum protégé, vu qu'il ya le "creative commons" en dessous...

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Hors sujet : Ha yes , ok !

J'ai été mater vite fait wordpress en matant ton blog , et ca a l'air pas mal , je vais peut être m'en faire un aussi . Et effectivement , une fois en creative common , ca protege un minimum ... M'enfin , c'etait plus par curiosité qu'autre chose ! Thanks . :bravo:

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Hors sujet : Si t'as du temps et du courage, Anaon m'a dit que le wordpress a faire sur son disque, pas le blog, était relativement simple et modulable, (d'ailleurs son site est très beau), donc si tu veux un truc plus personnel :bravo:
Edit : je vais mettre un post creative commons, au cas où

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Hors sujet : Je viens d'aller voir son site : effectivement, sobre , fonctionnel mais classe !

Par contre , c'est quoi ? Un editeur ? Genre , il faut que t'achetes un nom de domaine et que tu raques pour un hebergement , à coté ?

Parce que sinon , le blog me convient bien dans un premier temps ! J'ai maté , y a moyen de moduler un peu ( enfin , modulable facon myspace , quoi ... ) .

Sinon , y a un pur truc , j'ai vu ca sur un site que Serge a linké , faudrait que je retrouve ca . T'as un truc assez simple et un diapo ou tu choisis l'image en cliquant sur des onglets en bas . Ca a l'air bien fonctionnel , simple et sobre .

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:bravo:
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La nuit dernière :
Je me retrouve devant une usine abandonnée une usine asser grande avec une grande cour impecable de vieux ciment, les batiments sont vieux mais entretenus par des gens. Il n'y a pas de son, je n'enttend rien, et je ne sais pas ce que je fait la. Je marche vers l'usine, je regarde les murs d'un blanc impecable, le tout toujours dans un grand silence. arrivé a un coin, je découvre qu'il y a un petit arbre derrière le batiment, tout en silence, je longe les murs de l'usine, jusqu'à voir l'arrière de cette usine, la aussi il y a une cour, mais tres longue et pas large du tout, l'arbre est au millieude cette cour, je vais vers lui, tourne un peu autour puis revient devans lui. Ses branches se mirent à bouger, puis je vit un trou au millieu de cet arbre, genre à la base. Il y avait du son qui sortait de ce trou, je ne l'enttandait pas, mais je le savais.
L'arbre était en train de me parler, je lui répondait toujours sans le son. En fait, je lui demanda où je me trouvais, ce que je faisait la etc... Après que l'arbre est dit quelques paroles sans que je les enttendes, je me suis tout un coup souvenu de ce que je faisait la. En fait, une partie de cette usine était une école de danse, et je venais y prendre mon cours.

(le son revient)
Je me suis trouvé tout d'un coup à l'interrieur d'une salle (qui était juste devant l'endroit ou je me trouvais précédemment), avec une trantaine de personnes assises par terre avec une personne devant.
Personne ne semble me remarqué, je vois assise, une fille que j'apprécie plutot pas mal (on va l'appelée Laure), et je vais m'installer à ses côtés, sans que personne ne m'accorde le moindre regard.
Vient alors la pratique, on se mit debout, la musique commenca à rettentir, Laure et moi nous étions en train de danser, il n'y avait que nous, enfin les autres étaient "transparents", ils ne bougaient pas, ils étaient figés.

Puis je ne sais pas ce qui c'est passer, je me suis retrouver en arrière, exactement à la même place qu'au début de mon rêve. Je retourne voir l'arbre, mais celui ci avait disparu. A la place, il y avait une femme entierement habillée en blanc, avec des cheveux noirs. J'alla la voire, puis je lui est demandée où se trouvait la salle. Elle me répondit, qu'il était impossible d'acceder à la salle pour le moment. Je remarquais que cette femme touchait souvant à un petit sac rouge qu'elle avait au tour du cou, je me demandais ce qu'il pouvait contenir, puis je lui ait posée la question. Comme raiponse, elle me donna plusieur petites choses rouges qui ressemblait fort à des cerises, et je ne sais ps pourquoi, j'en en lancait une par terre très fort. Un petit cercle blanc en sorti, puis s'évanoui dans les airs après avoir fait quelques centimètres. Je trouvit ca rigolo, je savais ou Laure était placée dans la salle, je savais qu'elle était assiseà la même place, et jedécida de lancer une de ces petites boules sur le mur, ou à lopposer elle était.
Le petit cercle fut attiré par le mur il s'évanoui dans ce dernier. Je me retourne pour demander quelque chose à la femme en blanc, mais elle avait disparue.

Je me retrouve de nouveau dans la salle, et je vois qu'une partie du plafond est cassée, et que les jambes de quelqu'un le traversai. Je monte au 4ème étage pour voir le visage de Laure en pleurs, je savais ce qui n'allait pas, c'était evidemment sa taille, et cela était de ma faute, mais je décida de ne pas lui en faire part. Nous discutons beaucoup, puis elle décida de sortir. (je ne me rappel pas vraiment comment nous sommes sortis, j'ai un vague souvenir du toit mis c'est tout).

Une fois dehors, j'était habillé genre année 50 (un peu comme eddie dans "qui veut la peau de roger rabbit"), elle me mit sur ses épaules, puis elle commenc à voler dans les airs. Dans les airs, il y avait des cygnes et des oies géantes, qui servait d'avion il y avait des passager, qui était assis sur les plumes. Et je ne sais pas ce qui c'est passer, je suis tombé, et je me suis retrouvé au millieu d'un terrain d'herbe où au millieu, il y avait un burau, des dossier, une machine à écrire, et un téléphone qui était suspendu dans les airs tout ca à la mode 50'.
Je me mit à travailler, je ne sais pas trop ce que je faisait comme boulot, je crois avoir un vague souvenir d'un dossier sur des cygnes volant etc... Quelques temps après, le téléphone sonna, j répondit presque immédiatement, c'était Laure, qui voulait savoir si je pouvait venir chez elle. J'accepte.
Je me retrouve dans une rues avec des maisons très hautes et peu larges, mais pas des HLMs. J'arrive devant sa porte, je frappe, puis un téléphone sonne. Je me retrouve au début de la rue, mais un téléphone était suspendu dan sles airs, semblable à celui que j'avais à mon bureau. Je répond, mais le téléphone continue à sonner, je met du temp à me reveiller et à m'en rendre compte, mais c'était le réveille qui sonnait.

J'aurais bien voullu continuer ce rêve après, mais impossible de le continuer.
1491
Ce matin, j'ai rêvé que j'étais une espèce de volaille dessinée en noir et blanc, genre BD.

Je rentre dans un bar pour boire un coup et une fois à l'intérieur, je me rends compte que je suis dans un repaire de néo nazis.
Trop tard pour m'éclipser en douce, tout le monde me tiens à l'oeil.
Il ont tous des chemises rouges pétard.
L'un d'eux a un brassard avec croix gammée, un autre des décorations militaires.

Au moment de régler l'addition, le patron tient absolument à m'apprendre à faire correctement le salut nazi.
Pour se faire, il me fait poser la main sur sa tête (suante et grasse), il doit mesurer trente centimètres de plus que moi.

Je finis par pouvoir repartir sans trop de mal.

Sur le parking, je me rends compte que j'ai éclaté les plaques d'immatriculations de ma bagnole et que j'ai oublié un pantalon par terre, à côté.

:?!:
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Cette nuit, un reve assez log sur l'apocalypse version geek.



Me voilà avec ma famille dans une thalassothérpie. Nous nous baignons dans un grand batiment au plafond très haut, une piscine olympique au millieu, de petits bassins environant. L'ambiance y est legere et détendue.
Tout d'un coup un tremblement de terre monstrueux se fait sentir. Tous les nageurs se ruent paniqués au millieu du grand bassin, esperant ainsi etre épargné d'une éventuelle chute d'objet, meme si celà me semble ridicule. La secousse semble durer une éterité.
Une fois passé le seisme surgit M. Bignan (au college, ce petit bonhomme fut un professeur de technologie tres strict, à l'image de sa petite moustache certainenement inchangée depuis son service militaire). Il a tôt fait de nous annoncer que la fin du monde est proche, une véritable apocalypse se prépare, ou nos vies ne seront plus jamais les mêmes. Guerres planétaire à base de technologies cachées, de robots géants destructeurs, d'armes bactériologiques et meme une invasion extraterrestre sont le programme de ses réjouissances. Nous sommes priés d'abandonner tous nos projets de vie et de mourir en silence.

Cependant, M. Bignan promet aux plus fort de survivre en passant un test. Dans la thalasso, il récupere un espece de vidéoprojecteur qui pose des questions aux fur et à mesure à tous les volontaires. Ce sont des questions de culture générale, bien souvent sur la bible et je me dis "facile". Mon tour venu, j'ai droit à des question de geek sur la porté des robots tueurs dans star wars et la puissance de certains ordinateurs. J'échoue lamentablement et regarde mes amis et frere s'armer fierement comme des soldats.

Avec ma mere, nous décidons de partir. Le ciel est tout gris, sans aucun bruit, ce qui est assez flippant. Il y a deja des batiments en ruine, et des robots géants surarmés sortis de film de science fiction. Nous prenons une vieille volvo break, y cachons mon petit frere et fuyons en essayant d'éviter les patrouilles énemies.
En revenant dans notre maison, un général etranger nous intercepte, nous révelant la superchie de l'affaire Bignan, agitateur patenté qui n'en est pas à son premier coup d'essai et vient d'etre neutralisé. Nous sortons le petit de sa cachette. Tout est bien qui finit bien.
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Ah oué, pas mal.

Moi c'était tout con. Y'a Yves Duteil qui venait chez moi pour refaire la déco et déboucher mes toilettes.
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Sympa le Yves Duteil
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C'est assez ouf comme rêve, dans le peu que je fais il n'y a jamais de "personalités connues"...
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Personne n'a jamais révé qu'il arrivait complètement a poil a son taf ou a l'école ?
Moi c'est un reve que je fesais très souvent quand j'était a l'école primaire !
D'ailleurs une fois c'était pas un reve...(non jsui pas arrivé a poil quand meme :P: )en fait j'avais pas mis de chaussures j'était resté avec mes chaussons :bravo:
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Si moi, mais juste vetu d'un t-shirt pour la cacher... lol
et pourpas que sa se voit j'avais sauté depuis un batrrage dans la flotte (piscine) et je nageait tranquille avec le cul a l'air mais personne n'avait remarqué. meme chose mais sur un bateau, toujours t shirt pour la cacher
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Je suis dans l'univers des simpsons, policier, et il y a une taupe parmis notre brigade. On ne sait pas qui il est, mais rapidement je me rend compte que c'est mon collegue de patrouille. Je le suis alors, mais désincarné, et c'est sous forme de bande déssiné que je le vois trainer dans les quartiers chauds de la ville, tuant des irlandais saoul et des mafieux la nuit au nom de la police.
Une chef décide de changer les casiers de la caserne par de nouveaux casiers, mais d'en laisser tout de meme un défoncé; elle est persuadée que cette méthode démasquera notre zozo. Un autre chef a une méthode plus expéditive pour obtenir les aveux de notre taupe. Il réunit tous les policiers dans une espece d'arene taurine ronde et assez petite et demande aux policiers de courir dans le cercle. Il y a au millieu un espece de zorro masqué à cheval qui ne bouge pas. Il fait tourbilloner au dessus de sa tete une longue corde terminée d'une lourde masse qui assome les moins rapides. Les policiers K.O passent alors aux aveux. Mais le ripoux n'est pas là.


Me voilà au coeur d'un jeu vidéo. La présentation est simple, je suis sur une sorte de radeau de fortune et je dois éviter les obstacles.
Je suis sur une riviere verte, aux couleurs criardes et flashy, comme un jeu vidéo de la fin des années 90. La rivière est etroite, il y a des lianes, des bouches d'égout, des cascades à éviter. Cela est peu commode, j'y arrive après plusieurs essais et la cascade débouche dans un grand batiment gris, une sorte de lycée, ou je peux essayer d'ouvrir des portes et parler aux gens alors qu'ils me considerent comme un criminel en fuite. Mais je perd rapidement et n'arrive plus à revenir au lycée. Qu'à celà ne tienne, je décide d'éteindre l'ordinateur/console de jeu et de le rallumer brusquement. Je suis alors dans le jeu avec ma barque, mais il n'y a plus d'eau, d'obstacles ni de porte. Je peux librement explorer la riviere et le lycée. Il n'y a plus aucune couleur, tout est soit devenu tout gris, soit tout vert, du vert des fonds d'effet speciaux, traversé de lignes blanches horizontales et verticales dessinant le relief. Je suis au coeur du jeu, mais n'y suis plus vraiment non plus.
1499
Dis 3000, comment tu fais pour faire aussi souvent des rêves et avec autant de précision :?!:
1500
La nuit d'avant Notre président Nicolas Sarkozy voulait qu'on discute ensemble de la peine de mort. C'était, disait il, pour lui un signe d'ouverture de discuter avec moi.