Vos rèves chelous
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Anonyme
521410
Sujet de la discussion Posté le 17/11/2004 à 10:34:06Vos rèves chelous
Postez ici vos rèves vraiment bizarres.
Citation : Ptain j'ai revé de sarkozy cette nuit. Il faisait le l'aerobic en pleine rue
Goum Le Chat
12171
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691 Posté le 07/07/2006 à 22:22:53
Pour le coup du bras, l'explication c'est peut-être des paralysies du sommeil. Je souhaite à personne d'en faire, c'est affreux.
Anonyme
521410
692 Posté le 07/07/2006 à 22:23:54
ça m'arrive, mais bon, je m'en fais pas trop, c'est toujours entre deux sommes.
Goum Le Chat
12171
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693 Posté le 07/07/2006 à 22:28:19
C'est plus désagéable qu'autre chose.
Enfin entre ça et les reves violents et glauques je sais pas ce que je préfère.
Enfin entre ça et les reves violents et glauques je sais pas ce que je préfère.
Anonyme
521410
694 Posté le 07/07/2006 à 22:29:10
La paralysie pour moi
T'as déjà vu sur ce thread le rêve que j'ai fait avec mon chat ?
T'as déjà vu sur ce thread le rêve que j'ai fait avec mon chat ?
Goum Le Chat
12171
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695 Posté le 07/07/2006 à 22:32:46
Non, mais si t'as une idée du numéro de message ou de page je suis preneur.
Anonyme
521410
696 Posté le 07/07/2006 à 22:43:32
On s'en fout sûrement, mais Goum Le Chat+rêve chelou ça m'a fait penser à ce rêve :
il y avait un chat blanc à tâches grises et yeux verts qui vivait avec moi. Il parlait, c'était un véritable ami, un frère même, une âme soeur, un être que j'aimais et qui était super généreux avec moi. (Il ne ressemblait pas à mon chat qui, paraît-il, me ressemble énormément (sic) mais je savais que c'était lui). De temps en temps, il me mordait l'index et ne lâchait pas tant que je ne le fracassais pas contre le mur (j'ai failli me couper l'index quelques semaines avant le reve, donc la cicatrice devait tirailler dans mon sommeil). Je lui demandais : "mais pourquoi faut-il qu'on se fasse souffrir ?" Et lui me répondait : "Parce que la souffrance est indispensable dans notre relation".
Un rêve super bizarre qui m'a fait beaucoup d'effet, j'avais la larme à l'oeil quand je pensais à lui (le chat), et ça m'a perturbé pendant 2 jours (très rare, ça). Même maintenant, je le trouve encore "puissant", ce rêve.
il y avait un chat blanc à tâches grises et yeux verts qui vivait avec moi. Il parlait, c'était un véritable ami, un frère même, une âme soeur, un être que j'aimais et qui était super généreux avec moi. (Il ne ressemblait pas à mon chat qui, paraît-il, me ressemble énormément (sic) mais je savais que c'était lui). De temps en temps, il me mordait l'index et ne lâchait pas tant que je ne le fracassais pas contre le mur (j'ai failli me couper l'index quelques semaines avant le reve, donc la cicatrice devait tirailler dans mon sommeil). Je lui demandais : "mais pourquoi faut-il qu'on se fasse souffrir ?" Et lui me répondait : "Parce que la souffrance est indispensable dans notre relation".
Un rêve super bizarre qui m'a fait beaucoup d'effet, j'avais la larme à l'oeil quand je pensais à lui (le chat), et ça m'a perturbé pendant 2 jours (très rare, ça). Même maintenant, je le trouve encore "puissant", ce rêve.
Goum Le Chat
12171
Membre d’honneur
Membre depuis 21 ans
697 Posté le 07/07/2006 à 22:46:17
C'est plein de sens cachés on dirait.
Jr0001
5527
Je poste, donc je suis
Membre depuis 19 ans
699 Posté le 07/07/2006 à 23:23:22
Waouw pas mal...
On dirait un dialogue interieur ton reve.
Dans le genre violent vers 15-16 ans j'ai eu une période ou durant quasiment toutes les nuits puis "seulement" une fois par semaine, je m'enguelais avec mon pere, et il me courait apres jusqu'à me frapper violement. Le décors, les personnes presentes changeaient, la façon dont il s'y prenait aussi.
Au mieux il ne me donnait que quelques petits "coups".Mais, au pire il me tuait moi et ma famille.
Mais le résultat était inexorablement le meme. J'en avait peur de dormir, je me reveillais en sueur ou en pleur.
Enfin c'est passé, à peu de chose près, le jour ou je lui ai dis dans le blanc des yeux.
Ha l'adolescence, un psychologue y verrait surement un magnifique complexe d'oedipe, ou un truc du genre avec pleins de termes compliqués
Sinon dans le genre les reves qui marquent au reveil, il n'y a pas longtemps j'ai révé que j'étais avec une nenette magnifique. Mais vraiment la fille parfaite pour moi. Et tu te reveilles en étant sur d'etre amoureux, mais tout en sachant que c'est ridicule, que ce n'était qu'un reve (sic).
Brazil, lala lala lalalala...
On dirait un dialogue interieur ton reve.
Dans le genre violent vers 15-16 ans j'ai eu une période ou durant quasiment toutes les nuits puis "seulement" une fois par semaine, je m'enguelais avec mon pere, et il me courait apres jusqu'à me frapper violement. Le décors, les personnes presentes changeaient, la façon dont il s'y prenait aussi.
Au mieux il ne me donnait que quelques petits "coups".Mais, au pire il me tuait moi et ma famille.
Mais le résultat était inexorablement le meme. J'en avait peur de dormir, je me reveillais en sueur ou en pleur.
Enfin c'est passé, à peu de chose près, le jour ou je lui ai dis dans le blanc des yeux.
Ha l'adolescence, un psychologue y verrait surement un magnifique complexe d'oedipe, ou un truc du genre avec pleins de termes compliqués
Sinon dans le genre les reves qui marquent au reveil, il n'y a pas longtemps j'ai révé que j'étais avec une nenette magnifique. Mais vraiment la fille parfaite pour moi. Et tu te reveilles en étant sur d'etre amoureux, mais tout en sachant que c'est ridicule, que ce n'était qu'un reve (sic).
Brazil, lala lala lalalala...
Goum Le Chat
12171
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700 Posté le 07/07/2006 à 23:49:17
Dans le genre violent, je me suis fait poursuivre par une vingtaine de personne m'etant completement inconnues qui désiraient visiblement en intenter à ma vie, j'ai tué un type d'un coup de couteau que ma grand-mère me donnait l'instant précédent (et il me fixait sans cesse, j'ai pas supporté), je me suis fait écrasé une trentaine de fois, toujours dans le même garage au même endroit par la même voiture arrivant toujours de la même maniere sauf une fois ou j'y ai echappé (mes pieds etaient toujours figés sur le sol). j'ai vu des gens se tuer, enfermés dans une maison, et au grand final deux types se foncer dessus chacun avec un couteau et se sont entretués...
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