Derniers films vus
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fairbec

Le permier est tout simplement exceptionnel : une richesse de dialogues exceptionnelle et une construction à l'americaine. marque de fabrique canadienne?
Le second aurait pu etre tres bon s'il etait sorti avant Amélie...

Denfert


Djardin

Moi, entre mes yeux tout pourris, les traces de doigts sur l'écran et les lunettes, l'éclairage de la pièce, la distance par rapport à l'écran, ben la qualité d'encodage du flim c'est le cadet de mes soucis.
Référence en matière de bon gout capillaire et vestimentaire.
homme à tête de zizi.

Anonyme

Moi, entre mes yeux tout pourris, les traces de doigts sur l'écran et les lunettes, l'éclairage de la pièce, la distance par rapport à l'écran, ben la qualité d'encodage du flim c'est le cadet de mes soucis.
perso je reste sceptique sur la différence 1K vs 4K (sous réserve que ces termes aient un sens, j'ai toujours rien bitté sur d'éventuels noms standardisés, par ex UHD ou 4K ne sont en rien officiels comme termes, enfin si, mais pas pour tout le monde) quand on a pas une télé de la taille d'un mur d'immeuble.
Par contre dès qu'on passe en dessous du 1K là ça commence à morfler. Pour moi 1K= 1080, ou full-HD.
[ Dernière édition du message le 23/03/2019 à 18:39:02 ]

Lola Tance




Djardin

C.est un truc de videophile Djardin....
faut que je colle un autocollant Alba sur mon écran ?
Référence en matière de bon gout capillaire et vestimentaire.
homme à tête de zizi.

Traumax

Une synthèse pour youtou :
- La résolution et la compression, c'est pas pareil. Tu peux avoir un truc filmé, monté et exporté en 1080 (ou même 4k), et qui soit dégueulasse quand même, parce que compressé avec le cul (j'en ai plein mon disque dur des exports 1080 foirés

- Le stream de Netflix est compressé, parce que la video non compressée (qu'on appelle RAW, et qui peut être sous différents formats et codec (oui, on parle de codec pour du non-compressé, je suis encore en phase d'apprentissage, venez pas faire chier)) c'est ce qui sort directement des caméras, et c'est pas exploitable en dehors d'un contexte de montage/post prod (Denfert a rappelé les quantité gigantesques de données générées par seconde)
- Interstellar sur Netflix est en 720, pour une raison inconnue, peut être liée aux droits de diff. Donc c'est normal que tout BR paraisse meilleur, mais ca veut pas dire que l'algo de compression de Netflix soit a chier
- Si tu as ce problème sur tous les films, c'est lié a ta connection, pas à Netflix

Lola Tance




jambesexy

J’ai regardé interstellar sur Netflix et la mauvaise résolution était bien moins dérangeante que ça.
Les compressions sont devenus effectivement très bonnes (au point que le passage en 720p peut sembler plus choquant) aujourd’hui mais pour ce cas ci, est-ce parce que c’est du N&B large avec beaucoup de détails, j’ai eu plein de choses bizarre, un effet de statique/clignotement sur certaines parties de l’image.
[ Dernière édition du message le 24/03/2019 à 08:02:20 ]

pontchartrain

Ce sujet qui date de 2003, va bientôt pouvoir changer de titre: Derniers films vus sur Netflix. Ce sera sans moi.

Traumax

Ok

Anonyme


Bref, pas top cet échange hein.

Traumax

Mais destructive mathématiquement ne veux pas dire que ça se voie à l'écran. Même un BR4k est compressé, si ça se trouve, même un master destiné à une projection Imax est compressé par rapport au fichier travaillé en studio.
Je viens de vérifier su Formula que Bidule est en train de mater, c'est bien du 1080 / 5.90 Mbps, au même moment, un test de bande passante me donne 9 Mbps
[ Dernière édition du message le 24/03/2019 à 09:11:03 ]

Oiseau Bondissant

« Ce n'est pas sur une montagne qu'on trébuche, mais sur une pierre. » - Proverbe indien

crossroads

C'est fidèle au bouquin, avec des gros raccourcis quand même.
Drôle et pathétique à la fois.
Un biopic sympa.
Instrumental/Ambient/Post-Rock : https://dzeta.bandcamp.com/

Polaroil


"And in the end, the love you take is equal to the love you make"

Frajean

... Même un BR4k est compressé, si ça se trouve, ...
Les Blu-ray Ultra HD utilisent la norme de codage/compression vidéo HEVC, aussi appelée H.265, qui succède au H.264 utilisée sur les Blu-ray 1080p ou le 2K du cinéma.
Cette norme offre différents niveaux de compression, l'ordre de grandeur étant un gain de 50 à 60% sur le H.264 à qualité égale subjective (c.à.d que de nombreux tests ont été réalisés et notés par un panel de personnes).

Anonyme

Je viens de relire le truc, outre le fait que je m'en prenne une avec jugements de valeur pour cette question conne, genre t'as tout le temps tort et t'es incapable de te remettre en question, personne n'a dit si c'était ou pas compressé destructivement sur netflix
Si denfert, réalisateur bien connu de films pornographiques pour ingénieur du son :
la compression est destructive. Mais si chez toi ca reste moche, c'est que tu as un soucis de bande passante.
L'autre denfert aurait dit la même chose mais avec des gros mots.
[ Dernière édition du message le 24/03/2019 à 16:27:00 ]

greggreg

J'ai essayé the dirt.
Quelques part entre wayne's world et hartley coeur à vif.
Stoppé après 30mn.

Polaroil

"And in the end, the love you take is equal to the love you make"

Pictocube

+1 regardé hier en faisant autre chose, parfaitement ridicule.
Tant qu'il y aura des couilles en or, il y aura des lames en acier

Traumax

Le jour ou sort un biopic de NKOTB, vous jetez pas dessus, ca sera probablement nul.


Vince_

Hellboy > Bon ça se laisse regarder, c'est sympa, quelques scènes très bien, grosso modo, ça reste assez plat, gentillet. Il est un peu descendu dans mon estime ( ainsi que son Réal du coup )
Transformers 1 et 2 > Ah bah là c'est statu quo pour le premier, extra, le deuxième est remonté dans mon estime...pour du pur divertissement wtf. Le scénario est vraiment nimp, les " astuces " aussi, mais on s'en prend plein la gueule et les nouveaux persos ( robots " secondaires " ) assurent le show.
En gros, le 1er très cool au presque premier degré, le 2ème très cool au 2 ème degré / bac à sable.
Venom > Une claque pour ma part. Ca doit dépendre des sensibilités de chacun, c'était très mal parti au début et c'est monter en puissance par la suite, où tous les gros clichés sont désamorcés presque un par un.
Je me suis fait un plaisir un peu condescendant à me délecter des mauvaises critiques qu'il a reçu, notamment de la part des " connaisseurs ".

Bang Rajan > on me l'avait vendu par inadvertance, " ouais bof, c'est juste de l'ultra violence pendant 2h, pas de scénario, ou juste prétexte à du gore extrême ", cela va sans dire que j'étais déjà sur mes rollers à faire les cash express et autres magasins haut de gamme en recherche du disque.

au final, le visionnage n'était pas trop désagréable, surtout pour l'éxotisme de voir des birmans à l'écran et du Thai dans les oreilles.
Une sorte de 300 sauce Thai.

Anonyme

Vous êtes cons y'a un sujet pour ça.
[ Dernière édition du message le 27/03/2019 à 20:11:04 ]

Anonyme


·dulciné

J’hésitais à me fader les vidéos et cherchais une liste dans la description donc si d’autres sont dans mon cas :
La Bête Aveugle − Yasuzo Masumura (1969)
Tokyo Tribe − Sion Sono (2014)
Mind Game − Masaaki Yuasa (2004)
Detention − Joseph Kahn (2011)
Ebola Syndrome − Herman Yau (1996)
La Bouche de Jean-Pierre − Lucile Hadzihalilovic (1996)
The Greasy Strangler − Jim Hosking (2016)
Goodnight Mommy − Severin Fiala, Veronika Franz (2014)
Leolo − Jean-Claude Lauzon (1992)
Bad Boy Bubby − Rolf de Heer (1993)
Save the Green Planet − Jang Joon-Hwan (2003)
Baraka − Ron Fricke (1992)
Sweet Movie − Ousan Makavejev (1974)
The Act of Killing − Joshua Oppenheimer (2012)
The Look of Silence − Joshua Oppenheimer (2015)
Tras el Cristal − Agusti Villaronga (1986)
Nekromantik − Jorg Buttgereit (1987)
Vase de Noces − Thierry Zéno (1974)
La Montagne Sacrée − Alejandro Jodorowsky (1973)
Goodbye Uncle Tom − Gualtiero Jacopetti, Franco Prosperi (1971)
Bonus :
Forbidden Zone − Richard Elfman (1980)
Kill List − Ben Wheatley (2011)
Ex Drummer − Koen Mortier (2007)
La Femme Spectacle − Claude Lelouch (1964)
Society − Brian Yuzna (1989)
Tokyo Fist − Shinya Tsukamoto (1995)
Threads − Mick Jackson (1984)
Devil Story : Il était une fois le diable − Bernard Launois (1985)
New Kids Turbo − Steffen Haars et Flip van der Kuil (2010)
Caligula − Tinto Brass, Giancarlo Lui et Bob Guccione (1979)
The Blade − Tsui Hark (1995)
Les Garçons Sauvages − Bertrand Mandico (2017)
[ Dernière édition du message le 28/03/2019 à 00:02:59 ]
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