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fairbec
Le permier est tout simplement exceptionnel : une richesse de dialogues exceptionnelle et une construction à l'americaine. marque de fabrique canadienne?
Le second aurait pu etre tres bon s'il etait sorti avant Amélie...
sickfuzz
Milk
sickfuzz
sickfuzz
Très bon polar , une histoire relativement classique ,filmé "à l'américaine" mais traité avec une profondeur et une intelligence qui se font de + en + rares dans les films policiers , sa fait plaisir.Des scenes de fusillades et de baston aussi bien réussies dans un film français "grand public" c'est rare.
En plus Depardieu joue bien , mention spéciale aux second roles parfaitement bien choisis , ils ont tous des "geules" qui collent à leur personnage ,ya des vrais gueules de manouches et de psychos.
J'ai juste regretté l'omniprésence de la bande son qui , par moments , au lieu de marquer l'ambience donne au film un coté lyrique qui n'était pas indispensable.Peut-etre une question de style. Les seconds roles mérittaient aussi d'etre un peu plus développés.
Anonyme
Moi je vais avoir du mal à y aller sans à priori, rien qu'à la BA et le tank en guise de batmobile
Jules Joffrin
Très bien mais la fin torchée en deux coups de cuiller à pot.
Un peu déçu au final, même si c'est un portrait d'alcoolique sans concession.
Anonyme
Citation : en deux coups de cuiller à pot.
2 coups de cul hier à Pau
Citation : On ne résistera pas à l'anecdote historique mais fantaisiste selon laquelle Henri IV bientôt roi aurait annoncé " La reine Margot nous a donné un prince, en trois coups de cul, hier, à Pau".
L'explication proviendrait plus pragmatiquement des qualités moins grivoises de la cuiller (ou cuillère) à pot.
La cuiller à pot était une sorte de grosse louche. Le contenu qu'elle pouvait déverser permettait de vider le pot en question rapidement et sans risque de perdre une goutte du précieux mets.
Ainsi se serait imposée l'idée de facilité et de célérité, le tout peut-être renforcé par la connotation de "chance" que revêt le terme "pot".
Une version plus guérrière nous a toutefois été suggérée par l'un de nos lecteurs, que nous remercions de participer à l'instruction de tous :
Dans la marine à voile, la coquille du sabre d'abordage, qui protège la main de la lame adverse, rappelait par son aspect la cuiller à pot de nos cuisines. Par extension, ce sabre fut surnommé la cuiller à pot. Muni d'une lame forte, courte et presque droite, utilisé aussi dans les duels, il permettait de régler le combat ... en deux ou trois coups.
Jules Joffrin
w0gO
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