Jouez-vous aux jeux video?
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Anonyme
521410
Oui je sais cliquer 
Ouais, spamal, cette vidéo.
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Tagadobudoire
2692
Squatteur·euse d’AF
Membre depuis 20 ans
Anonyme
521410
Ton ordinateur est une grosse daube, ou alors un codec n'est pas installé... 
Tagadobudoire
2692
Squatteur·euse d’AF
Membre depuis 20 ans
tchoyy
4823
Squatteur·euse d’AF
Membre depuis 20 ans
Goum Le Chat
12177
Membre d’honneur
Membre depuis 21 ans
Non c'est tout frais d'hier 
Ben la video je la sens bien...
Ben la video je la sens bien...
Tagadobudoire
2692
Squatteur·euse d’AF
Membre depuis 20 ans
Head Minerve
9832
Je poste, donc je suis
Membre depuis 18 ans
Je crois plutôt que ça permet et oblige les frénétiques à jouer plus calmement, à contrôler mieux leur corps. Ca devrait aider certains sensibles à l'hypertension et l'épilepsie. 
Anonyme
521410
En Chine, des ateliers exploitent des forçats du jeu en ligne pour revendre les bonus gagnés
Dans la série "on vit une époque formidable", une nouvelle activité se développe ces derniers mois en Chine : le gold farming. Le principe : récupérer des trésors virtuels dans les jeux en ligne et les vendre au plus offrant. Si cette activité n'est pas nouvelle, son organisation en véritable industrie se généralise. Cent mille Chinois passeraient ainsi de dix à dix-huit heures par jour à "jouer" à World of Warcraft, Guild Wars ou Lineage, pour récupérer l'armure, la bannière, l'épée ou le bouclier magique qui permettront à un joueur moins habile de passer au niveau supérieur. Comme les télévendeurs ou les représentants de commerce, ces soutiers du jeu ont des quotas précis à respecter : s'approprier dix pièces d'or par jour, par exemple.
Au départ, ces ventes virtuelles ne concernaient que quelques passionnés isolés. Ce n'est plus le cas. Sur eBay et d'autres sites, on peut acheter pour plusieurs centaines de dollars des personnages de jeux vidéo et leurs équipements complets. Des objets ensuite échangés lors de rendez-vous virtuels, l'argent transitant de banque à banque grâce à la carte de crédit.
Ce sont les Japonais qui achètent en priorité. Ils accèdent plus rapidement, grâce à ces "biens" qui les dispensent de repartir systématiquement de zéro, à un niveau de jeu plus excitant. Ce nouveau marché s'appuie sur une réalité cruelle : certains ont du temps, d'autres de l'argent. D'ailleurs, vous diront les gold farmers, la rémunération ne concerne pas l'objet en question mais le temps passé à le rechercher.
Reste qu'en Chine les autorités commencent à s'inquiéter de l'exploitation de cette nouvelle main-d'oeuvre. D'autant qu'en mars 2005 un cyberjoueur a poignardé (pour de vrai !) un collègue qui aurait revendu une arme virtuelle lui appartenant !
Anne-Marie Gustave
Source Télérama n°2937
Dans la série "on vit une époque formidable", une nouvelle activité se développe ces derniers mois en Chine : le gold farming. Le principe : récupérer des trésors virtuels dans les jeux en ligne et les vendre au plus offrant. Si cette activité n'est pas nouvelle, son organisation en véritable industrie se généralise. Cent mille Chinois passeraient ainsi de dix à dix-huit heures par jour à "jouer" à World of Warcraft, Guild Wars ou Lineage, pour récupérer l'armure, la bannière, l'épée ou le bouclier magique qui permettront à un joueur moins habile de passer au niveau supérieur. Comme les télévendeurs ou les représentants de commerce, ces soutiers du jeu ont des quotas précis à respecter : s'approprier dix pièces d'or par jour, par exemple.
Au départ, ces ventes virtuelles ne concernaient que quelques passionnés isolés. Ce n'est plus le cas. Sur eBay et d'autres sites, on peut acheter pour plusieurs centaines de dollars des personnages de jeux vidéo et leurs équipements complets. Des objets ensuite échangés lors de rendez-vous virtuels, l'argent transitant de banque à banque grâce à la carte de crédit.
Ce sont les Japonais qui achètent en priorité. Ils accèdent plus rapidement, grâce à ces "biens" qui les dispensent de repartir systématiquement de zéro, à un niveau de jeu plus excitant. Ce nouveau marché s'appuie sur une réalité cruelle : certains ont du temps, d'autres de l'argent. D'ailleurs, vous diront les gold farmers, la rémunération ne concerne pas l'objet en question mais le temps passé à le rechercher.
Reste qu'en Chine les autorités commencent à s'inquiéter de l'exploitation de cette nouvelle main-d'oeuvre. D'autant qu'en mars 2005 un cyberjoueur a poignardé (pour de vrai !) un collègue qui aurait revendu une arme virtuelle lui appartenant !
Anne-Marie Gustave
Source Télérama n°2937
Anonyme
521410
Vive les jeux informatique!!! 
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