Ah non mais si ça vous va d'être considéré comme de la merde et de vous rendre complices des pires horreurs, y'a pas de soucis hein.
Citation de Lou :
A part si tu es pret à retourner à l'age de pierre, bien sur.
Mais arrêtez avec ça, c'est n'importe quoi. Je connais des gens qui tentent d'atteindre ce qui est qualifié d'équilibre écologique, ils vivent dans un confort que beaucoup ici leur envierai, moi le premier et pourtant je suis pas à plaindre, loin de là.
Tant qu'il y aura des couilles en or, il y aura des lames en acier
Zerosquare
4852
Squatteur·euse d’AF
Membre depuis 14 ans
13484Posté le 01/12/2011 à 14:20:30
Citation :
vous rendre complices des pires horreurs
Et c'est quoi le moyen de ne pas "se rendre complice des pires horreurs" selon toi ?
Ne pas voter ? (super utile)
Manifester 7 jours sur 7 avec un mégaphone ?
Menacer de faire sauter l'Élysée si les gens n'élisent pas le "bon" candidat ?
Aller vivre en ermite sur une île déserte ?
Tu crois vraiment que parce que t'auras voté José Bové et cultivé des légumes dans ton coin que le monde va fondamentalement changer ?
Tu crois vraiment que c'est la faute des gens qui ne demandent qu'à ce qu'on les laisse vivre en paix si le monde est dirigé par des enfoirés ?
Je suis très beaucoup d'accord avec Picto.
Se plaindre sans rien faire, ça sert à rien.
Les divers mouvements sociaux actuels l'ont compris.
On peut résumer ça par le poëme de Niemöller:
Citation :
Quand ils sont venus chercher les communistes,
Je n’ai rien dit,
Je n’étais pas communiste.
Quand ils sont venus chercher les syndicalistes,
Je n’ai rien dit,
Je n’étais pas syndicaliste.
Quand ils sont venus chercher les juifs,
Je n’ai pas protesté,
Je n’étais pas juif.
Quand ils sont venus chercher les catholiques,
Je n’ai pas protesté,
Je n’étais pas catholique.
Puis ils sont venus me chercher
Et il ne restait personne pour protester.
[ Dernière édition du message le 01/12/2011 à 14:22:58 ]
**naPOLEoN**
27844
Vie après AF ?
Membre depuis 18 ans
13486Posté le 01/12/2011 à 14:23:44
Il doit y avoir l'ensemble de la modération pendue à vos lèvres attendant que l'un de vous dérape trop sur la politique. J'avoue que l'image me fait sourire.