Vos rèves chelous
- 2 985 réponses
- 241 participants
- 118 202 vues
- 177 followers

Anonyme

Citation : Ptain j'ai revé de sarkozy cette nuit. Il faisait le l'aerobic en pleine rue

Anonyme


Anonyme

Je suis une femme, a priori non humaine ou vampire ou je sais plus quoi, avec bien sûr une force surhumaine, un costume noir moulant bien sexy et de longs cheveux roux/rouges. Je crois même que j'ai une paire de flingues. Rien de bizarre jusque là (patience, ça va venir à la fin du rêve), mais il arrive que j'entre au service d'une fille de famille riche (fille ou jeune femme) qui a des problèmes plutôt surnaturels dans son jardin, que je dois résoudre si possible.
Je pensais plutôt tuer la nana au début (faut dire que je ne suis pas une gentille de toute façon, dans ce rêve, ayant des accointances avec vampires and co.), mais en fait, je m'aperçois vite que la légende de son jardin est réelle, et je décide finalement de lui recommander de bloquer tous les accès à une certaine zone de son jardin (dur, parce qu'en fait la zone mortelle traverse le jardin).
Sauf que cette conne, ça la rassure, et elle décide de donner une grande fête comme font les riches dan son jardin, et ce sera à moi d'assurer la sécurité. Super, ça m'emmerde, surtout de devoir sauver des gens mais bon, je suis engagée à son service pour le problème du jardin maudit et la sécurité de la nana, alors faut bien que j'assure ma couverture.
Bref, le soir-même la fête a lieu, une grosse fête avec plein de riches excentriques tout excités en prime de se trouver là et qui parle de la légende de ce jardin et qu'il y a eu pas mal de morts violentes.
Et bien sûr, au moment où il y a le plus de monde dans la zone maudite, c'est là que le drame se produit et que la légende se révèle vraie (et c'est là que ça devient chelou) : un chemin de fer apparaît en plein milieu (flouté aux extrémités). Les gens sont supers excités de voir ça et s'approchent, moi je leur hurle de dégager le passage, que le train va bientôt arriver, je sors mes flingues pour les menacer et les pousser à décaniller mais bien ces richards crétins n'en ont cure. Et c'est la curée quand le train fantôme avec sa vieille loco à vapeur passe la voie ferrée, les gens qui se trouvaient là se retrouvent écrasés, en morceaux, je vois des jambes, des bras etc qui volent dans les sens et ça dégouline pas mal de sang. Les autres invités percutent enfin le danger (un peu tard pour ça) et ça devient l'hystérie collective, l'hôtesse qui ne m'avait pas écouté comprend sa connerie et tombe dans la culpabilité la plus profonde (imaginez une jolie jeune femme avec une robe de princesse qui se pâme comme une lolita japonaise, les mains sur les joues et l'air tragique). Le train est déjà reparti, la voie de chemin de fer disparaît (fade out), reste encore quelques invités hystériques qui hurlent et courent partout ou s'évanouissent, les restes humains découpés en morceaux et purées sanguinolentes, et moi qui hésite brièvement avant d'utiliser mes flingues pour buter les rares victimes du train fantôme qui survivaient encore un peu (bref, j'abrège leurs souffrances). au passage, il me semble d'ailleurs que je bute certains des invités les plus dingues qui refusent de se pousser quand le chemin de fer réapparaît et que le train repasse dans le même sens.
Et en plus y'a du sang partout, c'est gore...

Anonyme

[ Dernière édition du message le 27/04/2015 à 14:05:54 ]

Anonyme

tiens puis je viens de rédiger un autre vieux rêve ici. C'est bien la première fois que je rêvais que j'avais une petite soeur (j'en ai pas).

j-master

Super, ça m'emmerde
Agace au taf dans les rêves aussi, ah, bravo.
"L'Homme est la nature prenant conscience d'elle même." - Elisée Reclus

Anonyme

[ Dernière édition du message le 27/04/2015 à 14:07:27 ]

Anonyme

(En fait, un mélange de trois villes où j'ai vécu.)
Ca a démarré gentiment par une conversion sur un balcon, dans un tour. Ce qu'on prend pour un orage au loin est en fait un nuage de fumée, qui grossit et se rapproche. Puis viens le temps d'évacuer la tour, de sauver des gens, d'affronter des scènes de panique dans la rue avec des trams qui écrasent tout le monde...
Rêve hyper long, passé le reste de la nuit à courir et à suffoquer, et je perds ma mère dans l'affaire... me suis réveillé fatigué comme jamais, apathie totale toute la journée.
Etonnant aussi cette faculté du cerveau à se rappeler des "scènes" précises de rêves parfois très ancien, souvent à des moments incongrus, par exemple en faisant le café.

Anonyme

Dans le plus récurrent, je me trouve au dernier étage d'un haut immeuble en cours de construction (reste encore toutes les peintures et cloisons intérieures à faire) avec pleins d'autres gens réfugiés suite à une inondation cataclysmique, mais le tsunami du millénaire (quelques centaines de mètres de haut) s'amène au loin et à plusieurs centaines de kilomètres à l'heure et on sait qu'on va tous crever noyés et broyés. Puis rien que le souffle de l'air, vite rattrapé par l'eau de toute façon, explose les quelques vitres restantes, on est tous irrésistiblement emportés à l'autre bout de l'étage et là je me réveille.
Il y a aussi la version où je me trouve sur la plage, en été vu le soleil et les gens qui se prélassent, en fin d'après-midi, la plage est plutôt étroite et sise au pied de dunes herbeuses très hautes, ça fait presque falaises de sable, et soudain tout le monde s'aperçoit que la marée haute est rapide et très haute. La plage se rétrécit au point qu'elle finit par ne plus faire plus que 5 à 10m tandis qu'un maximum se barrent en haut des dunes, sauf que certains ne sont pas assez rapides et que les autres et moi aussi on en chie pour remonter la pente bien trop raide.

Rifki

Avec ma femme apparemment nous terminions nos vacances et nous nous apprêtions à quitter l'hôtel dans lequel nous logions. Un endroit plutôt classe. Je rejoignais la sortie lorsque je croises J-Master (avec sa barbe) qui voulait me montrer sa nouvelle sono car il faisait une animation musicale dans l'hôtel. Au détour d'un couloir, prenant un mur entier jài vu son matériel dont il était très fier. En fait, ça ressemblait vachement à des équipement des années quartantes genre des postes TSF, des coffrets de bois avec des façades d'aluminium, des cadrans à aiguilles, des gros boutons qui font Klong, et de grosses ampoules apparentes.
Après je l'ai quitté parce que ma femme s'impatientait.

Anonyme


Rêve chelou : je devais me marier l'après-midi, et le matin même en fouillant dans une grande penderie bourrées de fringues toutes plus moches les unes que les autres,, je me rends compte que ma robe de mariée ne me va pas. Ma mère part en acheter une vite fait et revient avec une robe de mariage prévue pour une obèse morbide (voire un éléphant) avec de la place pour une poitrine dont rien qu'un sein fait la taille au moins d'un berger malinois...
Donc je sort 2 beaux rideaux blancs de la penderie et dit à ma mère que sur internet j'ai vu un tuto pour transformer des rideaux en robe, mais en cherchant sur Google je ne trouve rien et décide donc d'aller chercher moi-même en boutique une nouvelle robe. Le tout sans parler trop fort pour ne pas réveiller ma grand-mère qui pionçait dans le fauteuil à côté.
Une fois dans la rue, entretemps le matin est devenu la nuit, je me retrouve à aider un parfait inconnu à décharger sa camionnette d caisses de bières du marché noir, puis quand le matin revient, je commence à me bourrer la gueule à la bière avant de passer au whisky. Je teste une lichette de whisky dans la bière, au passage, et trouve ça dégueulasse. Mon rêve se termine quand je marche dans la rue, en plein midi, bras dessus bras dessous avec 2 inconnus, tous trois torchés à mort au whisky. Y'a un soleil magnifique d'été et les gens nous regardent bizarrement.
En vrai, je compte pas me marier de sitôt, je n'aime pas le whisky et mes grands-mères sont décédées depuis longtemps.

j-master

Cette nuit j'ai rêvé de J-Master.
Avec ma femme apparemment nous terminions nos vacances et nous nous apprêtions à quitter l'hôtel dans lequel nous logions. Un endroit plutôt classe. Je rejoignais la sortie lorsque je croises J-Master (avec sa barbe) qui voulait me montrer sa nouvelle sono car il faisait une animation musicale dans l'hôtel. Au détour d'un couloir, prenant un mur entier jài vu son matériel dont il était très fier. En fait, ça ressemblait vachement à des équipement des années quartantes genre des postes TSF, des coffrets de bois avec des façades d'aluminium, des cadrans à aiguilles, des gros boutons qui font Klong, et de grosses ampoules apparentes.
Après je l'ai quitté parce que ma femme s'impatientait.

Surtout que tout est vrai, j'ai effectivement acheté une sono totalement analogique à aiguille !

D'ailleurs j'ai un peu de mal avec les micros sans fil à galène

"L'Homme est la nature prenant conscience d'elle même." - Elisée Reclus

deozza

Je me réveille d'une sorte de coma dans un appartement que je ne connais pas. Il n'y a aucun son.
Il y a deux filles qui se tiennent au dessus de moi. L'une a l'air plus agée que l'autre. Je ne sais pas si ce sont des soeurs mais elles se ressemblent beaucoup. A quelques traits près on pourrait croire que ce sont des jumelles. Leurs cheveux sont noirs, longs et raides. Leurs yeux sont tout aussi sombres.
Je me lève, je vais sur le balcon et la plus agée des deux me rejoints et me fait remarquer que le garde fou du balcon est très bas. Donc il faut que je fasse attention à ne pas tomber. Mais elle me le dit d'une maniere froide. Je remarque alors qu'elle fait approximativement ma taille.
Je reste sur le balcon une bonne partie de la journée (ce que je comprends, vu que la nuit est tombée et qu'il faisait jour quand j'y suis arrivé).
Et là, la seconde fille arrive en tenue assez fraiche alors qu'il faisait froid. Elle se pose à côté de moi. Elle est plus petite que moi d'une tête et ressemble beaucoup à la première. Mais en faisant plus attention, je remarque une certaine innocence dans ses traits, qu'elle est plus jeune et qu'elle est l'exact opposé de cette dernière. Je ne la connais pas et pourtant je me sens très proche d'elle, comme si on s'était toujours connu. Et subitement, sans raison, je lui donne mon manteau et je l'enlace... On se regarde et il y avait beaucoup de tendresse qui émanait. On n'avait pas envie de se lâcher et ce moment semblait durer une éternité.
Sauf que je me réveille encore d'un coma, avec un blackout total entre ce réveil et le moment précédent. Je vois encore les deux filles penchées au dessus de moi.
Mais contrairement à la première fois, je suis attaché aux jambes et aux poignets. Je ne peux pas bouger ni me libérer.
Je regarde la plus jeune des deux (celle avec qui je me sentais bien), lui lance du regard "pourquoi tu as fais ca?". Et elle de me répondre de la même manière "ce n'est pas de ma faute, je ne le voulais pas" . Je comprends que c'est la plus agée qui me veut du mal.
Je tente de me sauver, de rentrer chez moi. Tandis que la cadette est partie je ne sais où, sa soeur me libère et me fait comprendre que je dois m'enfuir.J'arrive à sortir de cet appartement, je me retrouve en plein Paris vers l'après midi, ou midi. Je trouve un metro, je rentre dedans et je n'arrive pas à en sortir. Je me perds. Je ne trouve pas le chemin ne serait-ce que pour une rame, pour m'eloigner de cet endroit. Et le rêve se termine.
Tout ca sans le moindre son.
Et voila le second:
Je me retrouve sur les routes, un peu comme un vagabond quand je rencontre une fille qui a l'air mal en point. Environ le même âge que moi, les cheveux châtains. Elle me dit qu'elle doit aller retrouver son père dans un hôpital et qu'elle doit l'en faire sortir a cause des mauvais traitements qu'il y reçoit. Elle me dit aussi qu'elle aura besoin de mon aide, et pour la route et pour convaincre le personnel de le faire sortir.
J'accepte cette espèce de quête et l'accompagne. Sur le chemin, les moments sont ellipsés mais sur le ressenti général on se rapproche et on se lie d'amitié. Seulement, à une étape proche de la fin du "périple", on se brouille pour une raison obscure. Elle décide de continuer toute seule.
Rongé par le remord je me lance à sa poursuite en espérant arriver à temps pour l'aider. Je trouve enfin l'hôpital en question et m'y engouffre. Je demande la chambre du père de cette fille. Elle est aux étages supérieurs, presque au sommet de l'édifice.
J'emprunte les escaliers, quand à mi chemin je vois une fille suivant tristement un homme plus âgé, ayant l'air déterminé et énervé.
Je reconnais en elle la fille que j'ai accompagné et comprends que cet homme est son père. Pourtant je monte toujours les escaliers avec en tête la volonté de la retrouver, de m'expliquer sur ma conduite et de l'aider.
J'arrive à l'étage, évidemment je ne trouve pas la chambre ni le père. J'ai oublié que je venais de le voir descendre des escaliers. C'est alors que je me dirige vers ce qui semble être un accueil pour rediriger les visiteurs. J'y retrouve deux adultes que je connais dans la vrai vie (pas celle du rêve). Je demande à l'hôtesse la chambre de ce patient, elle me répond qu'il vient tout juste de sortir définitivement de l'hôpital. La scène de l'escalier me revient en tête. Je me précipité sur le téléphone de l'accueil et compose le numéro de la fille
Elle décroche mais ne parle pas. Je la supplie de répondre. Toujours rien.
Je m'excuse. Toujours rien.
Je lui explique que je tiens à elle, que je l'apprécie énormément. Je lui fais presque une déclaration. Toujours rien.
Je la supplie de plus belle, presque implorant et en pleure. Je me refuse de raccrocher et, par extrapolation, de la laisser partir.
Je lui dis que je l'ai vue dans les escaliers mais pour je ne sais quelle raison, je l'ai ignorée. Que je m'en veux pour ca. Toujours rien.
Plus les minutes au téléphone passent, plus tout s'assombrit tout autours de moi. Jusqu'à ce que je sois enveloppé de noirceur, et que je me réveille.
Ce qui m'énerve c'est que j'ai une réputation avec mes amis de psychologue, de symbologue et d'interprète de rêves et que là, rien du tout. Aucune idée de ce que ça peut signifier...

Le chien aboie mais n'invente pas le fil à décongeler le beurre.
Les 6l6, des lampes qui nous éclairaient
[ Dernière édition du message le 07/06/2015 à 03:12:00 ]

Anonyme


Rifki

On repart en road-trip avec Pouet et Tihouss. Cette fois-ci dans la nouvelle acquisition de Dr Pouet. Un camion renault Saviem de type Goélette ou SG4. C'est le lever du jour. Avant le départ, nous discutons avec une actrice célèbre qui ressemble vaguement à Marion Cotillard. Elle est plutôt jolie. Tihouss a tenté de sortir avec elle le soir précédent mais s'est pris un four. Je suis pénible avec elle. Je lui raconte que les actrices sont toutes des salopes et que c'est pas bien d'avoir couché avec Samuel le Bihan. Ensuite les garçons l'aident à remplir sa ZX break verte de bagages. Dans mes rêves, les actrices roulent en ZX.
Nous partons. Dans le camion, il n'y a pas de sièges. Juste un grand lit avec un tapis en peau de zèbre posé dessus. Le moteur ne fonctionne uniquement que si le poste radio diffuse de la musique de fanfare. Heureusement, il y a un haut parleur sur le toit avec lequel je m'amuse à donner des fausses informations quand on rentre dans un village du style, le défilé de la gay-pride le soir, le cirque malabar ou le passage du tour de France. Le kiff de Pouet c'est de conduire déguisé en gendarme à Saint Tropez. Sa distraction c'est de ne pas freiner quand un piéton traverse la route. Derrière nous, Tihouss parle avec la voix de Jean Pierre Marielle.
Nous passons chercher Zlatan Kevinovitch dans un village perdu dans la montagne ou il neige même en été. Il a réussi sa vie. Il est directeur d'une colonie de femmes. Il propose même d'en embarquer pour le voyage. Ce qui nous fait plaisir.
Sur la route, Tihous-Marielle reçoit un coup de fil de l'actrice qui veut lui laisser une seconde chance. Il est tout content. Nous faisons un détour pour aller la chercher. Dans la montée d'un col très haut en Altitude le moteur du camion chauffe. Tihouss qui ressemble de plus à plus à Marielle propose sa nouvelle technique de réparation : Enlever l'eau chaude du radiateur goutte à goutte avec une pipette de laboratoire et faire pareil pour en rajouter de la fraiche.
La dernière scène : sur une aire de repos, Jean Pierre Marielle pratique l'opération sur le moteur entouré par les filles, le gendarme de St Tropez prend des photos du paysage majestueux qui s'offre à lui pendant que Zlatan et moi hurlons des insanités dans le haut parleur pour jouer avec l'écho de la montagne.

cyar





j-master


"L'Homme est la nature prenant conscience d'elle même." - Elisée Reclus

Schonx


"8 milliards de malades mentaux, naufragés sur le même radeau" - LOFO'

Anonyme



Jofree


"To boldly go where no man has gone before."

Javier Guante Hermoso

Grande réunion de je sais pas trop quoi dans une vieille salle des fêtes, on est à peu près 250, c'est un peu vague, mais j'y retrouve des copains d'un peu partout et de toutes périodes de ma vie, avec aussi beaucoup de ma famille. Pas grand chose à y retenir, on est attablés à des tables de 10-15, vraisemblablement des tables de réunion, on assiste à une présentation en plénière de je sais pas trop quoi.
Le type à ma diagonale, je crois un type de ma classe de troisième, voit arriver quelqu'un et me dit "Tiens, v'la seth"
Effectivement, colossal, musclé, mais affublé d'une coiffure de type brushing à la Hugh grant, seth arrive et s'installe en face de moi, on se salue. Puis il sort de sa sacoche un paquet d'emmental râpé format familial. Qu'il ouvre, et en extrait trois stylos, en déversant une partie du contenu de fromage sur la table. Le plus sérieusement du monde, il me demande "ça t'ennuie si je prends des notes?"
Et là je me réveille parce que mon fils chiale. Putain la suite du rêve s'annonçait bien lol, je suis dèg.


Anonyme





Djardin

Référence en matière de bon gout capillaire et vestimentaire.
homme à tête de zizi.

Rifki



Anonyme


Lors donc, quand tu t'es levé et que tu t'es barré, Seth l'a très mal pris. Il a cru que w-addict t'avait dit des gros mots, alors il a chopé un des stylos et l'a agité dans le vide. Ca a fait comme avec les stylos encre, tu sais les stylos plume, splaotch, toute l'encre a volé à travers la pièce. A ce moment-là, un mec tout petit et tout énervé s'est levé, et a crié "putain de stylo de merde de ragougnasse de chien, le rouge ça va pas avec mon bermuda à fleurs!".
Un vrombissement assourdissant a couvert la fin de sa phrase.
Un mec blond est arrivé, au volant d'une Maserati de 125cm3 avec marqué MASH dessus, et a fait un dérapage contrôlé. Sauf qu'il a rien contrôlé du tout, et a tapé dans une SAAB qui s'est aussitôt mis à pisser de l'huile. Rifki s'est mis à pleurer. POLEN a voulu le consoler en lui mettant un grand coup de bombe de peinture verte sur la gueule. Moi je me marrais et c'est alors que j-skel a dit: De toutes façons je suis content parce que Belmoufle va rater la meilleure partie du repas, il y connaît rien en bonne bouffe, alors champagne!.
Je suis parti quand CloudBreak a commencé à écrire sur le tableau les équations chimiques du champagne.
Voilà, de mémoire.
[ Dernière édition du message le 15/06/2015 à 11:48:59 ]

Anonyme

Ca fait trois jours que j'ai rêvé d'une collègue du bureau, eh ben, ... depuis j'ose pas aller la voir. Je crois que je vais me liquéfier devant elle et elle y comprendra que dalle.
- < Liste des sujets
- Charte